Le Sommet de la Ligue Arabe : Le Maroc au siège du chahuteur :

 Le concept le plus efficace du mensonge ne consiste pas simplement à dire le contraire de la vérité, mais plutôt à mentir en attribuant à votre ennemi vos propres faiblesses   et notamment d’inverser l’ordre de la séquence. Pour bien comprendre le Maroc, en tant que royaume et aussi en tant qu’État en faillite, ce qu’il est réellement à ce stade, il est utile de saisir un fait essentiel : l’ensemble de sa population est un exercice d’ironie tragique, un pays en reste infecté par la corruption et le trafic de drogue industriel. Le Roi ne dirige plus le pays réellement il n’a presque plus d’activités diplomatiques contraignantes et d’envergure depuis plus d’une année, cependant par des hommes de main, il gère et suit ses affaires personnelles qui prospèrent à haut niveau comme la pauvreté de ses concitoyens.

Par coup de poker dans un argument politique ou un simple alibi mobilisé, le souverain avait affirmé dans un récit radiotélévisé à la nation lors du discours traditionnel marquant l'anniversaire de son accession au trône. Un argument politique ou un simple alibi mobilisé.

« Nous aspirons à œuvrer avec la présidence algérienne pour que le Maroc et l'Algérie puissent travailler, main dans la main, à l'établissement de relations normales entre deux peuples frères»,

«Je souligne une fois de plus que les frontières qui séparent le peuple marocain et le peuple algérien frères ne seront jamais des barrières empêchant leur interaction et leur entente», a-t-il souligné, en exhortant les Marocains à «préserver l'esprit de fraternité, de solidarité et de bon voisinage à l'égard de nos frères algériens»

L’objectif étant évidemment  de promouvoir les pires horreurs avec la plus parfaite courtoisie, cultivé et habile, la parfaite incarnation de l’idéal du Royalement, de leurs ruses, de leur perversité et de leurs aspirations totalitaires.

Aujourd’hui, il est tout à fait compréhensible que l’on soit en droit de se demander pourquoi le Souverain n’a pas purement et simplement assisté au sommet en question et ainsi tendre sa main aux Algériens devant l’assistance complète du monde Arabe. Pourtant selon certaines sources, le souverain marocain avait donné son aval probable à une participation personnelle au sommet Arabe et l’absence de Mohamed VI au sommet d’Alger n’est pas de nature à arranger les choses puisque il s’agit d’un  scénario préétabli.

Cependant, lors de la préparation de cette participation, le makhzen avait communiqué la liste des personnes accompagnant le souverain, entres autres l’habilleuse du Roi, un compagnon de Roi, et le conseiller du Roi, un certain Juif Azoulay. Aussi, les autorités Algériennes avaient signifiés leur refus à recevoir, la nouvelle famille du Roi, comme trop souvent nommé par la presse étrangère, d’abord le Conseiller juif, ainsi que le fidèle Azaitar compagnon du Roi.

 

                                 

Ainsi, il est assez important de noter que pour l’ensemble des Algériens confrontés aux hostilités du Maroc, envers l’Algérie, la présence du souverain Marocain  aurait en tout cas été un événement triste et insupportable, une présence en somme toute banale qui aurait eu  des allures de tragi-comédie, tellement que le ridicule est à l’hauteur de la sottise,  car il s’agirait de recevoir un pire ennemi du peuple Algérien. En tout état de cause, Maroc est embarqué dans des trajectoires et des engrenages totalement contraires. 

En guise de provocation et par scénario préétabli, la délégation marocaine s'est plainte de ne pas avoir été reçue par les autorités algériennes de la même manière que les autres délégations et pourtant toutes les délégations ont été reçues cordialement conformément aux protocoles aux normes internationales en matière de relations et a se fier aux préparatifs, rien n’a été laissé au hasard, jusqu’au petit détail pour faire barrage à toutes ces tentatives mesquines pour tirer à boulets rouges sur ce sommet, son organisation et naturellement sur l’Algérie. Une deuxième pierre d'achoppement est apparue lors de la réunion des ministres, lorsque les envoyés du makhzen se sont rendus compte que la carte présentée par la chaîne d'information algérienne collaborant avec la Ligue arabe ne montrait pas les frontières reconnues par le Maroc en ce qui concerne le Sahara. L’objectif serait de chicaner, même superficiellement.

Le flop du Maroc au sommet de la Ligue arabe dont les responsables du Makhzen sont allés jusqu’à voir dans les relations qu’entretiennent Alger et Téhéran une alliance anti-arabe et qui pourrait, selon eux, pousser certains ennemis de l’Iran à vouloir perturber l’esprit unificateur  du Sommet. Pourtant l’alliance entre le Maroc et l’entité sioniste est nettement une coalition Anti Arabe, puisque même le Peuple Marocain manifeste contre cette alliance. Le Maroc chercherait ainsi à manifester durablement sa colère envers des États dont les positions diplomatiques sur le conflit du Sahara occidental n’épousent pas ses intérêts.

Le Maroc a en fait cherché à mettre le sommet arabe à l’heure des différends algéro-marocains, pour lui Alger se transforme chaque jour, avec une vitesse vertigineuse, en un viscéral ennemi, d’où des lancements de campagne est très virulente avec toutes sortes d’accusations avec une nécessité pour le Maroc d’opérer un aggiornamento.

N’en déplaise au Makhzen Marocain partisan du statut quo, la volonté algérienne était bien parti pour faire du sommet Arabe d’Alger le premier sommet de consensus Arabe.

N’en déplaise aussi à Israël, et ses relais normalisateurs qui ne veulent pas voir les Palestiniens renforcer leur union à l’occasion de ce Sommet d’Alger. L’union des États arabes était l’objectif premier de ce sommet, en dépit de quelques les hostilités inter-arabes qui demeurent encore.

Grand merci au Monarque Marocain de nous avoir épargner de sa visite en Algérie dont on peut exceptionnellement dire du mal, car nous ne sommes pas en mesure d’économiser notre indignation, il fallait s’indigner chaque fois qu'on trouve une énormité, que le groupe du Makhzen Marocain nous insulte et nous menace. Autre ineptie

Grand merci au Monarque Marocain de nous avoir épargner de sa visite car avec la prétendue ain tendue nous trouvons c’est que celle-ci cache dans son dos un couteau bien aiguisée.

Grand merci au Monarque Marocain de nous avoir épargner de cette visite dont le tapage médiatique de la récupération serait assez fort à supporter.

Grand merci au Monarque Marocain de nous avoir épargner de cette visite, car vous illustrez admirablement la métaphore lune/doigt.

Grand merci au Monarque Marocain de nous avoir épargner de cette visite, alors que le Maroc est gouvernée par un maffieux vieillissant, qui  ne pourra pas organiser sa succession. On sera dès lors à même de comprendre cette haine de l’Algérie et l’étonnement douloureux qu’elle suscite chez les Algériens ceux qui détestent encore plus les brassards aux couleurs arc en ciel.  

L’esclavage n’a jamais été institutionnalisé par une idéologie Islamique :

 La grande confusion autour de l’accusation portée sur l’esclavage et la traite négrière arabo-musulmane en Afrique faisant partie émergée de l'iceberg, qui aurait duré selon les estimations occidentales moins de 13 siècles et auraient touche de douze à dix-sept millions d’individus (le chiffre de n’a aucun fondement) le nombre d’Africains victimes, du VIIe au XXe siècle, soit à peu près autant que la traite européenne à travers l’océan Atlantique, du XVIe au XIXe siècle sans aucune donnée ni des sources. Le chiffre de n’a aucun fondement  pourtant on a toujours mentionné que la traite arabo-musulmane avait été un sujet tabou. On ne sait pas quels droits seraient refusés aux esclaves. À défaut d’établir une intention criminelle, qui n’existe pas, ils en sont réduits à présupposer la nature criminelle du musulman, selon la méthode rhétorique classique du racisme, qui attribue aux Musulmans des intentions criminelles pour mieux justifier leur condamnation, inculquée par des mentors politiques, universitaires et médiatiques.

Bref, des auteurs, qui prétendait éclaircir le débat sur l’esclavage multiplie les assertions sans les démontrer et propose au lectorat des affirmations gratuites qui ne font que nourrir la confusion. Pourtant on avait constaté que du côté musulman, l’esclavage a paru d’autant plus discret qu’on l’a présenté, à tort, comme moins meurtrier, moins capitaliste, plus calmant et plus paternaliste que la tout autre traite.

C’est exactement la stratégie de ces écrits fortement médiatisés, qui présente un fait marginal et commun à tous les pays du monde "l’esclavage", avant tout lié à l’exploitation de la détresse humaine, à de fortes disparités de revenu, à la précarité et à la clandestinité comme étant commun dans les pays musulmans et même directement encouragé par l’islam. Cette accusation est donc avant tout une (de plus)  propagande antimusulmane, sans aucune valeur. C’est l’aspect classique de "l'empoisonnement du puits", pour permettre de jouer aussi un rôle majeur dans la diffusion de la désinformation et des messages négatifs qui incluent des opinions sectaires, figées et divisibles. Ces vues tronquent des sujets ou des sujets extrêmement complexes en une seule image simpliste et sont destinés à transmettre la désinformation à un large d’adeptes.

