Israël avec Pegasus : un ennemi qui veut du bien !!!!

 

Is fecit cui prodest :
Tirée de la jurisprudence latine
Dans l’affaire Pegasus, «Celui qui l’a fait, c’est celui à qui cela profite »?
Que d’espions, que de mouchards, que d’indicateurs, que de mouches, que de quart d’œil, que d’informateurs, que de délateurs dénonciateurs, que d’expéditeurs de lettres anonymes, au consensualisme bien-pensant dont le comportement de ces affranchis confirme au moins une chose : en s’abreuvant de fausses informations, ils en font tous autant. Tout ce qu'il se passe en Israël et au Maroc est fascinant !
 
C'est simple : l'espionnage israélien sert au sionisme et ses relais normalisateurs. Nous savons tous que Les autorités israéliennes ont joui de l’impunité pendant trop longtemps, parce que la communauté internationale s’abstient à demander des comptes à Israël.
 
Aujourd'hui, certains observateurs des pays du reste du Monde estiment qu’il faudra tôt ou tard qu’Israël rende des comptes et que surtout la cyber-surveillance soit réglementée au niveau international.  
 
En effet, le logiciel espion Pegasus est capable d’espionner n’importe quel téléphone. En Israël ce logiciel a une utilité pratique évidente, en effet l’armement et les produits d’espionnage fonctionnent très bien, car ils sont testés quotidiennement sur les Palestiniens. On sait que ce pays a une obsession sécuritaire qui exaspère tout le monde, même ses alliés. L’entité sioniste vante et vend ce savoir à des états qui admirent sa capacité à réprimer et étouffer une résistance 
Israël n’a-t-il pas survécu jusque ici avec des méthodes de Bisounours, et les criminels sionistes font semblant, pour la galerie, de se présenter comme une république non raciale, mais toujours le fond de leur pensée ressort : "l'état juif". C'est clair et net.
C'est lassant en effet.
 
Les smartphones de centaines de journalistes et hommes politiques avaient été espionnés par le logiciel Pegasus, révélé par Amnesty internationale et Forbidden Stories, un consortium de 17 médias internationaux, l’affaire Pegasus a soulevé une vague de réactions indignées dans les opinions publiques occidentale. Ce consortium de médias indique avoir analysé des centaines de téléphones portables dans plusieurs pays.
 
Le Maroc, membre du pacte d'Abraham dans sa normalisation avec Israël, ne pouvait rien refuser et les politiques et la presse du Makhzen verraient bien le Maroc comme une filiale d’Israël, pour devenir aux yeux des occidentaux, un royaume par excellente nature, irréprochable, un modèle de démocratie, de justice, de tolérance et de droiture monarchique, ainsi le régime du Makhzen joue une partie diplomatique très importante à propos de la reconnaissance internationale de sa souveraineté sur le Sahara occidental et quand on sait que la diplomatie est décidée par une seule et même personne...
 
Le Maroc, s’est ainsi retourné à l’utilisation du Logiciel Pegasus pour espionner non seulement des hautes personnalités du Makhzen, très certainement le Souverain lui-même et ses proches, des hauts responsables politiques, militaires et sécuritaires de plusieurs États, notamment la France et l’Algérie.
Avec un tel outil, le régime du Makhzen semble être gonflé comme une outre pour initier des cyber-attaques contre son voisin l’Algérie, au mépris du droit International et a espionné sans vergogne ses journalistes les plus importants mais aussi de simples citoyens, les pourchassant jusque dans leur propre intimité.
 
Il est tout à fait possible qu’Israël, en tant que petit coq au milieu de la basse-cour mondiale, se serve d’une société privée, pour monnayer les données collectées à d’autres gouvernements, ne serait-ce que pour amplifier les tensions diplomatiques entre nations et ainsi affaiblir les deux parties à son profit.
 
Ce ne serait pas la première entourloupe de ce petit état qui a toujours démontré sa propension à jouer au poker menteur lorsqu’il s’agit de semer la zizanie diplomatique entre les nations.
Le rapprochement entre le Maroc et Israël pourrait concerner des accords incluant une mise à disposition de données sensibles (politiques, militaires  et commerciales...) collectées grâce à ce type de logiciel espion pouvant servir au Maroc à inverser le rapport de force avec l’Algérie.
 
