Jésus Christ était-il musulman ?


 (Was Jesus a Muslim ?)  
Ce livre écrit par Robert F. Shedinger, professeur de théologie au Collège Luther à Iowa, fait déjà couler beaucoup d’encre.
Après s’être remis en question suite à des questions posées par une de ses étudiantes musulmanes, Robert Shedinger après de longues recherches a affirmé dès le début de son livre :
Il s’est demandé si Jésus était musulman pour y répondre affirmativement : « Je répondrai par un Oui ! »
Le professeur de théologie a indiqué que l’Islam, en tant que mouvement pour la justice sociale s’adapte  le mieux à Jésus
« J’ai dû me pencher sur l’étude de l’Islam et j’ai fini par comprendre que c’était un mouvement de justice sociale. Le même que préconise Jésus.
Ce qui laisse voir que Jésus était musulman».
Il peut sembler cohérent de dire que Jésus était musulman parce que cela veut dire soumis à Dieu
Dans son livre, il soutient brillamment que Jésus était un Musulman Shedinger fait cette affirmation provocatrice parce qu'il veut que les chrétiens apprennent que le «L’Islam» est une lutte spirituelle et sociale contre toute forme d'injustice. Shedinger montre que les chrétiens ont désespérément besoin de cette sagesse musulmane pour être vraiment chrétien. 

L’Eglise et l’Ancien Testament !




Certains chrétiens n’hésitent à se démarquer de l’Ancien Testament et nous invitent à se référencier au Nouveau Testament  qui est selon eux  reste la Bonne Nouvelle pleine d’Amour.
Belle Philosophie, mais pourtant l’église a conservé dans son corpus d'Écritures saintes des textes de l’Ancien    Testament, qui présentent parfois un Dieu très différent de celui des évangiles…: 
Comment comprendre un Dieu qui frappe les ennemis à la mâchoire et qui brise les dents des méchants (Psaume 3, 8) ? Comment peut-on proclamer ce cantique biblique qui met ces mots dans la bouche de Dieu : « Je les ai foulés dans ma colère, je les ai piétinés dans ma fureur. Leur jus a giclé sur mes habits, taché tous mes vêtements. » (Isaïe 63, 1-5, AT 31) Dieu est-il « tendre et miséricordieux, lent à la colère, plein d’amour et de fidélité » (Exode 34, 6) ou est-il un Dieu vengeur? : « C’est un Dieu jaloux et vengeur que Yahvé ! Il se venge, Yahvé, il est riche en colère ! Il se venge, Yahvé, de ses adversaires, il garde rancune à ses ennemis. » (Nahoum 1, 2, traduction de la Bible de Jérusalem)
Comment justifier le comportement des deux filles de Lot, neveu d’Abraham, le père des croyants, qui saoulent leur père pour obtenir de lui une descendance (Genèse 19, 30-38) ? Comment accepter que le roi David, choisi par Dieu, ordonne le meurtre d’Urie, le mari de Bethsabée (2 Samuel 11, 1-17) ?  Pourquoi Dieu ne réagit-il pas à la ruse malhonnête de Jacob et de sa mère Rébecca qui a permis de détourner la bénédiction d’Isaac (Genèse 27, 1-29) ?
Cependant dans la liturgie catholique, les écrits de l'Ancien Testament sont nécessaires à la foi chrétienne. et donc le Dieu que Jésus révèle dans les évangiles n'est pas si éloigné du Dieu de l'Ancien Testament…
Selon S. Augustin le Nouveau Testament est caché dans l’Ancien, alors que l’Ancien est dévoilé dans le Nouveau !
Par ailleurs nous constatons que dans ses enseignements contre le Judaïsme, l'Église affirme qu'elles ne peuvent être respectées sans l'anéantissement du salut éternel. Donc elle dénonce comme étrangers à la foi du Christ tous ceux qui depuis ce temps-là observent la circoncision, le sabbat et les autres prescriptions légales, et affirme qu'ils ne peuvent pas du tout avoir part au salut éternel, sauf si un jour ils reviennent de ces erreurs.
Donc à tous ceux qui se glorifient du nom de chrétiens, elle prescrit de manière absolue qu'à n'importe quel moment soit avant soit après le baptême il faut renoncer à la circoncision, que l'on place en elle ou non son espoir, elle ne peut être respectée sans anéantissement du salut éternel. »  Ainsi même avec leurs écrits hébraïques, les juifs sont hors du Salut éternel !!!!!!!
Tandis que l'Église enseigne que tous ceux qui meurent non-catholiques sont perdus, elle enseigne aussi que personne ne doit être forcé d’accepter le Baptême, puisque la croyance est un acte libre de la volonté. L’Inquisition, avec ses conversions forcées, ses procès sommaires et ses bûchers, ouvre un grand  épisode assez sinistre de son histoire.
Cependant pour combattre l’Islam, l’église enseigne ce qui n’abaisse pas peu notre foi et engendre un grave scandale dans le cœur des fidèles. Puisque ces choses qui déplaisent à la majesté divine ne doivent plus être tolérées, avec l’approbation du saint concile, Nous défendons avec la plus grande rigueur qu’elles se produisent désormais à l’intérieur des territoires des chrétiens... Nous enjoignons... à tous et chacun des princes catholiques... d’éliminer totalement de leurs territoires et de veiller à ce que soit éliminée la honte que ce qui précède entraîne pour eux-mêmes et pour les autres fidèles...
Nous interdisons expressément que quiconque relevant de leur autorité s’aventure... d’invoquer ou à professer publiquement... le nom sacrilège de Mohammed...
Ceux qui oseront agir en sens contraire seront corrigés de telle manière... que les autres, terrorisés par leur exemple, seront éloignés de la même présomption.
On nous a toujours dit que l’Évangile, c’est l’incarnation du Verbe de Dieu. Le Verbe s’est fait chair. Il ne s’est pas fait symbole, ni pur esprit mais une chair brisée par la flagellation et les offenses.
Un symbole n’a jamais sauvé qui que ce soit.
Dans le première lettre de Jean, nous lisons : "Le sang de Jésus, son Fils, nous purifie de tout péché" (1 Jn 1,7).
On donne en sacrifie un être vivant pour apaiser la colère de la divinité, une vision spirituelle, quasiment païenne, dans laquelle l'image d'un Dieu courroucé peut devenir terrible et refuser de pardonner les péchés.
Dans l'histoire de l'Eglise relate un Dieu Miséricordieux qui recommande de tuer son Fils pour établir une Religion ne semble pas Convenable très claire pour apporter une vérité et également  incapable pour montrer la Bonne Voie.
En effet, tous les récits mythiques   placent en premières lignes  un bouc émissaire destiné à apaiser la violence et la Colère d’un Dieu, "le christianisme raconte la même scène, mais du point de vue de la victime innocente",
Le christianisme est sans doute un colosse aux pieds d’argile, sa faiblesse venant de son peu de cohérence devant la raison humaine. C’est certainement par là qu’il faut passer pour corriger l’Evangile
Si donc le christianisme est religion de quelque chose, il ne peut être que la religion du Christ.