En Occident, devant l’exotisme et la désinformation de masse, certains tellement sont-ils incapables de surmonter les incompréhensions et mécompréhensions se contentent de verser dans l’amalgame et les généralisations, en se pavanant avec un joli air d’autosatisfaction. L’esclavage n’a jamais été une question de religion mais toujours une question économique, d’où sa quasi universalité. On a des esclaves pour les faire travailler. Merci la propagande.

À notre époque, il est tout à fait compréhensible que l’on soit en droit de se demander pourquoi le Qur’an n’a pas purement et simplement aboli l’esclavage.

Bien au contraire, les versets du Qur’an et les hadiths du Messager (bénédiction et salut soient sur lui) comportent des dizaines de textes qui exhortent à la libération et à l'affranchissement des esclaves. L'Islam a aboli toutes les sources de l'esclavage qui existaient avant l'avènement du message et n'a retenu que la captivité consécutive à une guerre et concernant des prisonniers, ce qui n’a rien a voir avec l'esclavage comme compris de nos jours.

Si ce bref rappel nous semblait nécessaire, c’est qu’il permet de comprendre fondamentalement la position coranique en la matière. Il faut de même avoir à l’esprit que le Qur’an ne s’est jamais défini comme un code de lois chargé de régler tous les aspects de la société des hommes.

La grandeur de l'Islam apparaît dans toute sa plénitude, en premier lieu, il édicta donc une série de mesures en prise avec la réalité du VIIe siècle afin de rectifier les principales injustices qui étaient faites aux femmes dans cette société arabe comme en d’autres. Le Qur’an indiqua des voies d’amélioration des relations hommes femmes afin que dans la durée la société évolue vers ce point d’équilibre et de justice

Les femmes, l’Islam les a honorées, y compris en tant qu’esclaves, par rapport à ce qu’elles subissaient dans les pays non musulmans. Leur honneur n’était plus un butin auquel tout un chacun pouvait prétendre ; elles n’étaient plus réduites à la prostitution générale, alors que c’était le sort qui attendait le plus souvent les captives de guerre. L’Islam a fait des femmes esclaves la propriété exclusive de leur maître ; nul autre que lui ne pouvait s’introduire auprès d’elles. Il leur a accordé le droit de recouvrer leur liberté par un contrat d’affranchissement ; et une esclave qui accouchait d’un enfant de son maître s’affranchissait automatiquement, en même temps que son enfant.

A ce propos, le Très Haut dit : "…Ceux de vos esclaves qui cherchent un contrat d'affranchissement, concluez ce contrat avec eux si vous reconnaissez du bien en eux; et donnez-leur des biens d'Allah qu'Il vous a accordés.." (Qur’an, 24:33).

La vérité c'est que dans la mesure où a l'époque l’esclavage et la prostitution allaient main dans la main, le Qur’an avait pour but d’éradiquer l’esclavage en réhabilitant les esclaves, hommes et femmes, à travers l’institution du mariage. Ainsi, le Qur’an ne laissa absolument aucune porte fermée sur ce plan, en exhortant les hommes à trouver une épouse parmi les servantes sous leur autorité légale, à épouser leurs captives célibataires, et à libérer leurs esclaves par un contrat raisonnable. "Épousez-les donc avec la permission des leurs et donnez leur leurs dots, raisonnablement, comme à une femme chaste et méritante et vous n’en ferez ni des prostituées ni vos maîtresses…" (Qur’an 4:25)

Le Qur’an affirme avec force l’égalité de tous les êtres humains : « Ô Hommes ! Nous vous créons d’un mâle et d’une femelle et Nous vous avons fait peuples et tribus afin que vous vous entre connaissiez. En vérité, le plus noble auprès de Dieu est le plus pieux ; Dieu est parfaitement savant et informé. », Qur’an 49.3.

Ce verset évoque d’un même temps l’égalité des êtres, l’égalité des hommes et des femmes, l’égalité des peuples et des races, la richesse des échanges interculturels. la piété est ici considérée comme le seul élément de distinction et que cette dernière n’ayant de valeur qu’« auprès de Dieu », nul ne saurait en tirer avantage.

Quoiqu’il en soit, le Coran suivant sa logique indique que, plus encore, le maître doit assister matériellement le candidat à sa propre libération afin qu’il ne soit pas du fait même de son affranchissement marginalisé et économiquement faible, le tout par contrat : « ... quant à ceux de vos esclaves qui souhaitent un contrat d’affranchissement, concluez ce contrat avec eux si vous leur connaissez quelque bien et dotez-les d’une partie des biens que Dieu vous a donnés… », (Qur’an 24-33)

Autre approche de la question, le Qur’an encourage l’homme libre à se marier avec une esclave : « Quant à celui d’entre vous qui n’a pas les moyens d’épouser les femmes croyantes de condition libre et de nobles mœurs, alors celles que vos mains droites possèdent parmi les jeunes femmes croyantes, Dieu connaît parfaitement votre foi, les uns comme les autres. Épousez-les donc avec la permission de leurs maîtres et donnez-leur dotation nuptiale selon les convenances… », (Qur’an 4-25))

Enfin, le Qur’an va intervenir en amont en supprimant une des sources majeures d’alimentation des marchés d’esclaves, à savoir : les prises de guerre. En effet, dans la tradition antique, lors d’une razzia ou d’une guerre tout ce dont on s’emparait en matière de butin était considéré comme biens meubles : réserves alimentaires, troupeaux, femmes et hommes, ceux-ci étant systématiquement asservis : « Lorsque vous vous affrontez les dénégateurs, frappez-les à la nuque jusqu’à ce que vous leur fassiez éprouver la défaite. Puis liez-les solidement [c.-à-d. les prisonniers de guerre]. Alors, soit ensuite vous leur faites grâce, soit vous en demandez rançon, ce quand la guerre aura cessé », (Qur’an 47-4)).

Il y a bien là l’interdiction de mettre en esclavage les prisonniers de guerre puisque ces dernières ne pourront qu’être libérées, ou gracieusement ou contre rançon.

Le Qur’an dresse un vrai plan pour contrecarrer et pour faire place nette de l'esclavagisme. Dans le cadre de ces directives, et étant donné le contexte qui prévalait le Prophète béni, paix et salut sur lui, a dit que ce ne sont que des circonstances contingentes qui ont fait de ces êtres sous la direction d'autres et il est parfaitement possible qu'ils soient eux-mêmes maîtres de ceux qui le sont aujourd'hui. Par cette sentence, le Prophète réduit à néant l'arrogance des maîtres et les renvoie à la fibre humaine qui les relie tous et à l'amour qui doit gouverner leurs relations les uns les autres. Je ne pense pas que l'on puisse être aussi clair et ce n'est vraiment pas la peine de créer des amalgames sur ce plan.

Il n'y a rien à expliquer, tout est clair. A travers son vocabulaire ingénieux et ses édits abolissant l’esclavage, le Qur’an offre tout simplement un statut nouveau et ennoblissant aux esclaves et aux servants, qui, historiquement, se voyaient reléguer au plus bas niveau de la hiérarchie sociale.

L’auteur Muhammad Yunus disait qu'en somme : les répliques répétées du Qur’an en faveur de la libération des esclaves, ses injonctions claires à en prendre soin, à les libérer et à les épouser, son vocabulaire ennoblissant à l’égard des esclaves, des servantes et des captifs, ainsi que l’absence de distinction entre esclaves et hommes libres dans tout son droit social et civil, prouvent amplement que le Qur’an avait pour but de déraciner l’esclavage.

Autre interprétation n'est que sornette.

Le Qur’an avait introduit des injonctions contre l’esclavage et ses réformes sociales et morales ont donné des directives claires dans le sens de la libération des humains, et donc l’idéal coranique c'est l'avancée vers une société sans esclaves. La concrétisation de cela dans la société dépendra par la suite de la volonté humaine. On saura a chaque fois comment le sens de la liberté a pénétré dans l’âme humaine. Ensuite, ce sera encore utile si jamais ce vice venait de réapparaître dans les temps futurs en cas de délaissement. Je suppose, que cette méthodique devient donc en elle-même et en soi une véritable conduite a suivre faisant partie de la révélation d'Allah le tout Puissant et le Sage. En fait cette Sagesse divine ne peut échapper a personne de notre temps.

La seule exception c'est son abolition par l’Islam. Gloire aux musulmans qui ont largement dit leur horreur de l'esclavage, ils l'ont même aboli, Ce fut un grand pas pour l’Humanité, le monde musulman est la première civilisation à se questionner et à débattre sur la possibilité du droit des hommes à asservir une population.

L’esclavage était naturel jusqu’alors, les grecs, les romains, les byzantins, les asiatiques, les africains, les aztèques, etc, ne se posaient pas la question de savoir si la population vaincue avait des droits ou pas, elle était humiliée et souvent réduite en esclavage. !

Demandez donc aux esclavagistes actuels d'en faire autant avec l’esclavagisme moderne!