Ceux qui y ont gagné quelque chose, ce sont probablement ceux qui ont vendu le logiciel, c’est-à-dire les Israéliens et ceux qui se sont fait dindon de la farce, ce sont les services secrets marocains qui ont fait une dépense inutile pour espionner tout le monde, ce qui permet de faire chanter ou de déclencher quelques scandales de mœurs amusants pour neutraliser des personnes qui gênent, et mettre tout le monde sous surveillance, activer à distance les caméras et micros avec l’aide israélienne, car ces stupidités d’écoute et d’espionnage ne servent pas à maintenir un régime despotique trop longtemps.
 
L’affaire des écoutes téléphoniques, Pegasus dont le Maroc s’était fait une spécialité, espionnant les dirigeants politiques européens, n’a semble-t-il pas pour autant donner les rétorsions logiques, ni fait prendre la dimension énorme de l’évènement.
 
Le Maroc joue-t-il pour lui-même, ou sert-il de pays tiers, au service d’autres puissances ?
 
Le caractère agressif que ce royaume certain dès qu’une rétorsion se met en place, en poussant ses ressortissants visant l’immigration, vers l’enclave espagnole de Melilla et Ceuta, révélant, mais ce n’est pas une surprise, que la migration peut être une arme par destination
 
Le fait que ce type de consortium soit israélo-marocain, trop souvent les alliances sont basées sur l’intérêt plutôt que sur la sympathie mutuelle et la morale. Israël recherche son intérêt plutôt que la justice en matière de politique internationale, c'est un comportement assez habituel afin diviser pour régner, telle est la vieille devise des Juifs.

 
Le dilettantisme marocain est impressionnant !!
Bien sûr que c'est du théâtre, de deux côtés du régime du Makhzen marocain et de l’entité sioniste.
Que de précieux ennemi de l’Algérie.
 
Les saillies anti-Algérie sont toujours croustillantes et leur potentielle riposte contre le voisin de l’est, est toujours dans la duplicité, il ne fait pas bon s’y fier, historiquement le Makhzen du Maroc l'a dans la peau. Il n’est pas rare, de nos jours, d’entendre ou de lire des affirmations péremptoires, des jugements définitifs sur ce que l’Algérie, est ou censé être.
 
Des bruits qui s’élèvent contre l'Algérie, sauf que cette fois-ci c’est le Makhzen marocain qui se fout le doigt dans l'œil jusqu'au coude en espérant atteindre le peuple algérien et l’impressionner par des fourberies de Scapin et des alliances de diable contre-nature.
En fait, un miséreux Makhzen propagandiste doublé d'être un sublime menteur qui s'échine à noircir et dénigrer l'Algérie et parallèlement à dresser des louanges au régime totalitaire et scélérat du royaume marocain sionisé qui, comme son mentor israélien occupe militairement et colonise un territoire qui n'est pas et n'a jamais été le sien. Le makhzen est resté, fidèle à son image : incultivé, hermétique, sanguinaire et archaïque à souhait, mais franchement plus dangereux, que ses homologues israéliens qui se lancent carrément en croisades contre le reste du monde.
 
Pauvre tâche ! Par un simple Tweet le Makhzen s’est roulé dans la farine, le palais marocain avait pris ceci comme argent comptant, sûr de ses certitudes fantasmagoriques.
 
C'est la peur, justifiée ou non, toute folie a sa logique, prise dans un délire paranoïaque du palais caractérisé entre autres par la grandiosité et la démesure, la peur d'être détruit par l'autre colonisé (Les Sahraouis) qui se charge à le combattre et faute de garde-fous, ce combat peut conduire aussi à la neutralisation préventive et la déchéance du royaume Une monarchie qui essaye de se parer de toutes les vertus, qu’elle est loin d’avoir.
 
Le palais peut dire merci aux services israéliens qui lui garantissent la sécurité par des conseillers d’un genre très spécial et qui lui fournissent à l’occasion du matériel d’écoute et de localisation lui permettant de neutraliser ses opposants trop curieux.
 
Israël n'apporte rien dans son panier de dot au Maroc. Pas de reconnaissance de la marocanité du Sahara occidental, mais juste à tirer les ficelles de la division, la malveillance des Israéliens ne le cède qu'à leur imagination débordante qui s’est spécialisée dans la vente des outils de guerre.
 
Par ailleurs, on sait bien qui parle de l’Algérie avec une telle coloration haineuse et vindicative.
 
Quant aux juifs d'hier et d'aujourd'hui, je les connais trop mal pour oser affirmer quoi que ce soit, toutefois j’estime à juste titre que l’ère de l’Antiquité n'est pas finie (Toutes ces guerres inutiles) et que le monde y est encore resté.
 