Et le Christ n’est pas un livre.

Le cannibalisme dans le Bible !


Les chrétiens  nous disent très souvent que la bible est un livre saint; et seul les personnes qui possèdent l'esprit de Dieu peuvent la comprendre.

Eh ! Oui L’éternelle justification ?

Ce livre a été écrit pour permettre au peuple d'Israël  une auto glorification aux yeux des autres peuples.  Mais le Dieu de la Bible avait toujours gardé une grande pénitence   pour eux, Il. leur met donc en garde en leur faisant comprendre qu'il maudira tous ceux qui seront désobéissants. le fait de dire qu'il mangeront leurs enfants marque la gravité de leur situation; ou même l'ampleur de leur punition car il ne sera plus favorable a eux; ne s'occupera plus d'eux ; ne leur donnera plus a manger ; il seront anéantis, ne devront même plus comptés sur lui

on en trouve plein dans la Bible. des descriptions terrifiantes du tonnerre ou de la tempête, des cris de guerre et des récits de batailles, la Bible en est remplie d'histoires de guerres et d’exterminations d’une violence incroyable dont Dieu est le principal exécutant.

Trop d’atrocités, par exemple, pourraient-elles être mises sur le compte de «Yahvé Sabaoth» («Dieu des armées») combattant «à mains fortes et à bras étendus », ordonnant aux armées d’Israël de jeter l’anathème sur des villes entières (Dt 20,16) et laissant ses prophètes égorger leurs concurrents (1 R 18,40) ? Faut-il encore rappeler   les plaies cruelles infligées à toute la population d’Egypte avec l’incroyable refrain du Ps 136 [3] ?

Le pic de la dureté, est que « la violence de Dieu frappe toujours aussi, de manière massive, les femmes et les enfants :  

Ils sont brisés contre un rocher (Ps 137,7) ;

Ils sont victimes d’actes de cannibalisme (2 R 6,28ss ; Lm 2,20-22 ;4,10 ; Lév 26,27-33 etc.) ;

Ils sont sacrifiés (Gn 22 ; Jg 11,31-39), notamment à Moloch (2 R 17,17.31 ;21,6 ;23,10), ou découpés en morceaux (1 R 3). »

Le Dieu de la Bible est très susceptible et à la moindre contrariété il extermine hommes,  femmes  et enfants. Il  montre aussi que la parole d’un prophète est efficace  ry  qu’elle mène à la mort de 42 enfants.  mais Elisée et le Dieu biblique l'ont certainement fait:

Selon la Bible le Cannibalisme a été instauré comme suit :

Au milieu de l'angoisse et de la détresse où te réduira ton ennemi, tu mangeras le fruit de tes entrailles, la chair de tes fils et de tes filles que l'Éternel, ton Dieu, t'aura donnésDeutéronome 28:53

Vous mangerez la chair de vos fils, et vous mangerez la chair de vos fillesLévitique 26:29

Je leur ferai manger la chair de leurs fils et la chair de leurs filles, Et les uns mangeront la chair des autres, Au milieu de l'angoisse et de la détresse Où les réduiront leurs ennemis Et ceux qui en veulent à leur vie. Jérémie 19:9