Chaque peuple  a ses ombres et ses lumières. Sans alarmisme aucun IL ne s'agit pas de faire un concours de victimisation Toutes ces jérémiades à la mode ont en fait des propos subjacents de propagande qui d’ailleurs peuvent servir à tout le monde, c’est qu’il y a une compagne contre les Arabes pour les montrer comme les esclavagistes les plus monstrueux du temps. Beaucoup de marchands d’esclave sont juif, les noms à consonance arabe ne doit pas faire oublier sur leur confession. Cet aspect est occulté pour ne parler que des arabes.

Quant à la castration, il faut précisé, elle reste dénoncée, cependant elle avait été appliquée   particulièrement pour l’homme  blanc ou noir charger du harem et jamais généralisée à toute une race, contrairement à ce que  raconte la propagande que les médias et des pseudo intellectuels  afin de dédouaner une vérité historique ou le peuple noir s’est vu refusé l’accès à l’humanité au prétexte qu’il a la peau noir, dans le monde arabe, des noirs ont eu accès à des postes de gouvernement comme les juifs. Autant il existe encore de tribalisme et de clanisme autant la séparation entre gens en fonction de la couleur n’existe pas, s’il y a de racisme contre le noir il est particulièrement marginal, la religion et l’appartenance à un groupe sont les plus déterminant et non la couleur de la peau.

On devrait sûrement se pencher sur le mystère du quasi inexistence des populations noires dans les pays arabes malgré l’arrivée massive des esclaves noirs. Je suis sûr que la castration systématique ne suffit pas à tout expliquer. Car, si les esclaves hommes n’ont pas pu donner de descendance, les jeunes filles et les femmes esclaves ont eu une activité sexuelle, notamment dans les harems où elles ont pu donner des enfants à leurs « maîtres » arabes. On ne peut encore accabler les Arabes en imaginant qu’ils ont pu éliminer leurs propres enfants qui naissaient dans les harems ou, plus généralement, de leurs maîtresses noires, que devenaient les enfants des femmes esclaves. 

Les détracteurs de l’Islam veulent à tout prix, maintenir la confusion dans l’esprit des gens en établissant un lien direct entre l’antisémitisme, d’un côté, et de l’autre, leur propre propagande anti-arabe et anti-musulman inconditionnelle et obsessionnelle. Rien n’a changé dans la dialectique occidentale, on désigne le coupable, l’Islam et le Qur’ran, et c’est lancé, il suffit de couper la réalité, de tailler dans les faits, de réduire les raisons historiques, de diaboliser le coupable désigné, ...

Conclusion le monde Arabo-Musulman avait pratiqué la traite et esclavage à leur manière, et ils ont aussi pendant longtemps oeuvrée pour y mettre un terme. Loin de tout manichéisme sans avoir peur du jugement qu’on pouvait porter sur leurs affirmations, en affrontant les certitudes venues d’ailleurs et, en réfutant les mensonges sur des réalités qu’ils connaissaient.

Par ailleurs, ceux qui jouent avec ce genre de thèse risquent de la voir se retourner contre eux, beaucoup de marchands d’esclave sont juif, les noms à consonance arabe ne doit pas faire oublier sur leur confession. Cet aspect est occulté pour ne parler que des arabes.

L’esclavagisme Transatlantique : le crime sous bénédiction de l’Eglise !

Les liens entre l’institution ecclésiale  et esclavage sont complexes L’obtention du salut pour les esclaves est considérée comme de première importance par les théologiens,  et  incite les esclaves à l’obéissance envers leur maître s’ils veulent être sauvés. Les théologiens chrétiens considèrent que, dans la mesure où ils ont été acquis légalement comme esclaves sur les côtes d’Afrique, la traite et la servitude sont légitimes.

On ne peut parler ici de falsification de l’histoire. La traite occidentale est une réalité, qui a d’ailleurs duré plus longtemps que la traite d’autres sociétés. Le discours catholique reste influencé, par l’adage : « Hors de l’Église, pas de salut. » et fait ressentir aux protagonistes leur grande noblesse mais l'Eglise elle donne en plus des leçons.

L'esclavage et plus particulièrement la traite des noirs ne datent, ni l'un ni l'autre, de l'ère chrétienne. Cependant, force est de reconnaître que son ampleur a bien été l'œuvre de l'Occident chrétien. D'abord, au 15ème siècle, le Portugal fut le premier royaume blanc et chrétien négrier, grâce au soutien financier de l'Ordre du Christ Jésus. Ensuite, les Portugais inventèrent le funeste commerce triangulaire, vers 1470, pour l’Europe chrétienne, poursuivre la conquête de l’atlantique est une nécessité.

La papauté favorise l’expansion portugaise, apportant sa caution morale, le pape accorde des « droits à coloniser » et va même jusqu’à autoriser un « esclavage perpétuel ». Les razzias peuvent donc se poursuivre dans un cadre légal. Des droits de propriété sont accordés pour l’appropriation de territoires africains découverts le long de la côte africaine. Les armateurs et navigateurs construisent leur fortune sur la traite d’esclaves.

En un siècle, Lisbonne devient la ville la plus riche d’Europe, devant Paris, Londres ou Amsterdam. Le nombre d’esclaves noirs y augmente de plus en plus,les esclaves n’ayant pas droit à une sépulture, le roi Manuel règle la question en faisant creuser un puits très profond et en y jetant les cadavres recouverts ensuite de chaux vive. La rue « du puits des nègres » en témoigne encore aujourd’hui. On dénombrait environ 10 % de la population noire à Lisbonne. Des centaines de milliers d'Africains furent vendus aux enchères, comme des marchandises, au Portugal, puis au Brésil (ex-colonie portugaise).

Ensuite, les juifs de la finance, prirent le relais, très lucratif, des Portugais. Ils  gèrent et industrialisèrent le nouveau commerce triangulaire, celui transatlantique. En l'espace de 200 ans, ils firent massivement le commerce d'êtres humains, noirs, déportés d'Afrique vers le Nouveau Monde. un territoire réservé des chrétiens blancs !

En France, à la même époque, le Roi Louis XIV Très Chrétien, édicte le célèbre et terrible Code noir, qui élève l'Africain (esclave nègre) au rang, non pas d'être humain, mais de simple marchandise, d'outil agricole, au service de son maître, qui doit obligatoirement le faire baptiser afin que Jésus soit en lui, puis, après, il aura le droit de vie ou de mort sur lui. Il ne faut pas oublier, en sus, que le Code noir régissait dans les colonies françaises l’ensemble des soumissions et tortures légales des esclaves. Ce Code fait expressément référence à l’église catholique seule religion autorisée dans les colonies, monopole sur le marché de Dieu.

Ces faits historiques et non exhaustifs étant un rappel que les textes de la Bible chrétienne montrent clairement que Jésus tolérait l'esclavagisme. Et, de toute façon, avec un vide de 18 Années sur sa vie, allez savoir s'il n'était pas lui-même esclavagiste  (les preuves manquent). Jésus était un zélote, c’est à dire un anarchiste de première Selon les écritures Jésus disparaît dans le désert pendant 40 jours, et beaucoup pensent que c’est à cette période qu’il prend contact avec une secte gnostique : les Esséniens. Ensuite, il y a les écrits  qui se sont étalés sur plusieurs siècles (anciens et nouveau testaments) et quand un scribe (ils n’avaient pas le droit de savoir lire) ne comprenait pas une lettre, il écrivait n’importe quoi. C’est une chose attestée depuis longtemps.

Comment cette chère église d’amour et de justice avait pu commettre toutes les atrocités qui sont liées à son histoire.

Quelle religion a autant de morts sur la conscience que celle de Jésus ?

L’église était propriétaire d’esclaves. Elle avait des exploitations qui pratiquaient l’esclavage. Elle s’est enrichie avec la traite négrière, alors les ecclésiastiques tels le Père Labat n’auront aucun problème de conscience pour devenir des propriétaires d’esclaves.

J’estime que l’église de l’époque avec sa morale évangélique aurait dû rejeter l’esclavage, cependant l’une des justifications historiques de l’esclavage avait été l’évangélisation surtout avec le Nouveau Testament les églises chrétiennes ne purent pas non plus y découvrir d’appel à abolir l’esclavage…

L’Eglise a continué jusqu’à nos jours avec son obscurantisme, ses magouilles financières, et ses perversions qu’elle continue à dissimuler, faut-il se réjouir de cet effacement progressif du christianisme ?

Oui: le christianisme était porteur d’une morale assez simpliste, mais méprisable. L’affaire de la pédophilie, qui prend des proportions extravagantes, n’est pas faite, évidemment, pour la redorer et va accentuer le désarroi des âmes simples qui ne sont pas capables de se tenir debout toutes seules et ont un grand besoin d’être étayées par les croyances qu’on leur fabrique. L’église à 2000 ans d’histoire, elle a été confrontée à des crises énormes, elle a commis des fautes et des erreurs nombreuses car humaines L’Inquisition est le fait de l’Église ? Et les persécutions de femmes (« sorcières »), de savants, d’« hérétiques » qui ont brûlé sur tant de bûchers ? Les persécutions de juifs pendant des siècles ? Le vol et la maltraitance d’enfants, les conversions forcées, etc. etc. Aujourd’hui la canonisation d’imposteurs (Padre Pio, Foucault) de génocidaires (Junipero Serra), de sadiques (Mère Teresa) prouvant que le mensonge et l’esprit du mal sont toujours là. La civilisation chrétienne est en train de disparaître.