Pour conclure, je dénonce fermement les nouvelles menaces de guerre dans la région, et je peux qu’exprimer encore une fois que le mythe de " Israël menacé de destruction" est sorti du même laboratoire de la politique que les autres mythes comme le Grand Maroc. Les dirigeants qui sont à l'origine de ces slogans sont des spécialistes, connus et réputés pour ça, on les appelle les sionistes.
 
Pour le moment, c'est le régime du Makhzen Marocain, par son occupation du Sahara Occidental, qui détient les clés d'un éventuel règlement de cette question. Avec une telle mentalité, la paix ne pourrait apparaître.
 

En France l’Immigration est une passion dévorante !!!

 Tout au long des années après l’indépendance de l’Algérie, il y a un traitement spécial raciste (pour rester poli) de l'Algérie et des Algériens, en France, je réitère donc, avec une version de plus en plus édulcorée, pour tenter de dire l'essentiel, le séjour et le travail des Algériens en France sont régis de manière complète par l'accord franco-algérien du 27 décembre 1968 qui reste un ensemble d'accords bilatéraux signés entre la France et l'Algérie.

À bien des égards, la situation des Algériens en France est différente de celle des autres ressortissants étrangers. En effet, leur situation relève de l’accord franco-algérien du 27 décembre 1968 modifié, et non du CESEDA, le code de l’entrée et du séjour des étrangers et du droit d’asile.

Ces accords visaient à réguler le mouvement migratoire entre les deux pays et à résoudre certaines questions liées à l'immigration algérienne en France et relève ainsi d'un régime spécifique, tous ces accords signés par les Algériens avec une bande de politicards fanatiques, d’une profonde sournoiserie sans aucune garantie en contrepartie de leur parole dont ils ne pouvaient ignorer qu'ils ne la tiendraient pas, tant leurs actes précédents le donnaient à penser, qu'on sait par avance qu'ils n'ont aucune intention de tenir leurs engagements, car ils l'ont prouvé cent fois auparavant.

Ces accords prévoyaient notamment les mesures suivantes :

1.Le regroupement familial : Les travailleurs algériens résidant en France étaient autorisés à faire venir leur conjoint et leurs enfants, dans le cadre du regroupement familial.

2.Le statut des travailleurs : Les travailleurs algériens en France bénéficiaient d'une certaine protection sociale et de droits similaires à ceux des travailleurs français, notamment en ce qui concerne le salaire, les conditions de travail et l'accès à certains avantages sociaux.

3.Ces accords prévoient une liberté totale de circulation
et d’installation des Algériens en France. Ils stipulent en effet que sauf décision de justice, tout Algérien muni d'une carte d'identité est libre de circuler entre l'Algérie et la France et que les
ressortissants algériens résidant en France, et particulièrement les travailleurs, auront les mêmes droits que les nationaux français, à l'exception des droits politiques.

Il convient de noter que les accords de 1968 ont été complétés et modifiés par d'autres accords ultérieurs, tels que les accords bilatéraux de 1972 et les accords de 1988, qui ont apporté des ajustements et des évolutions au système de gestion de l'immigration des Algériens qui résident déjà en France ou qui s’y rendent par le canal de l’Office national de la main-d’œuvre, dans le cadre d’un contingent pluriannuel déterminé d’un commun accord, et à assurer la libre circulation des ressortissants algériens se rendant en France sans intention d’y exercer une activité professionnelle salariée.

Cependant, à mon sens, les relations avec la France défient toute logique apparente, sont illisibles, incompréhensibles, et toujours nuisibles à notre pays, sur fonds d'illusions et de masochisme, comme si nous nourrissions nous-mêmes notre cancer.

Il est vrai que les accords franco-algériens sur l'immigration de 1968 ont été critiqués pour leur impact inégal sur les droits des travailleurs algériens en France. La partie algérienne a été lésée dans ces accords, tandis que la partie française a bénéficié davantage. Cet accord établissait l’obligation pour les Algériens de présenter un passeport aux frontières, mais sans la contrainte d’un visa. Un titre de séjour particulier était créé portant le nom de certificat de résidence.

La mise en œuvre de la libre circulation des personnes et des biens, telle que stipulée dans les accords d'Évian, a été confrontée à des difficultés et des obstacles. La partie française a été critiquée pour ne pas avoir pleinement respecté les dispositions relatives à la libre circulation, notamment en ce qui concerne les Algériens vivant en France et il ne me semble pas que les Français aient vraiment respecté leur partie de cet accord. Dès 1962, la France n’a pas respecté les accords d’Évian et les garanties prévues pour les Algériens. Dès lors, elle est mal placée avec ses sociétés de pensée, et ses laboratoires d’idées pour donner des leçons.