Après cela, Ben Hadad, roi de Syrie, ayant rassemblé toute son armée, monta et assiégea Samarie. Il y eut une grande famine dans Samarie; et ils la serrèrent tellement qu'une tête d'âne valait quatre-vingts sicles d'argent, et le quart d'un kab de fiente de pigeon cinq sicles d'argent. Et comme le roi passait sur la muraille, une femme lui cria: Sauve-moi, ô roi, mon seigneur!   2 Rois 6:24-29

Vois, Éternel, regarde qui tu as ainsi traité! Fallait-il que des femmes dévorassent le fruit de leurs entrailles, Les petits enfants objets de leur tendresse? Que sacrificateurs et prophètes fussent massacrés dans le sanctuaire du Seigneur? Lamentations 2:20

Les femmes, malgré leur tendresse, Font cuire leurs enfants; Ils leur servent de nourriture, Au milieu du désastre de la fille de mon peuple..  Lamentations 4:10

C'est pourquoi des pères mangeront leurs enfants au milieu de toi, et des enfants mangeront leurs pères; j'exercerai mes jugements contre toi, et je disperserai à tous les vents tout ce qui restera de toi.  Ézéchiel 5:10

il ne donnera à aucun d'eux de la chair de ses enfants dont il fait sa nourriture, parce qu'il ne lui reste plus rien au milieu de l'angoisse et de ladétresse où te réduira ton ennemi dans toutes tes portes.   Deutéronome 28:55

Elle ne leur donnera rien de l'arrière-faix sorti d'entre ses pieds et des enfants qu'elle mettra au monde, car, manquant de tout, elle en fera secrètement sa nourriture au milieu de l'angoisse et de la détresse où te réduira ton ennemi dans tes portes. Deutéronome 28:57

Et le roi lui dit: Qu'as-tu? Elle répondit: Cette femme-là m'a dit: Donne ton fils! nous le mangerons aujourd'hui, et demain nous mangerons mon fils. Nous avons fait cuire mon fils, et nous l'avons mangé. Et le jour suivant, je lui ai dit: Donne ton fils, et nous le mangerons. Mais elle a caché son fils2 Rois 6:28-29

Le cannibalisme était donc un acte religieux, une sorte de sacrifice ayant une symbolique particulière sauf si dans la lecture de   ces textes; manger n'est pas au sens 1er.

 Le cannibalisme est une abomination, il est considéré comme scélérat, dégoûtant et répugnant le cannibalisme est impensable,  

Le cannibalisme est un acte qui inspire dégout et indignation dans la plupart des cultures.

 

Du trinitarisme au Trithéisme !


 Sur la doctrine de la trinité, Il y a de nombreuses objections    , je les réduirai aux trois suivantes : 1. Elle est contraire au bon sens. 2. Elle est contraire aux Ecritures. 3. Son origine est païenne et chimérique. Ce n’est pas vraiment en accord avec le bon sens de dire que trois sont un et que un est trois, comme certains l’expriment en appelant Dieu « le Dieu trin ».
Pasteur J. N. Loughborough (1832-1924)
Pour le chrétien nier la Trinité est une décision lourde de conséquences, car tout le corps dogmatique s’en retrouve affecté et il se sent menacé
Ce n’est pas sans raison que l’Eglise a confessé au sujet de cette doctrine “Telle est la foi universelle : si quelqu’un n’y croit pas fidèlement et fermement, il ne pourra être sauvé.” (Symbole d’Athanase).
Quoi qu'il en soit, le trinitaire essaie de se convaincre lui-même et d'autrui et peu importe le sophisme compliqué et compliqué qu'il verse dans ses acrobaties théologiques, il ne pourra jamais, dans sa santé mentale, superposer le Père, le Fils et la Colombe comme un être unique. Il y aura toujours trois dans l'esprit et cela en fait un polythéiste - un adorateur de trois dieux.
Le trinitaire essaie de se convaincre lui-même et les autres et quelle que soit la quantité de sophismes compliqués et compliqués qu'il verse dans ses acrobaties théologiques, il ne pourra jamais, dans sa santé mentale, superposer le Père, le Fils et la Colombe comme un Être Unique. Il y aura toujours trois dans l'esprit et cela en fait un polythéiste - un adorateur de trois dieux.
Par ailleurs il faut noter que le modalisme est une doctrine christologique ancienne, très rapidement dénoncée comme hérétique par les Pères de l’Eglise dès le IIIème siècle  
Elle affirme d’un côté que Jésus est à la fois le Père, le Fils et le Saint-Esprit et de l’autre elle nie que le Père etle Fils soient des personnes (ou plutôt des hypostases) distinctes. Pour les modalistes, il s’agit de modes divins de révélation, autrement dit des rôles que Dieu assume à différents moments de la ligne de temps.
Beaucoup de tentatives pour donner un sens à l'idée étrange de la Trinité qui n'a jamais été articulée par Jésus ou ses disciples finissent souvent dans le Trithéisme.

La Bible mystérieuse et violente !