A partir du moment où l’église s’estime être dépositaire des vérités ultimes, ce qui est une preuve indiscutable de ridicule, elle se croit tout permis!

Il convient par conséquent de rendre au christianisme ce qui lui revient et comme partout, le christianisme cherche encore sa route et ça ose parler d’esclavagisme des autres !

 

 

L’esclavage pratiqués par les Juifs : Un crime contre la vérité !

Les Égyptiens, Les Grecs, les Romains, les Byzantins et les Chinois avaient des esclaves, bref, je crois pouvoir dire que l’esclavage était largement partagé à toutes les époques et par toutes les civilisations. Cependant la palme d'or du commerce de l'esclavage revient aux juifs, qui depuis prés de 20 siècles ont fortement dominés le secteur de ce commerce et un peu plupart la traite négrière.

Le passé juif de commerce et de la pratique d’esclavage se justifié par certaines interprétations talmudiques de la Torah qui illustre parfaitement cette dimension religieuse dans le comportement des juifs, envers les autres peuples suivant, le judaïsme qui reconnaît explicitement le droit de posséder des esclaves non juifs,  quelques citations d’écrits religieux juifs :

«Le peuple de Yahvé est le peuple distingué parmi tous les peuples. » (Exode, 33/16)

«Israël est le peuple élu entre toutes les nations » (Deutéronome. »10/15).

«Le Seigneur t’a choisi pour être peuple à Lui parmi tous les peuples de la terre» (Deutéronome, 14/2).

« Tous les peuples que le Seigneur ton Dieu te livre, tu les dévoreras, tu les regarderas sans pitié » (Deutéronome, 7/16).

« De tes fils tu feras des princes par toute la terre » (Psaume 45/17).

« Yahwé a mis Israël à la tête de toutes les nations » (Psaume 18/44).

« Le Seigneur ton Dieu, exterminera les peuples chez qui tu te rends pour les déposséder de leur territoire » (Deutéronome, 12/29).

« Les dieux des autres peuples sont des fantômes, des idoles et des démons » (Deutéronome, 32/17).

« Aux serviteurs des idoles, il faut faire une guerre d’extermination. » (Deutéronome, 13/16-18).

Au moyen âge, c’était Juifs, à leurs richesses, à leurs trafics d'esclaves que, dans la première moitié du IXe siècle, devait s'en prendre l’église catholique, les accusant de voler des enfants chrétiens et de les mêler aux troupes d'esclaves païens destinés aux marchés espagnols. Les marchands juifs de Verdun étaient accusés de transformer en eunuques les esclaves provenant des pays germano slaves afin d’alimenter un trafic prospère dans le sud de l’Espagne (musulmane) à Cordoue. Ils rapportent d'Occident des eunuques, des esclaves des deux sexes, du brocart, des peaux de castor et des autres fourrures et des armes

L'esclavage est mentionné dans les sources juives (Pentateuque et Talmud) et, à ce titre, les Juifs intègrent également une pratique courante des sociétés gréco-romaines.

Dès les origines de l'époque biblique, l'esclavage est considéré comme un châtiment ("Maudit soit Canaan ! Qu'il soit l'esclave des esclaves de ses frères" Gen. IX 25), et comme une dégradation, conséquence d'un comportement immoral ("Cham, père de Canaan, vit la nudité de son père et alla dehors l'annoncer à ses deux frères" ibid. Gen. IX 22).

Un argument théologique et un simple alibi mobilisé par les partisans de la traite afin de la justifier. Les juifs l’utiliseront souvent pour légitimer l’esclavage des Noirs en les désignant comme les « descendants de Cham ». La version déformée de la malédiction de Cham qui avait servi de justification idéologique à l'esclavage des Noirs, les descendants de Cham étant devenus Noirs. C'est exact, mais dans la tradition de Maïmonide, cette tradition déformée était répandue largement dans le Judaïsme. L'esclave étranger n'est pas sur un pied d'égalité avec l'esclave juif (au statut temporaire et qui n'est pas la propriété du maître) :

"Ton esclave ou ta servante, que tu veux avoir en propre, doit provenir des peuples qui vous entourent ; à ceux-là vous pouvez acheter esclaves et servantes. Vous pourrez en acheter encore parmi les enfants des étrangers qui viennent s'établir chez vous, et parmi leurs familles qui sont avec vous, qu'ils ont engendrées dans votre pays : ils pourront devenir votre propriété" (Lév. 25 44-45)".

Ils ont farouchement défendu la traite négrière, jusqu'a son abolition les propriétaires de ces bateaux étaient Juifs, comme souvent même les capitaines pour  monopoliser la totalité du trafic d’esclaves (par exemple, au Moyen Age, la traite de « l’or blanc et blond » d’Europe vers l’Arabie). De plus, certains indices très concrets semblent démontrer qu’actuellement la traite d’êtres humains en provenance d’Asie, d’Amérique latine et d’Afrique vers l’Europe est dirigée par des membres et associations de passeurs juifs avec des milliards de profit.

Ainsi Moïse Maimonide né à Cordoue en 1138, dans l'Espagne alors musulmane et mort au   Caire  en 1204, est considéré aujourd’hui comme l'un des meilleurs exégètes du Talmud. Dans son traité "Le livre des égarés" il écrivait :

"Quant à ceux qui étaient hors de la ville, ce sont tous les hommes qui n'ont aucune croyance religieuse, ni spéculative, ni traditionnelle, comme les derniers des Turcs à l'extrème-nord, les nègres à l'extrème-sud et ceux qui leurs ressemblent dans nos climats. Ceux là sont à considérer comme des animaux irraisonnables; je ne les place point au rang des hommes, car ils occupent parmi les êtres un rang inférieur à celui des hommes et supérieur à celui des singes, puisqu'ils ont la figure et les linéaments de l'homme et un discernement au celui de celui du singe"!

Voici ce qu’écrivait Israel Shahak dans son livre « histoire juive-religion juive » : « j’ai à maintes reprises dénoncé en termes très durs le sionisme et l’oppression des palestiniens, mais ce qui m’a attiré les pires attaques, c’est un de mes premiers articles sur le rôle des juifs dans le trafic des esclaves, où je signalais, exemple vérifiable à l’appui, que ce trafic durait encore en 1870 ».

Selon le témoignage du général Daumas, publié en 1856, il disait : le commerce des esclaves conserve encore une certaine activité à Oran. Les juifs en sont les courtiers ordinaires »...

On a pu retrouver une grande partie des actes de possession d’esclaves que des juifs avaient consignés dans des synagogues. Le plus marrant n'est pas le silence au sujet de la traite transatlantique par des esclavagistes juifs la plus camouflée est bien innocente en fait avec ses émasculations systématiques et ses vaisseaux de la mort en plein mer, et qui n'a rien d'émouvante, effectivement, pour un antiraciste ordinaire: la Torah l'autorise.

Ce qui ressort de toutes ces charlataneries, l’envie juive de dominer n'est jamais en doute !

Comme on dit très souvent, la violence n’est toujours pas du coté que se croit, la doxa médiatique dominante prétend que commerce triangulaire n'existe pas, ou l'ignore totalement, alors qu'elle est encore résiduelle aujourd’hui.

Que les Juifs aient été les principaux esclavagistes n'était déjà pas un secret, que les Arabo-musulmans furent les acheteurs et marchands d’esclaves, que les Européens ont pratiqué le commerce triangulaire pendant environ trois siècles … tout cela est vrai et surtout devrait être porté à la connaissance des racistes actuels qui ne voient que des Arabes dans cette affaire. Si ces derniers ne furent pas des anges ce ne furent certainement pas les pires !
Savent-ils que l'émasculation de leurs ancêtres était le fait, non seulement des Arabes, mais surtout des marchands Juifs. En effet, la mortalité suite à cette castration était telle que les Arabes préféraient acheter des esclaves déjà castrés et opérationnels.

Il est donc nécessaire de signaler que les juifs ont joué un rôle central dans le trafic d’esclaves africains.

Selon l’auteur Américain Lenni Brenner disait que  « dès le début de l’époque coloniale, des hommes d’affaires juifs furent impliqués dans le commerce des esclaves sur le continent nord-américain et participèrent à l’infâme commerce triangulaire ».

en juin 2009, le journal  Financial Times a révélé l’existence des archives nationales prouvant l’implication du banquier juif Nathan Rothschild dans la traite négrière.

Dans le livre « the secret relationship between blacks and jews », la responsabilité massive des juifs dans la traite des esclaves est bien mise en évidence et ils ont été les champions toutes catégories du commerce des esclaves?

Entre 1661 et 1666 à Oran comme à Melilla ou à Ceuta, la communauté juive manifestait un remarquable dynamisme. Le marché d’esclaves, qui dans ces conditions était d’une extrême activité, Interprètes, espions, guides lors des expéditions conduites dans les terres des alentours, collecteurs d’impôts, prêteurs, marchands enfin, les juifs d’Oran participaient à toutes les transactions. Le commerce des esclaves, l’un des plus considérables et des plus fructueux, ne pouvait échapper au contrôle des membres des familles juives locales avec tous les aspects du phénomène servile.