Cependant, les défis persistants ont conduit à des désaccords et à des difficultés dans la pleine mise en œuvre de la libre circulation telle que prévue dans les accords d'Évian, surtout que les autorités algériennes paraissent préoccupées par le reste des Algériens, les étudiants surtout, qui ne bénéficient pas des mêmes règles dérogatoires contenues dans l’accord franco-algérien.

M. Christophe Pouly professeur à Sciences-Pô Paris, assure de l’inexistence d’une exception algérienne, mais que cette immigration est plus marginalisée, notamment, avec les lois de 2006 et 2007 relatives à l'immigration choisie, la France a largement ouvert ses portes, notamment aux jeunes diplômés. "Les Algériens, eux, n'en bénéficient pas, précise Christophe Pouly.

Dans l'ensemble, le CESEDA est plus favorable à ceux désireux de rejoindre la France et venant d'autres pays."

Le professeur poursuit : "En matière de droit, on ne peut que constater que les Algériens n'ont pas beaucoup plus de facilités que d'autres pour immigrer en France."

Par ailleurs, l'Algérie n'est pas le seul pays avec lequel la France a conclu des accords pour favoriser la mobilité des ressortissants étrangers. Il en existe une trentaine, souvent établis avec d'anciens protectorats ou colonies, comme le Maroc, la Tunisie, la Côte d'Ivoire, le Gabon, le Congo et le Bénin.

D'autres conventions ont été conclues avec des pays d'Europe tels que la Géorgie, la Bosnie-Herzégovine et récemment avec Hongkong ou le Chili. Ces accords privilégient l'accueil d'étudiants ou de jeunes professionnels. Certains ressortissants sont plus avantagés que les Algériens, comme les jeunes Canadiens et N-Zélandais, qui bénéficient de visas vacances-travail (VVT).

Par ailleurs, selon Maître Fayçal Megherbi, avocat spécialisé dans le droit de l’immigration et de l’asile à  Paris, estime à juste titre que : « Aujourd’hui, la situation des Algériens est figée dans le temps. »

Car certains politiques cherchent à dénoncer l’Accord franco-algérien et d’aligner son régime d’immigration sur le droit commun, en justifications des promesses non-tenues de la France qui devrait assouplir les conditions d'attribution de titre de séjour aux ressortissants algériens de manière à rendre le rapprochement entre les deux pays réel et effectif. Le ministre de l’Intérieur français a adressé, lors d’un évènement,

« L'Algérie est l’État le moins coopératif de tous avec la France sur tous les sujets. Prenez des risques, même si vos décisions sont ensuite cassées par les tribunaux. » a lancé l’homme politique français aux préfets, en les incitant à procéder aux expulsions des Algériens sans pour autant tenir compte si ces derniers bénéficient ou non de l’accord de 1968.

Les consignes des préfets dictées par ce ministre ne tiennent pas la route devant les tribunaux, c'est de l'abus de pouvoir.

Sans compter que pour la majorité des Algériens, les demandes de visas sont en soi très humiliantes car elles comportent une intrusion insupportable dans la vie privée. On vérifie tout, on jauge et on voit tous les demandeurs comme des sans-papiers potentiels.

Il y a énormément de refus de visas et le plus souvent,

ils sont arbitraires aux motifs obtus.

Demander une révision par l’Algérie si elle le souhaite et quand elle le jugera opportun dans un cadre bilatéral assaini. C’est pourtant un sujet essentiel et brûlant qui demande un dialogue généreux et sincère, bien difficile à supporter après 60 ans de mensonges et de rancunes de la partie française.

Élever à 12% la représentation des Algériens dans l'immigration en France n'est vraiment pas très intelligent, cela souligne surtout un chiffre exorbitant ! Comment un seul pays, non frontalier, puisse générer un tel contingent d’immigration montre bien que la France n'a pas un problème d'immigration, mais elle a bien un problème algérien.

Purifiez ces 12% d'immigrés (presque tous de Nationalité Française)  uniquement et la fachosphère retombe comme des camouflets, donc c’est bien l'immigration algérienne à elle seule qui crée  et maintient la conflictualité sur l'immigration. C’est leur seul mantra.

Le Français atténue la réalité et refuse de nommer les choses par leur nom. Il a compris que sa liberté d’expression se limite à la liberté de répéter ce que les élites bien-pensantes estiment juste et désirable, très simpliste.

Pourquoi mentir en permanence, pourquoi répétez les mêmes slogans ?