 L’incompréhension et le manque de clarté des textes, un
phénomène n’est ni nouveau, ni récent. Seulement  qu’il a pris une ampleur qui désormais est plus que voyant, pour engendrer une  désertion des églises.
Les chrétiens moyens n’arrivent pas à trop bien saisir les sens de la bible, sans compter la main mise des gourous pour certaines églises.
À savoir aussi que certains croyants imploraient le pardon de Dieu pour leurs pères qui mouraient incrédules en disant: «Nous faisons cela en imitant Abraham».
Quand à ces gens qui me haïssent et n'ont pas voulu que je règne sur eux, amenez-les ici et massacrez-les en ma présence!", Jean (15,6)
 Ne croyez pas que je sois venu apporter la paix sur terre ; je ne suis pas venu apporter la paix, mais l’épée. Car je suis venu mettre la division entre l’homme et son père, entre la fille et sa mère, entre la belle-fille et sa belle-mère ; et l’homme aura pour ennemis les gens de sa maison. Celui qui aime son père ou sa mère plus que moi n’est pas digne de moi, et celui qui aime son fils ou sa fille plus que moi n’est pas digne de moi ». (Matthieu 10 34 à 37)
(Luc 5,15-16): "des foules nombreuses se rassemblaient pour l'entendre et se faire guérir de leurs maladies. Mais lui se tenait retiré dans des lieux déserts et il priait."
Donc dans la bible, il y a soit des paraboles, soit de la zizanie, cela devient trop facile à détourner du véritable sens des versets violents.
Comme cette usage est une décharge, je serai bien tenter d’employer une tournure littéraire dans la sanction des voleurs, que bon nombre de chrétiens tentent d’en faire une référence dans leur attaque contre le Coran,  et dire que c’est le jour du jugement que ces voleurs ou voleuses auront les mains coupées.
En marge, mon plat pays n’a jamais exécuté cette sentence contre les voleurs, et ne sont condamnables qu’à des peines d’emprisonnement variable. 

L’église chrétienne ne respecte pas la liberté et l'intelligence du Fidèle !


 Aussi en réponse je dois noter que par mon expérience dans les débats avec les chrétiens, et quelques prêtres qui me semblent plus aptes à dénigrer avec force l’Islam, pour garder sous silence les relâches de l’Eglise envers ses adeptes
En effet, c’est le manque de suivi qui fait partir beaucoup de gens des églises. Plutôt que ceux qui les remplissent à coups de compromis et d’évangile tronqué.
De moins en moins de gens, hormis les catholiques repentis, sont disposés à supporter l’arrogance des pasteurs chefs-d’orchestre, une bonne amie Catholique me disait dernièrement qu’elle avait chanté à la messe, un chant des Ailes de la Foi !  Chose qui paraîtrait presque un sacrilège dans certaines Eglises Evangéliques ! (Sans trop bien saisir la portée)
Ou encore cet autre catholique qui avait écrit à son pasteur pour dire :
–  Pardon, car je ne peux lever les bras ça me gêne au niveau de mon cœur !
–  Pardon, car je ne peux rester debout très longtemps, ni danser, ni taper des mains à cause de mon arthrose !
–  Pardon, de ne pas pouvoir beaucoup chanter, les rythmes sont difficiles et les frères et sœurs qui sont devant me cache l’écran !
–  Pardon de mettre des  boules Quies pendant les chants à cause du volume sonore !
–  Pardon pour ma décrépitude mes frères et sœurs !
Ne vous étonnez pas si je ne viens pas très souvent…et même si je ne vais plus pouvoir venir !
–  Pour conclure pourquoi cette désertion de ma part : à cause du bruit parfois assourdissant provoquée par des amplis coûteux, à cause également de certains pasteurs qui hurlent dans les micros, il y a de plus : ceux qui racontent en long et en large leurs vies quotidiennes et leurs opinions (sur tous les sujets) et
Les évangéliques ont aussi intégré certains chants catholiques, comme par exemple le célèbre « Magnifique est le Seigneur » dont ils chantent  les deux premiers couplets, mais dont ils  ignorent  les 7 autres à la gloire de la vierge Marie !
Conclusion on voit bien que les chrétiens dans leur église ne reconnaissent plus cette Assemblée et ne s’y sentent plus à l’aise.
 
 
 

Les auteurs ‘’Selon’’ du Nouveau Testament !


