« Ce que je crois vrai, c’est que
l’esclavage chez les musulmans, est meilleur que ce qu’il est chez les autres,
et le statut des esclaves en Orient est meilleur, que celui des domestiques en
Europe, et les esclaves en Orient font partie de la famille (du maître), et
ceux d’entre eux qui veulent recouvrer leur liberté, l’obtiennent dès qu’ils en
manifestent le désir. Mais ils ne font pas usage de ce droit.»
Gustave le Bon, La civilisation des Arabes, (p.450-460)
Il faut arrêter de regarder
l'histoire avec la morale occidentale d'aujourd'hui, Les manuels d'histoire
n'ont jamais véritablement respecté la vérité historique, ce sont devenus
aujourd'hui des outils de propagande, la transmission des savoirs a été
remplacée par un discours vide de sens, le médiocre a supplanté la rigueur. Beaucoup
d’événements dans l'histoire, sont déformées, dissimulées encore plus inventées
ou pure fabulation.
L’esclavage a partout et de tout
temps fait partit de la nature humaine, l’esclavage, est l’un des rares traits
qui fussent communs à toutes les civilisations. Partout dans le monde,
l’esclavage était une institution
normale, aussi ordinaire qu’elle l’était dans la Grèce antique, chez les Byzantins,
les Romain, les Perses, les chinois, Europe préindustrielle et l’Amérique et pratiquée
sur une échelle massive. Bref tout le
monde
La tromperie par la manipulation
du récit historique de l'histoire des peuples, en occultant certains faits, en
tronquant certaines vérités constitue à mes yeux une sorte de crime contre
l'humanité. Une telle falsification de l’Histoire cherche évidemment à redonner
du souffle au vieux mythe de l’esclavage Arabo-Musulmane naît dans les milieux
suprématistes occidentaux ainsi que par des démagogues chrétiens et juifs. Ces
derniers, ce faisant, instrumentalisent hypocritement la souffrance des
victimes de la traite, et la mémoire qu’ils ont léguée à leurs descendants, au
nom d’un discours de haine.
Elles permettent de déduire que
la traite orientale a été organisée et dirigée par des esclavagistes musulmans
et non par les juifs, comme ont voulu le faire accroire les prétendus
historiens, en fait des falsificateurs. Cette traite négrière,
organisée et dirigée par des esclavagistes juifs, n’avait atteint les sommets
de la sauvagerie et de la barbarie bien plus qu’ont connues les traites
négrières organisées par l’Occident. Il est grand temps de régler, à l’heure
exacte, la pendule de l’histoire.
En somme, l’esclavagisme n’a rien
de spécifiquement Arabo-Musulmane. Le fait que ce sont des Noirs d'Afrique qui
capturaient d'autres Noirs d'Afrique, leurs frères puis qui les revendaient
ensuite à des négriers européens, sans oublier de noter que l’activité de la
communauté juive y était orientée essentiellement vers une pratique
particulière dont elle avait le monopole: la traite des esclaves castrés par
des médecins juifs avant expédition vers le Califat de Cordoue. Arrêtons de juger
le passé à l’aune de la moralité d’aujourd’hui ! L'esclavage est une
constante de l'Humanité...le vainqueur fait du vaincu son esclave...on trouve
toujours une "bonne raison" pour soumettre le plus faible...
Oui il faut le dire et il faut le
répéter : pendant plus de trois siècles, ce sont des chefs de tribus Noirs
d'Afrique qui se sont grassement enrichis sans scrupule, sans vergogne et sans
aucun remords grâce aux considérables bénéfices tirés du commerce de la traite
avec les Européens... La plus grande ignominie de l'esclavage ne tient pas en
l'asservissement du Noir d'Afrique, par un autre peuple, mais réside en les
honteux, scandaleux et impardonnables profits colossaux que des chefs des
tribus noirs ont réalisés grâce au juteux commerce de la traite en revendant à
prix d'or d'autres hommes noirs à des Européens. lors qu’elle a été organisée
et dirigée de bout en bout par des esclavagistes juifs avec un quasi-monopole
des marchands juifs dans la castration des eunuques, dont Verdun serait le
principal centre, et plus généralement dans le commerce des esclaves à
destination du monde musulman, en particulier par l’intermédiaire d’al-Andalus.
