L’obscurantisme chrétien du Moyen age !

 

Quand on sait qu’en Occident, l’Eglise a accaparé le savoir, qu’elle confine dans les monastères en se gardant bien de le diffuser,    
A quoi bon puisque Dieu, Jésus et le Saint-Esprit sont à l’origine de tout, à commencer par notre propre existence ?
Il faut donc rappeler que l’Église à cette époque était    particulièrement obscurantiste. Elle voulait cacher le savoir. Il était son ennemi. Certains livres de l’antiquité ont été brûlés et d’autres ont été mis à l’écart dans la bibliothèque interdite du couvent. Aristote fait peur cela risquait d’affaiblir la doctrine de l’Église. D’une manière générale les théologiens  du Moyen Âge n’ont ni étudié ni transmis  l’héritage du savoir antique, donc ils méritent bien le qualificatif  d’obscurantisme.
La science était alors une compréhension païenne, un héritage indésirable des penseurs grecs. Il serait plus juste de considérer le Moyen Âge comme l'époque des ténèbres absolues
Afin de s'assurer que rien ne contredise la Bible, l'Église appliquait la censure. Personne ni quoi que ce soit ne pouvait contredire l'ouvrage de référence... la Bible.  Car, pour le clergé, la Terre est plate et au centre de l'univers; penser le contraire pouvait conduire au jugement d'hérésie.
Les hérétiques sont ceux qui rejettent certaines idées ou croyances de l'Église. Afin de lutter contre le développement de leurs idées, l'Église mettra sur pied un tribunal chargé de juger ces indésirables en territoire chrétien. Ce tribunal nommé l'Inquisition utilisera tous les moyens nécessaires pour arriver à ses fins: ce sera la conversion ou la mort.
En échange d'une rétractation des idées, d'une confession et d'une conversion, la personne jugée hérétique pourrait n'avoir qu'une pénitence comme par exemple l'obligation à un pèlerinage ou la flagellation.
Or, la torture, le bannissement et les condamnations à mort étaient réguliers. Le bûcher était la condamnation privilégiée car la souffrance était longue et tout le monde pouvait constater l'exemple de ce qui arrivait à ceux qui contredisaient l'Église.
E pur si muove  (“Et pourtant elle tourne ! ”), une citation attribuée à tort à Galilée (rien ne prouve qu’il ait prononcé cette phrase) est sans aucun doute l’illustration la plus concluante de la main mise de la théologie  sir  la science.  Ainsi son affirmation d’une Terre tournant sur elle-même pour expliquer le mouvement du soleil, vaut à son auteur malgré la protection du pape Urbain VIII, d’être condamné et contraint de renier ses propos.
Les communautés chrétiennes cultivent d’ailleurs leur ignorance  comme une vertu, en s’appuyant sur
"Dieu n’est pas un magicien doté d’une baguette magique !
Ainsi l’Eglise parvient ainsi à faire refluer plutôt les superstitions et les hérésies, à contrôler les grands de la société et à les soumettre plus ou moins en leur proposant de mettre leur pouvoir au service de l’Eglise, à encadrer toutes les pratiques, de la société.
Aujourd’hui l’église c’est tout d’abord une institution dont la puissance est concrétisée par l’État du Vatican à Rome. Cet État est un des plus petits États du monde, mais il est aussi l’un des plus influents du monde, mais aussi l’un des plus riches.
Le Vatican est dirigé comme un État, avec des religieux qui ont des prérogatives politiques comme tous les chefs d’États. Beaucoup d’États se tournent à un moment ou à un autre vers le Vatican pour recevoir son avis et il n’est pas rare de voir des chefs d’États se présenter à Rome pour un entretien avec le pape.
Dans l’église comme lieu de culte  (chemin vers Dieu   et ses Saints, présence des reliques), règne un ecclésiastique monstrueux :
Le clergé séculier  (curé, un prêtre, un abbé vivant au sein de la société pour prendre soin des âmes) ! Ce clergé est à l’image de cet endroit sinistre, austère, froid, mystérieux. Sans oublier  évidemment  cette attitude, qui trouva une expression fameuse dans l’adage
« Hors de l’Église pas de salut[
Il va de soi que l’Église est visée dans la représentation de ces religieux et ses croyants  tourmentés par une religion morbide, où une adoration infecte se mêle aisément à la perversité.
Le chrétien tout croyant sceptiques et derrière son apparence respectable, se cache un être maléfique, une créature liée au Diable. Son attitude ignoble laisse entrevoir sa duplicité.
Sous le discours le plus rigoriste de la morale religieuse,  on ne tarde pas à voir apparaître les pires vices. Ces êtres vils ont une conscience tragique de leurs égarements et de leur âme perdue espère son Salut (aller au Paradis) sensée être sauvée par le Christ.
Les chrétiens en cette époque  pratiquaient l'envoûtement et l'exorcisme. On croyait au pouvoir des talismans, amulettes, ou des philtres.  
Le satanisme se réfère à un maître, Satan ; c'est une religion qui s'oppose ouvertement à la chrétienté. Mais à cette époque, on ne fit pas de distinction entre sorcellerie et satanisme
Aujourd’hui encore les chrétiens comme les prêtres ou l’homme de l’église, présentent les mêmes caractériels religieux qu’au temps du moyen age, les chrétien font semblant en général d’avoir le sens des convenances, mais l’ont perdu en confondant foi chrétienne et conformisme borné. 
Ils ne résistent pourtant jamais aux passions inconvenantes qui l’animent, sont orgueilleux, et, surtout, débauchés. La luxure les pousse à croire qu’ils détiennent l’ultime vérité sur le reste de l’humanité.
 

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