 Le savant Maqrizy, qui vivait au 8e siècle de l'hégire, auteur du « Kéchef Ed-Dhounoun » dit en parlant de l'Evangile : "L'Evangile est le livre que Dieu a révélé à Jésus fils de Marie: "Ce que Jésus a prêché forme un seul Evangile, où il n'y a point de divergence et point de contradictions
Tout les historiens ont plus ou moins parvenus a une certaine réalité  Ils se retiennent de s'épancher dans les évangiles. Et ils disent:
« Ces histoires, qui ont été rapportées au sujet de Jésus, il y a en elles des choses fausses, rajoutées, omises, et des choses modifiées de leur état original
Les auteurs des Evangiles n'ont pas connu Jésus. Leurs sources ont été transmises et ce sont généralement des communautés qui ont écrit ces textes, parfois une ou deux générations après la mort du Christ.  
L’Eglise a déterminé quatre Evangiles. Trois d'entre eux sont appelés synoptiques, pour signifier que l'on peut les mettre "en colonne", en synopse, car ils présentent des éléments en commun.
Le quatrième Evangile, celui de Jean, est mis à part de côté car il est plus théologique, même s'ils délivrent des informations historiques que ne donnent pas les synoptiques. Parfois les Evangiles se contredisent, car ils ont été utilisés dans différentes régions.  
Les pères de l'Eglise on vu que dans les Evangiles, il n’y a pas de vérité mais différentes approches de  vérité.
Ce qui rend  les  évangiles non crédibles et rien ne prouver qu’ils (Matthieu- Marc- Luc- Jean) sont les auteurs, il n’y a que des probabilités du Selon et on suppose, qu’ils sont les auteurs, d’ailleurs, c’est uniquement lors du premier concile que ces auteurs ont été retenus.
L’Evangile de Matthieu était en hébreu, et ce texte, altéré par les différentes sectes chrétiennes, disparut à la fin, de sorte que celui que les Chrétiens possèdent maintenant sous ce nom n'est qu'une simple traduction, dont rien ne garantit l'authenticité, et dont on ne connaît même pas l'auteur, ainsi que l'avoue Jérôme, l'un des docteurs les plus renommés des premiers siècles.
Les textes eux-mêmes renferment des preuves démontrant que leurs auteurs présumés ne sont pas ceux que l’on croit.  Dans l’évangile selon Matthieu, par exemple :
« Jésus s'en alla.  En passant, il vit un homme installé au poste de péage.  Son nom était Matthieu.  Il lui dit : « Suis-moi! » Matthieu se leva et le suivit. »  Matthieu 9:9
Pas besoin d’être un génie pour comprendre que ni Jésus ni Matthieu n’a écrit ce verset.
Les chrétiens disent : à la vérité, c’est peut-être un tel, ou tel autre ; mais ce ne sont là que des suppositions, qui n'ont aucune valeur dans une sprirutualité sérieuse.
Tout ce que l'église affirme aujourd'hui c'est :
"Que le plus probable était que cet évangile a été écrit en grec par Matthieu lui-même".
Voilà ce que dit à ce propos, la "Penny Cyclopédia" : "L'Evangile selon Matthieu a été écrit l'an 41, en hébreu ou en syro chaldéen; il n'existe maintenant que la traduction grecque; et le texte hébraïque existant n'est qu'une traduction de cette dernière".
L'évangile de Marc:
Thomas Ward a dit : "D'après Jérôme, quelques-uns des premiers docteurs avaient des doutes sur l'authenticité du dernier chapitre de Marc ; d'autres sur quelques versets du 22e chapitre de Luc, et d'autres enfin sur les deux premiers chapitres de cet Evangéliste qui ne se trouvent pas dans les textes de la secte Marcionite".
Voilà ce qu'on lit dans Norton (p. 70, éd. de lS37, Boston) : "Il y a dans l'Evangile de Marc un passage qui demande à être vérifié ; ce passage commence au 9ème verset et va jusqu'à la fin du dernier chapitre.’’
Après avoir développé les raisons qui lui ont fait croire à une interpolation il ajoute : "Il ressort de cela que ce long passage a été ajouté aux texte, ce qui est d'autant plus vraisemblable, que les copistes avaient l'habitude invétérée d'ajouter des mots aux texte plutôt que d'en omettre".
L’Evangile de Luc:
Pas la peine de trop en discuter, celui qui a écrit Luc n'a jamais vu Jésus, il n'a jamais écrit l'évangile par inspiration, car tout simplement il l'affirme lui même :
Luc 1.1 Plusieurs ayant entrepris de composer un récit des événements qui se sont accomplis parmi nous,
1.2 suivant ce que nous ont transmis ceux qui ont été des témoins oculaires dès le commencement et sont devenus des ministres de la parole,
1.3 il m'a aussi semblé bon, après avoir fait des recherches exactes sur toutes ces choses depuis leur origine, de te les exposer par écrit d'une manière suivie, excellent Théophile,
1.4 Afin que tu reconnaisses la certitude des enseignements que tu as reçus.
L’Evangile de Jean 
Il n'est pas prouvé. non plus que l'Evangile de Jean soit réellement de lui.
Il y a même plusieurs raisons qui tendraient à  faire croire le contraire.
Dans les temps anciens, de même que de nos jours, un auteur parle toujours en son nom lorsqu'il décrit des événements qu'il a vus ; or, il ne parait pas, ici, que l'auteur ait vu lui-même ce dont il parle.
On lit au 21ème chapitre de cet Evangile (V. 24) . " C'est ce disciple qui rend témoignage de ces choses et qui les a écrites ; et nous savons que son témoignage est véritable ".
Ici on se réfère à Jean a la troisième personne, après quoi l'écrivain parle en son nom. "Nous savons que", ce qui démontre que l'écrivain est autre que Jean lui-même. Il est probable que l'écrivain a trouvé des notes de Jean et qu'il les a suivies en composant son récit.
l faut ajouter que Jean, fils de Zébédée, est un simple pêcheur, alors que le rédacteur de l'évangile est un auteur savant et un théologien.
Il y a un quasi consensus pour dire que l'évangile attribué à Jean, « n'est pas l'œuvre d'un seul auteur, mais d'une école !
Les textes originaux de la Bible n'ont jamais été retrouvés. Les textes de la Bible ont été recopiés par des copistes pendant des siècles. Ces textes auraient pu être corrompus, soit involontairement par des erreurs de copies ou par des oublis, soit intentionnellement par des ajouts ou des falsifications
Même si des manuscrits très anciens ont été découverts, le texte qui  existe  aujourd'hui repose malgré tout sur des copies de copies de copies, les originaux n'ayant pas été retrouvés.
Peut-on avoir complètement confiance dans une telle transmission
 Homélie II , 17/4 [ L'apôtre Pierre dit : ]
« Ainsi donc , comme le vrai prophète (Jésus) nous l'a dit , il faut que vienne d'abord un faux évangile porté par un trompeur, ce n'est qu'ensuite , après la destruction du lieu saint , que le véritable évangile doit être transmis en secret pour redresser les hérésies à venir »
Les faux prophètes qui sont arrivés avant l année 70, date de la destruction du temple de Jérusalem sont:- Luc;- Matthieu;- Marc;
Tous porteur d’ évangile selon l’ enseignement de Paul et non pas celui de Jésus
Conclusion, les auteurs des Evangiles ne sont que supposés être les auteurs.
Ces prétendus Evangélistes ont menti en faisant usage du nom de Dieu et de Jésus son prophète". Disait un savant Musulmans
Ceux qui ont lu le Nouveau Testament, verront que les affirmations des savants musulmans sont par leur vérité aussi éclatantes que le soleil à midi.
 