Ceci n’a jamais été non plus évoqué par les sicaires sionistes qui exercent ainsi, un véritable racket intellectuel, financier et moral sur les sociétés occidentales. Ce qui leur permet dans un deuxième temps, la poursuite de leurs crimes en toute impunité.

Il y a bien pire que les esclavagistes, ce sont les négationniste d’aujourd’hui, ou les inverseurs de rôle, au sujet de cette aspect de l’histoire et s’appuyant sur des éléments fantaisistes et des inventions qu’elles propagent comme historiques, de même que de vouloir faire du bourrage de crâne comme c’est le cas avec la Shoah par exemple, provoque l’effet inverse tant la culpabilisation est lourde. Et ce concours victimaire prend aujourd’hui des proportions absurdes parce que les juifs  veulent toujours détenir la palme de la souffrance et de la maltraitance, quitte à inventer des faits historiques non avérés par l’Histoire et l’archéologie.

Pourquoi ne font pas le hallali contre les Grecs, les Romains eux aussi étaient des esclavagistes et surtout que les Arabes étaient loin d’avoir le monopole sur cette pratique qui a été mise en œuvre dans toutes les grandes civilisations, on inverse les rôles et les responsabilités et on pratique l’inversion accusatoire ?

Je me souviens avoir lu que des commentateurs juifs avoir réagir aux propos d’un universitaire qui expliquait que la traite negriere s’était faite en Afrique avec la complicité des Juifs du continent européen, en effet tous ces commentateurs sans exception et sans la moindre nuance dans les propos, s’affirmaient être scandaliser qu’on puisse oser énoncer une chose pareille (que des Juifs participaient a la traite) alors que c’est pourtant un fait historique indubitable et parfaitement établi ! Ce n’étaient que des hurlements de protestation envers une vérité historique qui tombe sous le sens. L’histoire des juifs est à l’image de ceux-ci, mêlant le pire et le meilleur.  Le juif a encore des efforts à faire.

 

 


 

L’esclavage n’était pas le fondement du Monde Arabo-Musulman !!!! :

 « Ce que je crois vrai, c’est que l’esclavage chez les musulmans, est meilleur que ce qu’il est chez les autres, et le statut des esclaves en Orient est meilleur, que celui des domestiques en Europe, et les esclaves en Orient font partie de la famille (du maître), et ceux d’entre eux qui veulent recouvrer leur liberté, l’obtiennent dès qu’ils en manifestent le désir. Mais ils ne font pas usage de ce droit.» Gustave le Bon, La civilisation des Arabes, (p.450-460)

Il faut arrêter de regarder l'histoire avec la morale occidentale d'aujourd'hui, Les manuels d'histoire n'ont jamais véritablement respecté la vérité historique, ce sont devenus aujourd'hui des outils de propagande, la transmission des savoirs a été remplacée par un discours vide de sens, le médiocre a supplanté la rigueur. Beaucoup d’événements dans l'histoire, sont déformées, dissimulées encore plus inventées ou pure fabulation.

L’esclavage a partout et de tout temps fait partit de la nature humaine, l’esclavage, est l’un des rares traits qui fussent communs à toutes les civilisations. Partout dans le monde, l’esclavage était  une institution normale, aussi ordinaire qu’elle l’était dans la Grèce antique, chez les Byzantins, les Romain, les Perses, les chinois, Europe préindustrielle et l’Amérique et pratiquée sur une échelle massive.  Bref tout le monde

La tromperie par la manipulation du récit historique de l'histoire des peuples, en occultant certains faits, en tronquant certaines vérités constitue à mes yeux une sorte de crime contre l'humanité. Une telle falsification de l’Histoire cherche évidemment à redonner du souffle au vieux mythe de l’esclavage Arabo-Musulmane naît dans les milieux suprématistes occidentaux ainsi que par des démagogues chrétiens et juifs. Ces derniers, ce faisant, instrumentalisent hypocritement la souffrance des victimes de la traite, et la mémoire qu’ils ont léguée à leurs descendants, au nom d’un discours de haine.

Elles permettent de déduire que la traite orientale a été organisée et dirigée par des esclavagistes musulmans et non par les juifs, comme ont voulu le faire accroire les prétendus historiens, en fait des falsificateurs. Cette  traite  négrière, organisée et dirigée par des esclavagistes juifs, n’avait atteint les sommets de la sauvagerie et de la barbarie bien plus qu’ont connues les traites négrières organisées par l’Occident. Il est grand temps de régler, à l’heure exacte, la pendule de l’histoire.  

En somme, l’esclavagisme n’a rien de spécifiquement Arabo-Musulmane. Le fait que ce sont des Noirs d'Afrique qui capturaient d'autres Noirs d'Afrique, leurs frères puis qui les revendaient ensuite à des négriers européens, sans oublier de noter que l’activité de la communauté juive y était orientée essentiellement vers une pratique particulière dont elle avait le monopole: la traite des esclaves castrés par des médecins juifs avant expédition vers le Califat de Cordoue. Arrêtons de juger le passé à l’aune de la moralité d’aujourd’hui ! L'esclavage est une constante de l'Humanité...le vainqueur fait du vaincu son esclave...on trouve toujours une "bonne raison" pour soumettre le plus faible...

Oui il faut le dire et il faut le répéter : pendant plus de trois siècles, ce sont des chefs de tribus Noirs d'Afrique qui se sont grassement enrichis sans scrupule, sans vergogne et sans aucun remords grâce aux considérables bénéfices tirés du commerce de la traite avec les Européens... La plus grande ignominie de l'esclavage ne tient pas en l'asservissement du Noir d'Afrique, par un autre peuple, mais réside en les honteux, scandaleux et impardonnables profits colossaux que des chefs des tribus noirs ont réalisés grâce au juteux commerce de la traite en revendant à prix d'or d'autres hommes noirs à des Européens. lors qu’elle a été organisée et dirigée de bout en bout par des esclavagistes juifs avec un quasi-monopole des marchands juifs dans la castration des eunuques, dont Verdun serait le principal centre, et plus généralement dans le commerce des esclaves à destination du monde musulman, en particulier par l’intermédiaire d’al-Andalus. Ainsi donc le commerce d’esclaves slaves entre la Gaule carolingienne et al-Andalus serait un quasi-monopole des marchands juifs du fait de leur neutralité confessionnelle et des facilités que leur procurait leur réseau de communautés. Confirmée par le Kitâb al-masâlik wa-l-mamâlik du persan Ibn Khordadbeh composé entre 846 et 885. Dans le passage bien connu traitant des juifs « radhanites », l’auteur rapporte que le troisième itinéraire de ces marchands juifs, qui vendaient entre autre des esclaves et des eunuques (slaves), partait de Gaule et d’al-Andalus pour se rendre en Orient via le Maghreb. Que dire alors de la place de l’Occident et de ses centres de castration dans le commerce d’esclaves slaves?   

A travers sa description des itinéraires empruntés par les marchands d’esclavages Lisbonne, Séville, Málaga, Valence, étaient des lieux d’arrivée régulière de contingents d’hommes et de femmes alimentant les marchés où les particuliers venaient s’approvisionner.

Pendant de longues siècles, les juifs seront les uniques intermédiaires commerciaux entre l’Orient et l’Occident, ils auraient été les premiers légitimé l’esclavage dans leur religion ; obsédés par l’argent, ils auraient également initié et organisé la « traite négrière », d’où ils auraient tiré cette immense fortune qui, comme chacun sait, leur permet de tirer les ficelles de la politique mondiale. Ils ont joué en revanche, comme en témoignent d'innombrables auteurs juifs, un rôle déterminant dans ce domaine, à tous les niveaux. Compte tenu de leur habileté incontestée en matière commerciale et financière, de leur grande mobilité, de leurs attaches communautaires et de leur expérience passée remontant aux premiers siècles du Moyen Age. Bien sûr, le rôle joué par Eglise catholique a été bien pire  en particulier dans les colonies africaines. La différence, c'est que tout le monde a le droit d'en parler, alors que la question de la responsabilité juive est totalement taboue.

Mais il est délectable au passage de rappeler qu'il n'y a pas que les nations arabo-musulmanes et de se demander en toute innocence ce qu'il en était, au fait, de la possession d'esclaves au sein des autres communautés à travers le monde.

Cette orientation polémique mise sur la traite Arabo-Musulmane relève souvent d’une intention grave afin attiser une haine anti-islam en tant que tel, une injure à l’honnêteté, la bonne foi et la justice, La supercherie se donne des airs de noblesse dans le but de pourvoir les dénigrements et  rééquilibrer la traite atlantique avec 12 Millions de personnes touchés contre probablement 17 Millions de personnes pour la traite Arabo-musulmane, une guerre de chiffre pour grossir l’une par rapport à l’autre. Une véritable tendance à minimiser ou occulter les formes d’esclavage pratiquées dans les pays du monde occidental. La haine masquée en mode dédiabolisation provisoire pour faire oublier ce qui intéresse le citoyen, la traite de l'esclavage pratiqué par le monde Occidental. Bientôt, ils diront c'est pas nous c'est les Arabo- musulmans.