Mais c'est ce qui est le carburant de la fachosphère.

L’immigration est utile au patronat. Elle leur fournit une main d'œuvre à bas coût et ils n'ont pas beaucoup de scrupules à employer même des sans-papiers. Totaux, les salaires sont tirés vers le bas. Le regard que porte cette société sur les étrangers (immigrés qui ont acquis la nationalité française, et leurs descendants) est particulièrement choquant.

Mais cette société ne sait pas, elle écoute seulement les inepties racontées par des politiques malveillants qui ne veulent s’attirer que des voix. Cette xénophobie, récurrente en temps de crise, va souvent de pair avec l’antisémitisme et se nourrit de racisme et d’islamophobie. La crise a changé le visage de l’immigration. La génération des enfants devenus français émerge au début des années 1980. Stigmatisés pour leurs origines, on les dénonce comme une nouvelle « classe dangereuse » au lendemain des violences urbaines qui secouent de temps en temps les banlieues.

Ces «Français d’Origine» doivent désormais faire face aux nouvelles stratégies agressives de la politique (en matière d’intégration théorisée) à l’égard de la population d’origine musulmane. De manière déterminée, celles-ci visent à stigmatiser davantage certaines communautés, à instrumentaliser la sécurité, et ce, au plus grand mépris des principes des droits humains fondamentaux.

Immigration ou invasion !

Les étrangers étant accusés d’occuper des emplois eu détriment des Français, le racisme est cette fois dirigé contre les Arabes, il y a trop d’Arabes en France disent-ils ?

Par la peur de l’Islam, on affiche à l’égard des musulmans le même mépris qu’on allongeait il y a quelques décennies avec les Italiens, les Polonais, les Espagnols ou les Portugais. Etc.

Les Immigrés sont des assistés, des privilégiés !

Les rumeurs selon lesquelles les étrangers occupent des emplois préférentiels, bénéficient indûment des aides sociales, surchargent les établissements scolaires et coûtent cher à la collectivité en indemnités de chômage et en frais d’hospitalisation. Les immigrés ne sont nullement favorisés.

Les immigrés sont des délinquants !

Actuellement, on entend encore ces phrases, ils passent avant tout le monde, ils remplissent les hôpitaux, les prisons, ce sont des délinquants. Ils ne pourront jamais s’intégrer, mais tout ceci n’est pas un constat, mais un préjugé.

Ils n’ont pas d’identité !

Il n’est pas facile d’afficher son identité, surtout si elle est vécue comme une honte, un reproche permanent.

Les instigateurs d’opinion ne se désolent que les Français «aient du mal à se concevoir comme issus d'une immigration» (Benjamin Stora).

On veut dire qu'il n'existe pas en France de pur «autochtone», autrement dit de Français «de souche» tel que tous leurs aïeuls gaulois auraient vécu sur ce territoire.

Par devoir de mémoire collective, ces immigrés n'ont pas seulement construit ou reconstruit la France, ils sont la France dans toute sa diversité et sa richesse, sans oublier que la France est le résultat de ces cultures venues d'ailleurs pour écrire son l'Histoire, notamment en ces périodes auxquels la légitimité même des immigrations semble être l’objet d’un débat polémique.

La France avec une bureaucratie obèse, une compétitivité à la dérive, une éducation nationale gonflée et négative, un système de santé en déroute, une dette abyssale, un pays manœuvré par l’extrême gauche et l’extrême droite, sans aucune volonté de réduire l’horreur et la condamnation que provoque cette animosité, le désir de s’innocenter et de jeter l’opprobre sur l’étranger ici, c'est l’Algérien, tous ces facteurs conduisent à rejeter la faute du ressentiment sur les victimes. Le raciste est conscient de sa cruauté, mais il en place le blâme sur sa victime.

Ainsi donc, je dois dire bravo aux Français de souche, ayant Vercingétorix comme ancêtre (comme Zemmour), mais presque tous issus de l'immigration. Dans les médias, certains se prennent pour Napoléon, mais ils sont plus nombreux à se croire de souche, de qui, de quoi et depuis quand ?

La déconfiture de la France : ce sont des Français qui le disent

 


Quand on regarde les événements récents de la France, les hauts et les bas s'enchaînent à toute allure, enfin, il y a surtout des bas. On remarque que la plupart des Français sont toujours plus exaspérés et les questions migratoires qui leur semblent être une profonde source d’angoisse. Ils sont de plus en plus en colère contre les émigrés qui, pour eux, sont les principaux responsables des maux de la France, juste un faux sujet déchirant qui n'a pas lieu d'être et qui ne va servir qu'à diviser l'ensemble de la société française, noyautées par une certaine idéologie, qui avance comme justification que tout ce qui ne va pas en France est la faute de  l'immigration et cela en est devenu nauséabond ?  Un véritable piège.