Le maléfique Juif Errant !!


De toutes les histoires, celle du Juif Errant est sans nul doute une des plus répandues.
La mystérieuse figure du Juif Éternel errant a toujours intrigué les romanciers, les poètes, les érudits ou les peintres ont étudié, commenté et reproduit sous différentes formes ses traits immuables.
En effet, dès son apparition, au XIIIe siècle, le Juif errant (mentionné dans Flores historiarum de Roger de Wendover et dans Chronica maiora de Matthieu Paris) reçoit des caractéristiques   pittoresques, il est décrit sous les traits d'un homme éternellement triste, converti et pieux qui, attendant retour du Christ, témoigne de la passion aux pèlerins en qualité d'ancien portier de Ponce Pilate. où d’un cordonnier juif condamné à l'errance perpétuelle pour avoir refusé un instant de repos au Christ portant la croix  que  Chacun le fuit et purifie le sol que ses pieds ont foulé, et lui-même, dès qu’il approche d’un homme, il est l’objet d’une malédiction particulière
Le premier récit détaillé: Cartophilus (ou Cartaphilus), frappa Jésus Christ d'un coup de poing au moment où celui-ci franchissait le seuil de la porte et lui dit : Marche ! Jésus, vas donc plus vite. Pourquoi t'arrêtes-tu ?
Jésus Christ se retournant lui répondit :
 Je vais. Mais toi, tu attendras ma seconde venue : tu marcheras sans cesse.
Et Cartophilus se mit en route pour ne plus jamais s'arrêter et chacun  le fuit et purifie le sol que ses pieds ont foulé, et lui-même, dès qu’il approche d’un homme, il est l’objet d’une malédiction particulière. L'odeur du juif serait alors un mélange de jaune, d'olivâtre et de noir. C’est quelque chose comme la chair que l'on frotte, c’est un peu l'odeur du cadavre, la graisse que l'on jette sur le feu, le cochon roussi, la corne que l'on brûle.  
Le Nouveau Testament, à cet égard, a engendré l’hypothèse d’une «malédiction»  sur les  Juifs.
Matthieu 27:25 E
et tout le peuple répondit: Que son sang retombe sur nous et sur nos enfants!
De ombreux de théologiens Chrétiens ont admis voir dans les malheurs des Juifs une leçon et un avertissement d’une malédiction du Sang du Christ éternelle, cette hypothèse   s’est nourrie, au long des siècles, d’une haine tenace et d’une satisfaction proprement pharisiennes. Aussi appartient-il dans ce domaine encore aux théologiens,  , aux catéchistes, de veiller à ce que les Juifs  soient   accompagnés de la probable «malédiction».
L’espérance chrétienne maintient que le peuple juif a  pour châtiment sans appel la colère de Dieu,  et les juifs a travers les siècles récoltent des fruits de la colère, pour conclure que le juif n’est pas comme les autres hommes, le théologien chrétien poursuit : «Ce n’est pas par hasard que les Juifs ont contribué à la crucifixion du Christ.» 
De nos jours, le juif se demande pourquoi tant de haine à son égard :
Tu seras un sujet d’étonnement, de proverbe et de raillerie parmi tous les peuples chez qui l’Eternel te conduira. (Deutéronome 28:37
En dépit de la déclaration Nostra aetate, qui proclamait la relation unique entre Judaïsme et Chrétienté visait ainsi à laver toute ambiguïté dans les relations entre chrétiens et juifs, l'église avait toujours clairement fait porter la culpabilité de la mort du Christ sur le peuple Juif, ce qui avait souvent justifié abus et persécutions..
Adoptée en 1965 à l'issue du Concile du Vatican II, devait entériner l'idée selon laquelle l'Eglise catholique respecte et accepte les autres religions.
En conclusion, les Juifs se sont culpabilisés et ils sont appelés à chercher les causes de la haine, dont ils sont  victimes, en eux-mêmes. Une grande partie est mordue par l’orgueil. Aliénée, pour se croire  plus grande que les autres peuples, que toutes les autres races.
Cette partie de juif se crut supérieure à tous et elle a travaillé pour les dominer et, finalement par châtiment divin s’est retrouvée soumise aux nations. Et reste la   raison du châtiment qu’ils subirent collectivement, consécutivement à l’ignoble traitement infligé à Jésus Christ..
Rappelons que pour tous les Pères de l’Église, unanimement ce qui porte la responsabilité de la mort de Jésus est bien la communauté religieuse d’Israël et la majeure partie du peuple ayant prit une part active à la condamnation de Jésus.
La doctrine de l’Église entre la civilisation chrétienne et la mentalité juive  demeure :
- « Je tiens le Juif pour l'ennemi de la chrétienté, toutefois je ne le méprise pas