J'aimerais faire comprendre en quoi l'islam, une religion qui prône le respect pour chaque être vivant sur cette terre quel qu'il soit, la dignité de chaque être, ainsi que son intégrité physique et psychologique peut-il tolérer l'esclavage pour ménager un peuple dont le droit de vie ou de mort sur un être humain est monnaie courante depuis des siècles ?                                    

J'aime également faire des comparaisons entre le monde islamique et le monde chrétien, sans pour autant chercher à établir une hiérarchie qui pour moi n'a pas de sens.

C'est pourquoi, je me suis permis de citer Luc 12.47

« Le serviteur qui, ayant connu la volonté de son maître, n'a rien préparé et n'a pas agi selon sa volonté, sera battu d'un grand nombre de coups. »

Ainsi nous relevons que Jésus Christ donne sa vision des relations entre maître et esclave, vision s'inscrivant dans un cadre plus vaste qui celui des soumissions réciproques puisqu'il aborde aussi la punition réservée à cet esclave.. Ainsi on peut aisément voir que les valeurs humanistes n’étaient pas le coeur doctrinal de Jésus Christ et dans les évangiles Jésus n’a jamais formellement condamné l’esclavage mais on pourrait soutenir qu’il lui a plutôt été favorable comme on peut le voir dans la  parabole citée plus haut.

Paul recommande aux esclaves d’obéir à leurs maîtres avec crainte et tremblement comme au Christ.

Pour le Père de l’Eglise saint Augustin, le fait que des hommes soient esclaves est une conséquence du péché des hommes, avoir des esclaves  n’est ni contraires à la loi naturelle, ni à la loi Divine ni même à l’esprit de l’Évangile.  Donc non seulement le Nouveau Testament n’est pas formel contre l’esclavage, mais ce qu’il dit est favorable à son principe. Par ailleurs le livre de l’Ecclésiastique nous donne le détail suivant ’’A l’esclave il faut comme à l’Ane ni plus ni moins de la pâture, des cordes  et du travail’’. Quand, aujourd'hui, les nations chrétiennes oublient quel est exactement leur héritage, et d'où il vient, par choix culturel, cet héritage chrétien, renié et inconnu, se manifeste à leur insu sous une forme dénaturée des plus idolâtres. Pourtant L’Eglise catholique est devenue, au 15e siècle, la première institution mondiale à déclarer que «les vies noires ne comptent pas»  au moyen d’une série de bulles papales, dont Dum Diversas, de Nicolas V, en 1452. Le texte accorde en effet aux rois d’Espagne et du Portugal «la permission complète et libre d’envahir, de rechercher, de capturer et de soumettre les Sarrasins et les païens et tous les autres incroyants et de réduire leurs personnes en servitude perpétuelle». Avec la bulle du pape Alexandre VI Inter Caetera (1493), l’Eglise a non seulement autorisé l’asservissement des Africains et la capture de terres non chrétiennes, mais aussi apporté sa caution morale au développement du commerce d’esclave transatlantique.

 

En résumé, il demeure donc établi que la Bible (Ancien et Nouveau Testament) fournissent au contraire un appui à l’esclavage. Ce qui est plus étonnant, la pratique n’est jamais dénoncée comme un mal en soi, et aucun des grands personnages de la Bible, à commencer par Jésus lui-même, ne s’est élevé contre l’esclavage d’une manière catégorique. La caution de l'esclavage sur une base raciale semble trouver son origine dans les écrits des Pères ou des Saints de l'Eglise comme Origène d'Alexandrie et Ephrem le Syrien. Ainsi l’église catholique n’a t-elle pas abusé sur une idéologie de légitimation de l’Esclavage des Africains et de leurs descendants d’un point de vue doctrinal, l’église a vulgarisé la fable de la descendance de Cham, fils maudit de Noé dans la Bible, condamné à n’être à jamais que l’esclave de l’esclave de ses frères, identifiant les Africains aux descendants de Cham…

Donc la pratique de l'esclavage par les Juifs est autorisée par la halakha, la loi juive, sous certaines conditions restrictives et l'on retrouve de fait au cours de l'histoire des Juifs impliqués dans le commerce des esclaves ou possédant des esclaves pour leur propre usage. Les Juifs auraient eu un poids prépondérant dans la traite atlantique, la finançant en grande partie sans trop insister sur la cruauté particulière des esclavagistes juifs.

La traite chrétienne a toujours duré malgré une lecture sélective du passé puisque plusieurs groupes chrétiens et juifs servaient de pourvoyeurs aux négriers. Avec l'extension de l'Empire chrétien en Europe, traite et esclavage restèrent florissants et des villes comme Marseille, Gêne ou Venise, offrant de grands marchés d'esclaves, alimentés par des raids terrestres et également maritimes.

L’esclavage n'est pas une réalité identique pour tous les temps, à l'époque carolingienne, les captifs slaves destinés aux marchés orientaux étaient quant à eux castrés à Verdun, principal marché d'étape de ce trafic, avant d'être exportés via Venise vers le moyen orient et l’extrême orient.

Côté musulman, l’esclavage a paru d’autant plus discret qu’on l’a présenté, à tort, comme moins meurtrier, moins capitaliste, plus calmant et plus paternaliste que la traite transatlantique. Les formes d'esclavage, du monde musulman, ont été sans doute particulières et peut-être peu raciales, en plus des classiques travaux domestiques, artisanaux ou agricoles, les esclaves peuvent devenir favoris, conseillers, chambellans, et surtout soldats, et surtout que l'asservissement des prisonniers de guerre n'était pas pratiqué par les premiers Califes.

Contrairement à la chrétienté, l’islam une religion égalitariste aurait réuni et assimilé les esclaves convertis au sein de la communauté des croyants, le caractère moins marqué des différenciations raciales a sans doute facilité les procédures d’assimilation, relativement à la traite européenne, très marquée par les clivages entre Noirs et Blancs. 

Des esclaves devenus musulmans se virent ainsi confier d’importantes fonctions politiques et militaires. En Egypte, par exemple, la fameuse dynastie des mamelouks alla jusqu’à s’emparer du pouvoir au XIII° siècle. De son côté, Tarek Ibn Ziad, Berbère devenu Musulman, se fit remarquer par son habileté au combat et finit par conquérir l’Espagne.

Aujourd’hui le musulman est chargé de tous les maux de la Terre par ceux qui ont bien profité dans l’ensemble de ses apports â leur civilisation. Même si le côté sombre n’est pas à nier. Il a souvent privilégié ses intérêts économiques aux dépens de préceptes moraux universels. L’esclavage période douloureuse de l’histoire humaine est le fruit de plusieurs acteurs de l’humanité mais on retient surtout que celui de l’homme Musulman.

Terrible constat d’une différenciation entre les hommes malgré tous les préceptes religieux

Si l'on insiste autant sur l'esclavage des blancs, notamment par la propagande médiatique qui ne parle que d'elle, c'est avant tout par ethnocentrisme. Il faudrait savoir, soit l'on aborde l'histoire comme un processus universel et dans ce cas on a une approche anthropologique ou on explique que l'esclavage n'est qu'une extension de la propriété privé que toutes les sociétés à un certain stade de leur développement usent, et que l'esclavage systémique n'est que le résultat d'un degré de développement matériel supérieur de la civilisation concernée par rapport à celle qui ne font pas de l'esclavage un système aussi vaste.

De tout ce qui précède, il résulte ceci : prêter aux Arabo Musulmans un rôle majeur, quasi-monopolistique, dans la traite des esclaves  est un mensonge historique. Ce mensonge repose sur une falsification caractérisée des archives et des travaux d’historiens sur la question, voire des plus élémentaires sources musulmanes qui ne sont prises en compte.

Non que les musulmans aient davantage fait preuve d’idéalisme que les autres mais par le fait qu’ils aient joué un rôle des plus réduits dans l’organisation de l’esclavage résulte sans doute, directement ou indirectement, des persécutions racistes. Dans cette logique, il est d’autant plus piquant de leur prêter, rétrospectivement, un monopole qui leur était interdit par l’Islam.

Comme je ne me lasserai jamais à le répéter, le Qur’an n'est pas un livre Scientifique mais plutôt un livre de "Signes". Ces signes invitent l'homme à réaliser le but de son existence sur la terre, et à vivre en harmonie avec la nature.

Si Dieu ne nous parlait pas de l'esclavage, comment devrait-Il alors faire pour nous obliger a l'abolir et affranchir la société de ce caractère inhumain et de cette absence totale de Morale. Si l’Islam est apparu alors que le monde était encore en pleine transition entre l’ère esclavagiste et l’ère féodale, alors nécessairement, certains mots font allusion à cette étape du développement historique afin d'y mettre fin. Il est important de signaler que l'islam a bien pris naissance dans un monde ou l'esclavage était un élément de société, et pourtant l’Islam accorda un statut aux esclaves différent de celui accordé précédemment par toutes les civilisations précédentes. L’Islam a commencé par exiger le bon traitement des esclaves les citant en ce sens, mais, par la grâce divine, cette grande religion ne s’arrêta pas là, car sa base fondamentale et suprême est l’égalité complète entre les hommes, ce qui signifie la libération complète de tous les hommes

Le Qur’an reste le seul livre religieux établissant un plan d'état et privé d'affranchissement systématique et progressif des esclaves, tout cela en sachant que l’Islam a clairement et catégoriquement interdit la pratique primitive de la capture d’un homme libre, pour le réduire à l’esclavage.