Ainsi donc le commerce d’esclaves slaves entre la Gaule carolingienne et
al-Andalus serait un quasi-monopole des marchands juifs du fait de leur
neutralité confessionnelle et des facilités que leur procurait leur réseau de
communautés. Confirmée par le Kitâb al-masâlik wa-l-mamâlik du persan Ibn
Khordadbeh composé entre 846 et 885. Dans le passage bien connu traitant des
juifs « radhanites », l’auteur rapporte que le troisième itinéraire de ces
marchands juifs, qui vendaient entre autre des esclaves et des eunuques
(slaves), partait de Gaule et d’al-Andalus pour se rendre en Orient via le
Maghreb. Que dire alors de la place de l’Occident et de ses centres de
castration dans le commerce d’esclaves slaves?
A travers sa description des
itinéraires empruntés par les marchands d’esclavages Lisbonne, Séville, Málaga,
Valence, étaient des lieux d’arrivée régulière de contingents d’hommes et de
femmes alimentant les marchés où les particuliers venaient s’approvisionner.
Pendant de longues siècles, les
juifs seront les uniques intermédiaires commerciaux entre l’Orient et
l’Occident, ils auraient été les premiers légitimé l’esclavage dans leur
religion ; obsédés par l’argent, ils auraient également initié et organisé
la « traite négrière », d’où ils auraient tiré cette immense fortune
qui, comme chacun sait, leur permet de tirer les ficelles de la politique mondiale.
Ils ont joué en revanche, comme en témoignent d'innombrables auteurs juifs, un
rôle déterminant dans ce domaine, à tous les niveaux. Compte tenu de leur
habileté incontestée en matière commerciale et financière, de leur grande
mobilité, de leurs attaches communautaires et de leur expérience passée
remontant aux premiers siècles du Moyen Age. Bien sûr, le rôle joué par Eglise
catholique a été bien pire en
particulier dans les colonies africaines. La différence, c'est que tout le
monde a le droit d'en parler, alors que la question de la responsabilité juive
est totalement taboue.
Mais il est délectable au passage
de rappeler qu'il n'y a pas que les nations arabo-musulmanes et de se demander
en toute innocence ce qu'il en était, au fait, de la possession d'esclaves au
sein des autres communautés à travers le monde.
Cette orientation polémique mise sur la traite Arabo-Musulmane
relève souvent d’une intention grave afin attiser une haine anti-islam en
tant que tel, une injure à l’honnêteté, la bonne foi et la justice, La
supercherie se donne des airs de noblesse dans le but de pourvoir les
dénigrements et rééquilibrer la traite atlantique avec 12
Millions de personnes touchés contre probablement 17 Millions de personnes pour
la traite Arabo-musulmane, une guerre de chiffre pour grossir l’une par rapport
à l’autre. Une véritable tendance à minimiser ou occulter les formes
d’esclavage pratiquées dans les pays du monde occidental. La haine masquée en mode dédiabolisation provisoire pour faire
oublier ce qui intéresse le citoyen, la traite de l'esclavage pratiqué par le
monde Occidental. Bientôt, ils diront c'est pas nous c'est les Arabo-
musulmans.
J'aimerais faire comprendre en
quoi l'islam, une religion qui prône le respect pour chaque être vivant sur
cette terre quel qu'il soit, la dignité de chaque être, ainsi que son intégrité
physique et psychologique peut-il tolérer l'esclavage pour ménager un peuple
dont le droit de vie ou de mort sur un être humain est monnaie courante depuis
des siècles ?
J'aime également
faire des comparaisons entre le monde islamique et le monde chrétien, sans pour
autant chercher à établir une hiérarchie qui pour moi n'a pas de sens.
C'est pourquoi, je me suis permis
de citer Luc 12.47
« Le serviteur qui, ayant connu la volonté
de son maître, n'a rien préparé et n'a pas agi selon sa volonté, sera battu
d'un grand nombre de coups. »
Ainsi nous relevons que Jésus
Christ donne sa vision des relations entre maître et esclave, vision s'inscrivant
dans un cadre plus vaste qui celui des soumissions réciproques puisqu'il aborde
aussi la punition réservée à cet esclave.. Ainsi on peut aisément voir que les
valeurs humanistes n’étaient pas le coeur doctrinal de Jésus Christ et dans les
évangiles Jésus n’a jamais formellement condamné l’esclavage mais on pourrait
soutenir qu’il lui a plutôt été favorable comme on peut le voir dans la
parabole citée plus haut.