Le procès du Talmud ou disputation de Paris !

 

Le Talmud est l’un des textes les plus importants du judaïsme rabbinique, tout de suite placé après la Bible hébraïque, dont il est, en quelque sorte, le complément. Composé de la Mishna et de la Guemara, il réunit, rassemble et résume, l’ensemble des discussions rabbiniques sur tous les sujets de la Loi juive.
Le Talmud c’est le problème même de l’histoire juive et du judaïsme. Le Talmud, c’est l’aspect externe  du judaïsme à travers les siècles..
Très tôt l’Eglise s’est inquiétée de cet ouvrage dont on pouvait constater l’influence nocive sur le comportement des populations juives, mais il fallut cependant attendre le XIIIe siècle pour qu’une véritable politique d’examen approfondi du contenu du texte soit entreprise afin d'en déterminer la nature exacte, et surtout qu’en soient fermement condamnées les affirmations principales et les blasphèmes absolument scandaleux que l’on découvrit dans les pages du Talmud.
La grande argumentation de Donin auprès du pape était que le Talmud a insulté Jésus, présenté comme le fruit des amours d’un légionnaire et d’une pute, après avoir rappelé que les Juifs ont volontairement renoncé au mandat divin à cause de leur tradition qui enseigne des doctrines faussées et les éloigne de la loi et des prophètes, soulignait que les enfants des Juifs étaient nourris et enseignés par le Talmud qui contient « des blasphèmes contre le Dieu et son Christ, la Vierge Marie, des abus faux et des bêtises inouïes.  
Le Talmud est la cause de tous les malheurs. Le livre maudit. Il est vu comme responsable de l’obstination juive et finalement à travers toutes les époques de son histoire la Torah a été brûlé également.
C’est à Paris, en 1240, que le premier procès du Talmud se déroula, lorsque, après avoir été expulsé de l’école juive dans laquelle il se trouvait, Nicolas Donin (+ 1287), qui s’était converti en 1235 au christianisme et devint franciscain, dénonça les principaux passages antichrétiens du texte,
Le procès du Talmud, brûlement du Talmud ou disputation de Paris est un évènement majeur de l'histoire des Juifs et de leur relation à la chrétienté.
Tenu à l'instigation de Nicolas Donin, un Juif converti au christianisme, il oppose ce dernier et des ecclésiastiques à quatre rabbins, dirigés par Yehiel de Paris en présence du roi Louis IX de France. Commencé en 1240, il se conclut par la crémation de nombreux exemplaires du Talmud sur la place de Grève en 1242. Il crée de la sorte un précédent sur lequel s'appuieront d'autres disputations judéo-chrétiennes, principalement en Espagne.
Une bulle papale (la perfidie impie des Juifs) est émise trois ans plus tard. Grégoire y ordonne, au terme de la tenue d'une enquête, que soient saisis et brûlés « les livres dans lesquels on trouverait des erreurs de la sorte1 ». Louis IX est le seul à accéder à cette requête positivement (des actions à moindre échelle ayant toutefois eu lieu en Angleterre et en Italie), exigeant toutefois que les Juifs soient autorisés à se défendre. Le 3 mars 1240, le pouvoir royal fait saisir tous les exemplaires de l'ouvrage pendant que les Juifs sont à la synagogue.
Une discussion est organisée à Paris le 12 juin 1240,  Rabbin Yehiel, qui a laissé un compte-rendu du procès (certains suggèrent que ce procès-verbal a été rédigé par Joseph ben Nathan Official), répond aux accusations en mettant l'accent sur l'antiquité du Talmud ainsi que sur sa qualité de commentaire et non substitut à la Bible.
Pour justifier que les Gentils auquel fait allusion le Talmud sont des païens et non des chrétiens, ainsi qu'on peut le voir des bons rapports que les Juifs entretiennent avec leurs voisins, commerçant et étudiant même la Bible avec eux.  
Quant au Yeshoua prisonnier de la Géhenne dont il est question dans le Talmud, il ne s'agirait pas de Jésus de Nazareth.
Juda de Melun est interrogé séparément afin de vérifier que les arguments de Yehiel peuvent se trouver dans le corpus juif et ne sont pas le fruit de ses opinions personnelles. Les juges se retirent, sans qu'une sentence n'ait été prononcée.
Le tribunal, réuni après la disputation, rend sa sentence deux ans plus tard : il estime que le Talmud est un livre infâme et qu'il doit être brûlé selon les recommandations de Grégoire IX. En 1242, vingt-quatre charretées du Talmud sont solennellement brûlées en place de Grève à Paris en présence du Prévôt et du clergé  de l’Eglise.