 

 

En Algérie, Nous avons bien le droit de refuser l’évangélisation !

Personnellement je n'ai rien contre le chrétien lambda et sa présence en Algérie, mais seulement je dénonce l’exercice prosélytisme des ONG chrétiennes en terre musulmane, à l’exemple de Caritas  Algérie  déployé par l’Église catholique à travers le pays depuis plusieurs années vient d’être  inviter à cesser son activité dés le 1er octobre. Les autorités ecclésiales locales expliquent dans un communiqué que cette décision a été prise « conformément à la demande des pouvoirs publics ». Motif : Caritas Algérie serait « une organisation non autorisée ». Caritas Algérie a été constituée le 28 juin 1962, une organisation caritative nationale qui travaille avec le soutien de son Église et membre de la Confédération Caritas Internationalis. Caritas Algérie se préoccupe et intervient également auprès des migrants en situation irrégulière qui traversent le pays en provenance d’Afrique subsaharienne. Pourtant les migrants questionnés à propos de cette organisation, ignorent totalement son existence, aucun d’eux n’avait été approché par cette Caritas tant au niveau de Ouargla, de Biskra, d’Adrar, de Bechar ou d’Oran.

On sait qu’à travers des ONG, le service de l’Église (humanitaire) mène depuis plusieurs années des actions humanitaires auprès des migrants visant un message christique qui revient par des voies peu honnêtes au prosélytisme sous couvert d’un soutien social et médical et d’un accompagnement vers la reprise en main de leur vie. L’Algérie est aujourd’hui considérée comme un pays de transit pour les migrants subsahariens qui rêvent d’aller en Europe. Certains trouvent auprès des services de l’Église catholique d’Algérie l’aide et le soutien dont ils besoins pour pouvoir survivre sur le chemin de la migration irrégulière. À la condition que ces soutiens ne fassent suer personne dans l'espace public en conservant la discrétion idoine et en respectant les principes de la Réglementation Algériennes pour les manifestations cultuelles dans l'espace public.

Il me semble savoir que la situation des migrants en terre chrétienne n’étant pas meilleure,  et surtout reste plus dramatique ou mieux encore le chrétien évangélisateur dans un pays autre, alors qu’en terre chrétienne les lieux de culte chrétien sont quasiment vide, les curés on les importe d'Afrique (des migrants) et mêmes les mariages on préfère les célébrer à la mairie. Alors l’action chrétienne doit être avant tout axer vert de ceux qui en France ont déserté l’Église au point que celle ci n’est plus sa fille aînée.     

La constitution Algérienne affirme que nous sommes un pays musulman, en bousculant sans vergogne ce que la culture et l'éducation musulmane ont réussi à construire en Algérie, et c’est largement mieux qu'un ramassis de délires mystiques. Si on rajoute les vraies fausses églises évangéliques, les Jéhovah et leurs délires, les mormons etc…, la chrétienté n'est pas en mal de bizarreries. 

Le problème n'est donc pas les chrétiens, on sait d’eux que chacun étant différent, et libre de ses croyances, mais leur prosélytisme, cette fâcheuse habitude à l'affichage ostensible d’une croisade dite évangélique est faite sous le prosélytisme ou le devoir d’évangélisation, ces activités peuvent se définir comme «le zèle déployé pour répandre la foi et rallier des personnes à une doctrine.», alors que la foi s'accommode de la liberté de penser, de sens critique, d'écoute de l'autre, celui qui croit autrement ou qui ne croit pas. L’histoire retiendra ce paradoxe incroyable.

Aujourd’hui, l’Église reconnaît enfin les multiples scandales en son sein (pédophilie, viol de nones, homosexualité des clercs, emprises et abus de pouvoir, cléricalisme, dérives sectaires). Demain, il lui faudra reconnaître le plus grand scandale qui aura permis tous les autres : son Imposture à vouloir évangéliser le monde.

Or, les fanatisés du prosélytisme sont, pour la plupart, incultes, profanes, indigents cérébraux et plus matérialistes que leurs aînés, qui l’exercent avec coercition, persuasion malhonnête, ou simplement peu loyale avec un manque au respect de la liberté autrui, dans l’annonce de leur Évangile supposé apporté une vérité toute relative alors que  la religion chrétienne avec une foi émotionnelle, superficielle semble à se réclamer avoir le monopole de la vérité. Ces religieux de l’Église brandissent l’Évangile comme un guide, une identité, un pouvoir, une fierté. C’est leur paresse qui est flattée et entretenue par la multitude de droits et à développer leurs talents. Des frustrés, jaloux et envieux de ceux qui, parmi leurs coreligionnaires ont étudié et réussi à choisir d’autres voies plus véridiques.

L’exemple le plus flagrant est la relation entre catholiques et protestants. L’ouverture de ces deux groupes, l’un vis-à-vis de l’autre, ne s’est pas faite, après des siècles de conflits et d’hostilité, grâce à de prétendues valeurs de modération et de tolérance qui seraient essentiels à leurs doctrines, à leur intégration dans les institutions de la société moderne : l’école, l’université, le marché économique, l’entreprise…Et lorsque chacun a régressé vers sa doctrine initiale, pour pratiquer chacun à sa manière cette doctrine. Cette imposture idéologique avait pour but de combattre l’islam.

Le principal credo a toujours un rôle important d’évangélisateur, cette nécessité d’évangéliser a été fortement rappelée dans le deuxième concile du Vatican, c’est toute l’Église qui a reçu cette charge, donc les travaux des convertis consistaient à ramener le plus grand nombre de brebis dans le sein de l’église.  

A Oran en Algérie, ils se mêlent, aux longues files des personnes qui viennent déposer des demandes de visa aux consulats de France et d'Espagne. Ils prennent part avec les gens qui attendent leur tour depuis des jours, et qui pour la plupart viennent de l'arrière pays. La technique bien étudiée, consiste à ratisser parmi les jeunes  ceux qui ont des difficultés, qui rencontrent des problèmes  qui ne voient rien venir et sont pris dans le filet sans avoir compris qu'ils étaient devenus nouveaux nés dans le chemin de Jésus Christ.

En Kabylie, la manière de sauver des âmes s'est développée, les missionnaires avec des déguisements adéquats, avaient réussi à mettre en place une technique bien élaborée dans le discours anti Islam d'une rare virulence. Le discours de haine contre le monde arabe et musulman, développé par les églises fait partie du corpus même de l'idéologie évangélique ainsi la plupart des victimes approchées  ont succombé à la tentation irrésistible d'une vie meilleure en Occident, des victimes de la vie, dont ces missionnaires sans foi ni loi ont profité de la faiblesse et du désarroi

Conclusion, on constate depuis fort longtemps que les missionnaires  chrétiens en terre musulmane exercent le prosélytisme avec coercition, persuasion malhonnête, ou simplement peu loyale avec un manque au respect de la liberté autrui, dans l’annonce de leur Évangile supposé apporté une vérité toute relative alors que  la religion chrétienne avec une foi émotionnelle, superficielle semble à se  réclame avoir le monopole de la vérité.

On sait que l’Église aura toujours procédé comme suit : combattre d’abord, admettre ensuite bien malgré elle, conserver malgré tout la Vérité divine en corrompant la réalité. De la sorte, l’Église ne changerait pas, cherche encore à réparer le tissu déchiré de la catholicité. Un jour pourtant, il faudra bien tirer leçon de la petite histoire et affronter la réalité : l‘Église n’était qu’une Imposture !

NB/ Caritas apporte l’aide aux plus vulnérables, sans distinction de race ou de religion, au nom des catholiques du monde entier sauf en Territoire Occupée de la Palestine, les palestiniens ne sont pas donc considérés comme des personnes vulnérables.

Comme c’est beau la Charité catholique.

Israél : Cette shoah pour les enfants Palestiniens ?

 

« Je ne connais pas cette chose appelée Principes internationaux. Je jure que je brûlerai tout enfant palestinien qui sera né dans ce secteur. La femme palestinienne et son enfant sont plus dangereux que l’homme, parce que l’existence des enfants palestiniens implique que des générations  continueront, mais l’homme cause un danger plus limité. » 

Moshé Sharett, Premier Ministre israélien, lettre du 15 juin 1948 à Nahum Goldman, Président du Congrès juif mondial.

La Palestine a toujours désigné un territoire aux contours totalement arbitraires et non un état. L'idée de nation, juive ou autre, est un non sens dans cette partie du monde. Étrange de constater comment certains s'affranchissent de toute rigueur historique et ethnologique pour pouvoir dérouler leur propagande mensongère. Alors il est ridicule de vouloir comparer les Israélites et les Arabes en terme d'identité ! Les Arabes  ont une identité, pas les Israélites qui falsifient la réalité du processus historique pour endosser la posture victimaire. Cette posture victimaire séduit les incultes de l'Occident et le débat tombe très vite dans le trou du simplisme, les bons Israélites et les méchant Arabes.