Paul recommande aux esclaves
d’obéir à leurs maîtres avec crainte et tremblement comme au Christ.
Pour le Père de l’Eglise saint
Augustin, le fait que des hommes soient esclaves est une conséquence du
péché des hommes, avoir des esclaves n’est ni contraires à la loi
naturelle, ni à la loi Divine ni même à l’esprit de l’Évangile. Donc non seulement le Nouveau Testament n’est
pas formel contre l’esclavage, mais ce qu’il dit est favorable à son principe. Par
ailleurs le livre de l’Ecclésiastique nous donne le détail suivant ’’A l’esclave il
faut comme à l’Ane ni plus ni moins de la pâture, des cordes et du travail’’. Quand,
aujourd'hui, les nations chrétiennes oublient quel est exactement leur
héritage, et d'où il vient, par choix culturel, cet héritage chrétien, renié et
inconnu, se manifeste à leur insu sous une forme dénaturée des plus idolâtres.
Pourtant L’Eglise catholique est devenue, au 15e siècle, la première
institution mondiale à déclarer que «les vies noires ne comptent pas» au moyen d’une série de bulles papales, dont Dum
Diversas, de Nicolas V, en 1452. Le texte accorde en effet aux rois
d’Espagne et du Portugal «la permission
complète et libre d’envahir, de rechercher, de capturer et de soumettre les
Sarrasins et les païens et tous les autres incroyants et de réduire leurs
personnes en servitude perpétuelle». Avec la bulle du pape Alexandre VI Inter
Caetera (1493), l’Eglise a non seulement autorisé l’asservissement des
Africains et la capture de terres non chrétiennes, mais aussi apporté sa
caution morale au développement du commerce d’esclave transatlantique.
En résumé, il demeure donc établi
que la Bible
(Ancien et Nouveau Testament) fournissent au contraire un appui à l’esclavage.
Ce qui est plus étonnant, la pratique n’est jamais dénoncée comme un mal en
soi, et aucun des grands personnages de la Bible, à commencer par Jésus lui-même, ne s’est
élevé contre l’esclavage d’une manière catégorique. La caution de l'esclavage
sur une base raciale semble trouver son origine dans les écrits des Pères ou des
Saints de l'Eglise comme Origène d'Alexandrie et Ephrem le Syrien. Ainsi
l’église catholique n’a t-elle pas abusé sur une idéologie de légitimation de
l’Esclavage des Africains et de leurs descendants d’un point de vue doctrinal,
l’église a vulgarisé la fable de la descendance de Cham, fils maudit de Noé
dans la Bible,
condamné à n’être à jamais que l’esclave de l’esclave de ses frères,
identifiant les Africains aux descendants de Cham…
Donc la pratique de l'esclavage
par les Juifs est autorisée par la halakha, la loi juive, sous certaines
conditions restrictives et l'on retrouve de fait au cours de l'histoire des
Juifs impliqués dans le commerce des esclaves ou possédant des esclaves pour
leur propre usage. Les Juifs auraient eu un poids prépondérant dans la traite
atlantique, la finançant en grande partie sans trop insister sur la cruauté
particulière des esclavagistes juifs.
La traite chrétienne a toujours
duré malgré une lecture sélective du passé puisque plusieurs groupes chrétiens
et juifs servaient de pourvoyeurs aux négriers. Avec l'extension de l'Empire chrétien
en Europe, traite et esclavage restèrent florissants et des villes comme
Marseille, Gêne ou Venise, offrant de grands marchés d'esclaves, alimentés par
des raids terrestres et également maritimes.
L’esclavage n'est pas une réalité
identique pour tous les temps, à l'époque carolingienne, les captifs slaves
destinés aux marchés orientaux étaient quant à eux castrés à Verdun, principal
marché d'étape de ce trafic, avant d'être exportés via Venise vers le moyen
orient et l’extrême orient.
Côté musulman, l’esclavage a paru
d’autant plus discret qu’on l’a présenté, à tort, comme moins meurtrier, moins
capitaliste, plus calmant et plus paternaliste que la traite transatlantique. Les
formes d'esclavage, du monde musulman, ont été sans doute particulières et
peut-être peu raciales, en plus des classiques travaux domestiques, artisanaux
ou agricoles, les esclaves peuvent devenir favoris, conseillers, chambellans,
et surtout soldats, et surtout que l'asservissement des prisonniers de guerre
n'était pas pratiqué par les premiers Califes.