Par devoir de mémoire collective, ces immigrés n'ont pas seulement construit ou reconstruit la France, ils sont la France dans toute sa diversité et sa richesse, sans oublier que la France est le résultat de ces cultures venues d'ailleurs pour écrire son l'Histoire, surtout en ces périodes où la légitimité même des immigrations semble être l’objet d’un débat polémique. Alors, il paraît nécessaire de dénoncer le fantasme aussi malhonnête que caricatural du grand remplacement.

Comment peut-on croire encore au énième revirement des paltoquets partisans, avec un Zemmour en figure de proue, pour une montée des deux extrémités de l'échiquier politique et leur crainte de ne pas être réélu, ainsi L'immigration est devenue un problème essentiellement sociétal, il est donc complètement politique.

Ils ne reprennent sur l’immigration (Le mot  immigration a été compris par un grand nombre de français comme un synonyme d’Arabe ou noir) en l’édulcorant que le programme de l’extrémisme tout en continuant de le vilipender, mais les français aux comportements erratiques, sont morts de peur, soumis, sans convictions. Et dans le chaos qui s’annonce, ils gémiront, pleureront, et se défausseront sur l’autre (l’immigré) des malheurs qui leur arrivent. Les Français dans l'état de sidération de celui qui est sonné par une annonce tragique et n'arrive pas à comprendre ce qui lui arrive. Dans le fond, ils ne méritent que cela.

Depuis toujours, chez le Français, avec un moralisme décevant, entre mauvaise foi d’un côté et sermons moralisants de l’autre, se cache des aigreurs anciennes, des ressentiments obscurs, que nourrit un discours anti-étranger et anti-musulman  et qui rend le mal plus absolu en France, au-delà encore de la délinquance, de la drogue, et de l’islamisme, c’est raciste, ce racisme décadent  des élites intellectuelles, ce racisme qui perfuse dans la société un concentré de dévouements, ce racisme qui salit tout en nivelant par le bas et qui disperse des valeurs d’humanisme en prétendant que tout vaut tout et que tous valent tous.

Avec toute cette haine typiquement française, il est plus difficile pour les Français musulmans pratiquants de se sentir respectés, acceptés et donc de se sentir pleinement citoyens de ce pays qui se crée une crise de l’Islam au lieu de l’exacerber, les normes françaises en matière de liberté religieuse doivent être hissées afin que davantage de musulmans puissent réellement bénéficier de la liberté, cela les encouragerait à briser définitivement la vision coercitive de l’islam. Ce racisme des pseudos-démocrates qui détestent tant que les opinions contraires aux leurs et qui ne rêvent que de couper les têtes qui dépassent de la doxa. Toujours au motif de la suprématie raciale, cet angle diabolisant devenu un cri de ralliement pour les identitaires, en répétant les mêmes vieux poncifs de la bien-pensance sur l’immigration de masse! Toujours cette obsession identitaire, cette panique nationaliste et cette peur dun métissage qui ruinerait la pureté de, je ne sais trop quelle race.

La haine de l'autre, de ces méchants émigrés, devient alors la vertu, et le respect humain pour ces méchants déclarés devient la haine, c'est le procédé de toutes les idéologies de haine de l'histoire, faire de l'autre le méchant pour justifier la haine qu'on lui porte.

Les Français ont toujours cru, qu’ils allaient exporter leur culture, leurs valeurs et leur mode de vie à travers le monde. Or, on se rend compte que beaucoup de populations, à l’exemple du Maghreb et de l’Afrique, ne veulent pas s’européaniser et préfèrent conserver leur particularisme, leur histoire, leur culture. Je pense cependant qu’il faut s’en réjouir, car cela a conduit à des ingérences (coloniales) avec but d'aliéner, d’asservir puis de détruire. La France n’est plus rien sur le plan international et les peuples d’Afrique et du Maghreb   au fil de l’histoire se sont toujours débarrassés en temps de ceux qui venaient leur faire de la morale et s’enrichir sur leur dos.

À force de lire des médias, qui sont des instruments de propagande du pouvoir, les français y croient. C’est un fantasme, pourtant dans les faits, le français moyen peut constater que le pacte républicain est brisé. Une justice politisée au service des délinquants plutôt qu’aux citoyens, une  police encore moins vénérable, une éducation nationale avec la théorie du genre au fond de l'abîme. L'hôpital et la santé publique en général croulent sous la bureaucratie et la pénurie chronique de personnels soignants.