Selon Human Rights Watch, les actions permanentes d’Israël ; arrestations de masse, raids armés, meurtres de Palestiniens, notamment des enfants, bouclages de villes, démolitions de maisons et frappes aériennes font partie du châtiment collectif, un euphémisme pour ce que le droit international qualifie de totale vengeance à l’encontre des Palestiniens.

Les citoyens Palestiniens ont un choix difficile: se soumettre ou résister, devant la pratique de marginalisation la violence insatiable de l’occupation israélienne et l’autorisation d’humilier et d’opprimer, accordé aux soldats. Les Israéliens colons, par contre, n’ont pas à chercher vengeance pour leur propre compte. L’État israélien, les militaires et les tribunaux s’en chargent à leur place tous les jours.

Bien sur on ne combat pas le mensonge et la propagande par la mesure et l’impartialité. On les combat, lorsqu’on le peut, par le rétablissement tenace de la vérité (affaire Shireen Abu Akleh, célèbre journaliste et reporter), par la révélation et dénonciation des turpitudes sionistes et par une déconstruction  des éléments  trop souvent hurlés (Israël seule démocratie de la région, haut niveau de développement intellectuel et technologique, exploits du Mossad, etc.) Au passage, à leur époque les Allemands nazis, étaient beaucoup plus civilisés et beaucoup plus avancer techniquement que le reste de l'humanité. Ils avaient tenu les mêmes propos, voire pire.

La bonne et veille formule sioniste à succès qu'on énonce comme une évidence : "une terre sans peuple, pour un peuple sans terre " c'était bien trouvé, c’etait beau, cela donne envie de pleurer, mais est-ce c'est vrai ?

Cela me parait plutôt un conte de fées quand on sait que les sionistes sont obsédés par eux-mêmes et par leur supériorité supposée. Ils semblent oublier que les autochtones de la Palestine (+ de 90% d'arabes sous autorité ottomane) ont pour la plus grande part d'entre eux, été chassés de chez eux, par la peur, la terreur, ou l'espoir d'un retour rapide, et actuellement par les colonies illégales au regard du Droit International, et qu'ils savent qu’ils ont été trompés par la lâcheté occidentale, par l'ensemble des politiques d'Israël, et par la faiblesse diplomatique de beaucoup de leurs représentants. L'existence de ce peuple était même niée par des dirigeants d'Israël, un pays créé par le sionisme.

J’essaye avec une volonté sincère de comprendre les mécanismes de création de la haine mais je relève que les soldats israéliens tuent intentionnellement des enfants, (ce que les Israéliens peuvent être juifs tout de même). En Cisjordanie occupée, y compris Jérusalem-Est, et Gaza, représentent un terrain idéal pour maintenir l'efficacité de Tsahal au plus haut niveau : cibler, éliminer par des tirs à balles réelles, les enfants lanceurs de pierres venus protester notamment contre le blocus imposé depuis près de quinze ans par Israël à l’enclave palestinienne surpeuplée. Les tirs sur les enfants Palestiniens sont du collatéral, seule bavure, mais des tirs chirurgicaux de l’armée la plus morale du monde,  et chaque jour l'armée sioniste agresse et tue, délibérément, impunément, ainsi la situation des palestiniens sous l’occupation israélite, les meurtres en direct d'enfants et de femmes, trouve sa ressemblance à la Shoah.    

Par contre dans leur riposte avec des moyens rudimentaires, les Palestiniens n’ont pas le droit de tuer des militaires ou des civils de l’autre camp. Cela s’appelle du terrorisme.

Il semble que, pour l’armée, en Cisjordanie occupée, y compris Jérusalem-Est, et Gaza tous les Palestiniens, y compris les enfants qui sont en âge d’aller à l’école, restent de potentiels terroristes. Le jet de pierres est considéré comme acte terroriste alors à tout moment, il est permis aux soldats en couches de les cibler et les éliminer. C’est une constante chez ces soldats sauvages ils tirent dans le tas. Le résultat est qu’ils ont tué plus d’enfants que les résistants Palestiniens, tout ce que les israéliens touchent de près ou de loin est voue a la destruction, rien a voir ni avec l'histoire ni avec la religion, c'est une haine épidermique, suivi  en plus d’une politique de fichier de renseignement, les forces israéliennes font irruption dans les maisons palestiniennes pour les fouiller et enregistrer les noms et visages des habitants. En effet le réel est une chose difficile à admettre, difficile et parfois insupportable, alors certains inventent des fables et des mythologies pour échapper à une réalité qu’ils ne supportent pas.

Gaza est le fruit de cette imagination délirante dont le but pour les israéliens n’est autre que de se débarrasser des Palestiniens, de faire de la Palestine occupée le seul et unique état juif. Tant qu’Israël existe,  il faut effacer l’histoire pour la réécrire et se l’approprier complètement

Les Palestiniens sont appelés à résister, tant qu’ils peuvent aux provocations d’un ennemi qui ment, qui se présente en permanence comme une victime et comme un occupant pour qu’il mène un combat d’extermination de tout un peuple, faisant croire qu’il veut seulement un état à lui alors qu’en réalité, il veut une Palestine entière et juive sous entité sioniste. En effet les puissances occidentales consacrant l'existence de cet Etat, sa protection en cas d'agression garantit sa sécurité.

La solution à deux états, c'était une  position officielle d'Israël, toujours réaffirmée dans les discussions internationales, mais toujours démentie par une politique continue d'annexion de territoires, et le refus persistant d'une indépendance palestinienne avec pour capitale Jérusalem-est dans un avenir prévisible.  C’est énormément désolant de voir  qu'aucune vraie solution ne se fait jour depuis décembre 1947, date du vote d'une résolution de l’ONU créant en théorie deux États, et que des conflits armés faisant de nombreux morts et destructions ne cessent de se fixer. Cependant, les israéliens occupent une terre qui n’est pas la leur, de plus ce n’est pas dans l’intérêt de la politique d’Israël de vouloir la paix, ou sinon la théorie du  grand Israël serait caduc. Tant que les Israéliens, et par-delà eux les juifs, estimeront qu’ils ont droit à cette terre parce qu’elle leur fut promise et la poursuite de la colonisation démontre qu’Israël ne cherche pas la paix.

Les dirigeant de l’entité sioniste n’arrivent pas  à comprendre que la sécurité d'Israël dépend de la paix avec les pays musulmans, surtout les Palestiniens et non par des accords hypothétiques de soutien matériel et financier et de cesser de vivre  grassement, au crochet du monde Occidental suivant leur statut d'éternels victimes.

Alors que la politique actuelle semble hélas de plus en plus proche d'un slogan tel que " Ôte toi de là  tu n’as pas droit à cette terre". Israél traite de terroriste l’ensemble du peuple Palestine privé de sa patrie, qui se bât et se débat comme il peut sans aucun résultat depuis l’arrivée de ces nouveaux bantoustans. Sans le soutien du monde Occidental, Israël étant une plate forme coloniale occidentale avec son sionisme conquérant, son apartheid, déstabilise le Moyen Orient depuis trop longtemps. Or justement la paix avec ses voisins n’est pas dans le mire d’Israël ces préférences vont plutôt vers un statu quo, Israël ne veut en aucune façon perdre Jérusalem-Est ni les terres spoliées aux Palestiniens, tout est bon pour torpiller toutes les tentatives de paix. Israël n’est rien d’autre qu’un état délocalisé des États-Unis, une pièce majeure dans le jeu américain. C’est pourquoi les USA soutiendrons Israël matériellement et financièrement même au delà du supportable. La seule réelle question est à mon avis, quand ce génocide Israélien contre les Palestiniens aura-t-il une ampleur suffisante pour forcer les USA à se déconnecter  de la prise d’Israël ?

Pour les Palestiniens c’est un combat de résistance incessant entre un occupant et un occupé et cet occupant bénéficie d’une impunité absolue de la part de la communauté internationale. Cet occupant super armé, par entre autres les milliards d’armement offert par les Etats Unis, fait qu’il opprime un peuple à cause de sa religion, sa race et son mode de vie et cette oppression a pour but l’élimination d’un peuple sur sa propre terre. Au passage nommé Israël, sans pour autant préciser après : "soutenu par les Etats-Unis, et l’OTAN" pourrait supposé qu’il s’agit d’un conflit déséquilibré.

De toute façon, tous ces donneurs de leçons qui n'agissent pas forcément comme ils professent l’abrutissement organisé par des théories de politiciens Israélites minables ou véreux conduit à la soumission d'un peuple qui ne sait plus où il habite. Tout le monde comprend que quand un pays en occupe un autre (l'autre n'existe pas), il vaut mieux fait partie des occupants plutôt que des occupés. Le déni est un refus morbide de la réalité, c’est le propre d'un non peuple que de se construire une identité sur des bases fantasmées.

Dans tous les cas, permettez-moi de dire malgré tout : Vive La Palestine!