Contrairement à la chrétienté,
l’islam une religion égalitariste aurait réuni et assimilé les esclaves
convertis au sein de la communauté des croyants, le caractère moins marqué des différenciations
raciales a sans doute facilité les procédures d’assimilation, relativement à la
traite européenne, très marquée par les clivages entre Noirs et Blancs.
Des esclaves devenus musulmans se
virent ainsi confier d’importantes fonctions politiques et militaires. En
Egypte, par exemple, la fameuse dynastie des mamelouks alla jusqu’à s’emparer
du pouvoir au XIII° siècle. De son côté, Tarek Ibn Ziad, Berbère devenu
Musulman, se fit remarquer par son habileté au combat et finit par conquérir
l’Espagne.
Aujourd’hui le musulman est
chargé de tous les maux de la
Terre par ceux qui ont bien profité dans l’ensemble de ses
apports â leur civilisation. Même si le côté sombre n’est pas à nier. Il a
souvent privilégié ses intérêts économiques aux dépens de préceptes moraux
universels. L’esclavage période douloureuse de l’histoire humaine est le fruit
de plusieurs acteurs de l’humanité mais on retient surtout que celui de l’homme
Musulman.
Terrible constat d’une
différenciation entre les hommes malgré tous les préceptes religieux
Si l'on insiste autant sur
l'esclavage des blancs, notamment par la propagande médiatique qui ne parle que
d'elle, c'est avant tout par ethnocentrisme. Il faudrait savoir, soit l'on
aborde l'histoire comme un processus universel et dans ce cas on a une approche
anthropologique ou on explique que l'esclavage n'est qu'une extension de la
propriété privé que toutes les sociétés à un certain stade de leur
développement usent, et que l'esclavage systémique n'est que le résultat d'un degré
de développement matériel supérieur de la civilisation concernée par rapport à
celle qui ne font pas de l'esclavage un système aussi vaste.
De tout ce qui précède, il
résulte ceci : prêter aux Arabo Musulmans un rôle majeur, quasi-monopolistique,
dans la traite des esclaves est un
mensonge historique. Ce mensonge repose sur une falsification caractérisée des
archives et des travaux d’historiens sur la question, voire des plus
élémentaires sources musulmanes qui ne sont prises en compte.
Non que les musulmans aient
davantage fait preuve d’idéalisme que les autres mais par le fait qu’ils
aient joué un rôle des plus réduits dans l’organisation de l’esclavage résulte
sans doute, directement ou indirectement, des persécutions racistes. Dans cette
logique, il est d’autant plus piquant de leur prêter, rétrospectivement, un
monopole qui leur était interdit par l’Islam.
Comme je ne me lasserai jamais à
le répéter, le Qur’an n'est pas un livre Scientifique mais plutôt un livre de "Signes". Ces signes invitent
l'homme à réaliser le but de son existence sur la terre, et à vivre en harmonie
avec la nature.
Si Dieu ne nous parlait pas de
l'esclavage, comment devrait-Il alors faire pour nous obliger a l'abolir et
affranchir la société de ce caractère inhumain et de cette absence totale de
Morale. Si l’Islam est apparu alors que le monde était encore en pleine
transition entre l’ère esclavagiste et l’ère féodale, alors nécessairement,
certains mots font allusion à cette étape du développement historique afin d'y
mettre fin. Il est important de signaler que l'islam a bien pris naissance dans
un monde ou l'esclavage était un élément de société, et pourtant l’Islam
accorda un statut aux esclaves différent de celui accordé précédemment par
toutes les civilisations précédentes. L’Islam a commencé par exiger le bon
traitement des esclaves les citant en ce sens, mais, par la grâce divine, cette
grande religion ne s’arrêta pas là, car sa base fondamentale et suprême est
l’égalité complète entre les hommes, ce qui signifie la libération complète de
tous les hommes
Le Qur’an reste le seul livre
religieux établissant un plan d'état et privé d'affranchissement systématique
et progressif des esclaves, tout cela en sachant que l’Islam a clairement et
catégoriquement interdit la pratique primitive de la capture d’un homme libre,
pour le réduire à l’esclavage.