Ce qui fait florès en France, c’est bien les harpies du féminisme qui soulève l'acrimonie (dans la théorie du genre, le prosélytisme LGBT à l'école, le mariage et l'adoption homosexuel, la déconstruction de tout, l’abolition des réalités biologiques, etc.) par des revendications et s'inventent des combats, pour avoir le sentiment d'exister au lieu de vivre sereinement, leurs nouvelles luttes sur le droit à l’adultère ou encore que les hommes aussi pourront être enceinte, Il semble que ce soit désormais possible, puisque le planning familial le dit : il y a des hommes avec utérus.

Sur le plan politique, c'est l'insécurité croissante, les déficits persistants de la balance commerciale et un surendettement explosif, le désintérêt persistant des gouvernants pour le rétablissement de l'état de droit sur les manifestations. Ces facteurs justifient et amplifient la réalité de la décrépitude. La flagornerie revient à une méthode politique toujours plus infantilisante qui ne fait que masquer les difficultés internes toujours négligées.  Les médias à la solde d'un pouvoir corrompu font tout pour que cela se voie le moins possible, qu'ils profitent.

Le Chômage, un fléau de société, un problème de fond que la France plafonne à des plus 7% de chômeurs là où les autres pays sont à plus de 3%, malgré tous les secteurs où les entreprises ont du mal à trouver du personnel qualifié pour certaines tâches, voire encore plus grave pour des taches sans qualifications importantes, c’est vrai, la France dédommage plutôt bien et assez longtemps le chômage.

Plus que 5 millions de personnes sans travail en France.

Par ailleurs, l’Insee estime qu’il y a plus 2 millions de personnes en situation de grande pauvreté en France. Parmi elles, on trouve notamment les 300 000 personnes sans domicile fixe (SDF) que compte la France, d’après la Fondation Abbé Pierre.

Selon un sondage Opinionway, plus d'un tiers des 18 à 34 ans envisageraient un départ à l'étranger. « L'ampleur du chômage, et notamment celui des jeunes, constitue l'une des explications les plus plausibles à cette accélération soudaine d'expatriation des jeunes qualifiés. »

Constat qui résume et explique l'état du pays : la grande majorité des Français a la mentalité d’assisté, ne sont intéressés que par leurs consommations. Ils s’ironisent totalement de ce que devient le pays à partir du moment où ils sont assurés de trouver leurs grandes surfaces dans lesquelles ils se complaisent à acheter tant et plus, mais surtout au meilleur prix. Les politiciens n'ont aucun souci à se faire puisqu'ils protègent leur électorat avec l'éducation nationale, les hôpitaux et la médiocrité, au bout du tunnel, en utilisant toutes les arguties, les arguments, les règlements, les coups tordus possibles. Que les français ont été bercés par des allocations, des indemnisés en tout genre et n'envisagent même plus de prendre de risque et qu'ils s'endorment lentement bercés par ce doux refrain que les pouvoirs maintiennent et interdisent de contrarier et en achetant massivement la paix sociale à crédit. 

Un phénomène qui prend de l'ampleur et qui devient récurent sous le terme spécifique d’expatriés (au lieu d’émigrés) des français partent pour diverses raisons, et bien sur d'autres émigrés arrivent pour les remplacer. Des milliers de Français s’expatrient chaque année Les expatriés sont donc Français angoissés, 93 % se déclarent satisfaits de leur expatriation.

Cette satisfaction se manifeste notamment dans l’écart entre la durée d’expatriation initialement prévue et la durée d’expatriation effective. "Les répondants déclarent qu’ils prévoyaient de rester sept ans en moyenne dans leur pays d’accueil, mais au moment de l’enquête, ils y sont déjà depuis 20 ans en moyenne", remarque L’Observatoire de l’expatriation.

Par ailleurs,  de plus en plus de retraités ont fait le choix de s’installer à l’étranger pour y vivre leur retraite. Les raisons qui les ont incités à s’exiler sont nombreuses : discrimination et stigmatisation liées à l’âge (voir notamment l’attitude infantilisante et discriminatoire du gouvernement à l’égard des seniors lors de la crise sanitaire de la Covid-19), érosion du pouvoir d’achat, manque de respect et de considération, fracture générationnelle, …

Les retraités s’expatrient pour un pays plus chaud que la France (Grèce, Portugal, Maroc, Tunisie, Thaïlande, …), pour une meilleure qualité de vie et un meilleur pouvoir d’achat grâce à une fiscalité plus avantageuse.