La fachosphère se glorifie du mythe de Charles Martel pour inventer un passé


 Cette petite fable est un ramassis d’erreurs et de clichés  ayant  transformé l’embuscade tendue par Charles Martel un manoeuvrier politique et un pillard, aux Musulmans sur le chemin (Poitiers–Tours), en une grande bataille légendaire qui dépasse l’imagination. C’est un accrochage ou après avoir tenté de passer en force les troupes franques pour  une razzia toute   particulièrement sur l’abbaye de Saint-Martin de Tours, important domaine seigneurial et haut lieu de pèlerinage  réputé pour sa richesse, pendant un peu plus de deux heures de combats , les Musulmans  refluent vers leurs bases à Narbonne....
Charles Martel n’était pas français on ne peut qu’ironiser devant la propension de ce  fait à vouloir  naturaliser aussi futilement ce personnage qui était tout sauf français
La notion d’État ou de pays n'a jamais existé à cette époque et l’entité « France » n’existait même pas, en tant que telle,   seulement des  territoires qui ne sont en fait que des propriétés terriennes reparties en Duchés et petits royaumes qui s'entre déchirent  dans des guerres fratricides,
Quoi qu’il en soit le rôle de cette bataille n’est sûrement  pas lié à l’islam ni à une expansion de la l’empire musulman dans la géopolitique de l’époque. A cet égard, la bataille dite de Poitiers n’existe pas de sorte assez étendue dans les traditions  musulmanes. L’évènement y est mentionné parmi de nombreuses autres défaites et victoires de cette époque, sans qu’il soit fait mention d’affrontements religieux.
De plus, sur les terres conquises par les musulmans, on n’observe pas de conversions massives. Les Musulmans sont restés de 719 et 759  dans la province de Septimanie avec Narbonne pour capitale et on n’a aucune trace d’islamisation de ces populations, comme des constructions de mosquées ou de sites religieux. Pourtant les Musulmans restent presque jusqu'en l'an mil, exactement jusqu'en 973
Les sources chrétiennes, quant à elles, citent  un second continuateur inconnu qu’’écrivait par les ordres et sous la direction du comte Childebrand, frère de Charles Martel la Continuation de l'œuvre du pseudo-Frédégaire sans que d'ailleurs aucun manuscrit ni aucune indication précise n’ait justifié cette attribution qui émane certainement d'un témoin
L'oeuvre des continuateurs  est suspect de partialité. L'origine de l'appellation est inconnue, l'ouvrage étant anonyme dans toutes les copies signalées jusqu'ici ; le nom même de pseudo-Frédégaire   apparaît pour la première fois, en 1579,
Ces chroniques ont déformé la réalité et appartiennent à la légende. Elles se focalisent sur la période carolingienne. Dans la plupart de ces récits légendaires le Musulman est de plus réduit au rôle  d’infidèle, il est toujours présenté comme un barbare comme dans la légende Adérica, de  la citadelle de Pech Tartare.
Ceci dit, pour nous étonner, aujourd'hui on sait que le chroniqueur à ignorer la date précise et l'emplacement exact d'une bataille qui fut jugée si grande et qui reste, aux yeux de beaucoup d’extrémistes, l'un des événements importants de l'histoire de la chrétienté, puisqu’elle fut sauvée par Charles Martel avec l'indigence des sources, les quelques éléments d'information qu'elles nous livrent.
Cet accrochage entre Musulmans et Francs  n’est de toute façon qu’une péripétie accessoire si Charles Martel arrêta effectivement les Musulmans à Poitiers, il ne réussit donc pas à les déloger de Narbonne  le siège d’une province de l’Empire Musulman, qu’il attaqua par deux fois, sans succès.  
Il faut aussi noter que Voltaire admirait le "génie du peuple arabe" et voyait en Charles Martel un champion de l'obscurantisme religieux.
Ceux qui présentent Charles Martel comme un rempart à l’islam s’inscrivent dans une histoire identitaire et réactionnaire tout en oubliant que la Gaulle ou la France à été envahie et occupée (avant et après l’islam) par différents peuples, rien de nouveau à cela et rien de dramatique non plus. C’est dommage que le fait de faire étalage des propos et des faits historiques mensongères à propos d’un événement si simple ait probablement réduit la crédibilise du reste de l’histoire.
Il y a un objectif ! C’est à titre de symbole islamophobe, qu’il est depuis  quelque temps au-devant de la scène. La fachosphere a échoué, malgré toute l'énergie de ses adhérants, leurs mensonges historiques, leurs haines pour ce qui est l’Autre,  leurs groupuscules sectaires, et  leurs divisions.
Le groupe Charles Martel (extrême droite fasciste dénommée   «Génération identitaire» basé à Poitiers s’attaque encore de nos jours à tous ce qui est musulman et arabe et la mosquée de Poitiers avait subi des assauts exemplaires  de cette bande d’. Identitaires, défendant la France Chrétienne au slogan  « Le grand Héros Charles Martel »