La France est devenue un pays miné par l’insécurité et paralysé par la bureaucratie et la fiscalité. La France a aussi changé du fait un pays qui prend feu, au sens propre comme au sens figuré, qui pourrait être un marronnier, confirme l'importance de l'insécurité, de l'immigration incontrôlée, de l'effondrement de ses valeurs, du racket fiscal et social, ainsi que de l’ombrage sociale.

La crise migratoire n’est pas une fatalité, les pouvoirs successifs, surtout le dernier ont souhaité et permis cette invasion, sinon il aurait déjà mis un terme à ce fléau en arrêtant les ONG et passeurs qui y trouvent leurs intérêts !  

Cependant il faut saisir que l'insécurité n’est pas complètement liée à l'immigration, la perte culturelle de la France n’est pas lié à une immigration incompatible avec cette dernière. L’individualisme forcené a pris le pas et permettra que la chute de ce pays arrive, pour le plus grand bonheur des racistes.

C'est la première fois de son histoire, que les Français doivent fuir leur propre pays. Dans un article intitulé «La fuite des cerveaux : septième frein à l’entreprise » publié en mars 2021, Claude Goudron du Cercle Frédéric Bastiat indique que « la France est le deuxième pays le plus touché au monde par la fuite de ses cerveaux, elle a un solde négatif de 130 000 alors que les Allemands ont un solde positif de 374 000 ! Le nombre de jeunes diplômés partant à l’étranger, estimés à 80 000 par an, a doublé ces dix dernières années !».

Ces données chiffrées sont inquiétantes. Elle confirme, comme l’écrit le Conseil d’analyse économique, que la France « parvient moins bien que d’autres pays à retenir ses étudiants étrangers » après leur diplôme, elle ne suscite que très peu d’intérêt auprès de l’élite intellectuelle française, à cause non seulement de son système fiscal, mais notamment pour l’absence de reconnaissance des mérites. Claude Goudron en conclut que « nous pourrions comparer la France à un pays sous-développé qui, faute de débouchés correctement rémunérés, inciterait ses ressortissants à émigrer sous de meilleurs cieux ».

Ces départs sont le signe visible d’un déclin du monde français, et résultent essentiellement du fait que les français eux-mêmes se désoccidentalisent.

La Dame France, avec ces dirigeants politiques, ses médias et ses sinistres polémistes, artisans de la division et de la haine, souscrit fortement à ces billevesées, ainsi, nous méprisons cette hypocrisie, ces indignations calculées,  qui aujourd’hui, dans ces organes de presse se font plaisir avec des clichés déformés,  et toutes ces déclarations et actions en la matière sont donc purement racistes, et visent principalement à tenter de faire oublier les très longues années de colonisations et de spoliations et dépouillement des richesses des colonies.  

L’immigration, où je dirais les musulmans de France, ont largement eu le temps de constater, durant ces deux dernières années, à quoi ressemble une société de l’inclusion, du vivre ensemble et de l’égalité, une société qui érige le « droit à la différence » comme repère d’une civilisation occidentale, c’est dire d’une population vidée de sa matière par un lavage de cerveau continu, qui les fait maintenir dans un monde virtuel, le reste du monde, en gros 80% de l'humanité, regarde ce monde occidental de plus en plus avec une immense perplexité

Je ne méprise pas La France, je n'ai simplement aucune fascination ou admiration particulière pour elle, en tant qu’Algérien, j’estime que nous avons en nous-mêmes, dans notre Histoire, dans notre civilisation Islamique, toutes les ressources, y compris sociales et spirituelles, pour nous régénérer.

Pour conclure et être plus clair, je donne tort à la France dont sa relation avec l’Algérie par manque de maintien, de tenue et surtout pour un orgueil colonial versé dans l’obscénité. La suprématie de cette civilisation en voie de pourrissement et son lot de valeurs inversées se trouvent, pour la première fois, frontalement contestées.

La France, n’est-elle pas la patrie autoproclamée des droits de l’Homme ?

On aimerait bien qu’elle s’occupe un peu moins des droits de l’Homme des autres  et qu’elle se préoccupe un peu plus sur le sort des siens.

Les enfants de la Patrie n’attendent plus  leur jour de gloire !

Après ça, des journalistes et auteurs chéris, nous parlent de la méchante Algérie  anti-démocrate, certains ne font que répéter ce qu’ils estiment être la chose à dire pour garder l’emploi et la position sociale, voire être promus.