La France pleure encore son Algérie (française) !!! !!!

Dans l'évolution de "l'histoire moderne" la colonisation avait servie de crime fondateur des sociétés occidentales des droits de l'homme, ainsi cette société s'est structurée autour de ce marqueur essentiel de la culpabilité, c'est le crime colonial contre l'humanité (à l’exemple d’une tribu archaïque qui s'est structurée autour du meurtre du mâle patriarcal et en a souscrit des lois).

Aujourd’hui après plus de soixante années de liberté la meilleure  initiative mémoriel surtout pour la société française serait celle de leur dire que l’Algérie n’est plus un récit d’aventure et d’épouvante, c’est un pays avec une population qui vivait paisiblement avec une histoire que l’on peut comparer à d’autres. L’histoire de la colonisation est une conquête, des violences, d’une mainmise des terres par un système colonial ridicule avec tous ces ingrédients : indigénat, racisme, attentats, torture, camps, viols, bombardements, assassinats, etc.». La colonisation est une histoire de prédation, de violence, d’asservissement et d’effacement de toute une population.

Histoire de bien asseoir leur sentiment de supériorité, les français aiment très souvent dire que c’est la France qui aurait « créé » l’Algérie pour justifier cela souvent, ils fassent référence aux premières utilisations bien entendu du mot « Algérie » en français, ce qui d’un point de vue historique, est assez réducteur. Ce sont les algériens comme l’Emir Abdelkader, Cheikh El Mokrani, Cheikh Bouamama, Ahmed Bey et bien d’autres qui ont créé la nation algérienne, en voulant faire de leur société, qui existait déjà, une communauté politique, dont la France avait nié leur droit à une souveraineté. Mais ils ont fait cette nation Algérienne contrairement à la volonté de la France et surtout comme une réponse à une répression acharnée et criminelle par un combat pour sa liberté, et cela mérité d’être avouer haut et fort que la nation Algérienne s’est construite contre la France.

On sait toujours que par accrochage idéologique du côté français c'est là qu'on peut constater à quel point l’Algérie française est devenue un produit thérapeutique essentiel faite de sophismes politiques, de rejets et de victimisation, de justifications a posteriori et surtout de mythologies coloniales, ces visions sont souvent leur unique point de rencontre. C'est même une drogue indispensable pour tous ces nostalgériques qui ont du mal à faire le deuil de ce qui était vu comme le prolongement naturel de la France, "de Dunkerque à Tamanrasset"  tant que la médiocrité coloniale décourage toute critique qui reste écrasés par l’occultation de l’histoire du passé colonial

De toute façon, l’Algérie qu’imaginaient les Français et  surtout les nostalgériques avec leur intolérance, complexe de supériorité, résurgence de tendances à l’impérialisme culturel, voire la haine de l’Autre, existait toujours adossée à une autre Algérie avec un simple allongement territorial d’Alger à Tamanrasset, mais ils faisaient tout pour ne pas la voir. C’était une Algérie plus ancienne et plus profonde, c’est-à-dire la société algérienne qu’ils avaient essayé de détruire mais qui leur échappait et qui finirait par les renvoyer en légitime défense.

Parler de souffrances, de blessures, de traumatismes nous avons plusieurs millions de personnes victimes de la colonisation française depuis 1830 uniquement parce qu’ils étaient des Algériens, historiquement ils ont droit à la Justice et il est malheureux de constater que la  politique mémorielle française demeure un affront éhonté à cette Justice. La citation de Victor Hugo illustre parfaitement cette réalité qui reste d'une abjection totale et imparable.                                                                    C’était la civilisation qui arrivait à Alger sous la forme d’une guillotine !                                       Choses vues. Souvenirs, journaux, cahiers, Vol. I, 1830-1846, Paris, Gallimard

Très curieuse vision de l’histoire algérienne, du colonisateur pour qui toutes les idéologies ont besoins de coupables pour répandre leurs mensonges. Une idéologie coloniale, c'est toujours la lutte du bien contre le mal identifié aux ennemis (le colonisé). Des ennemis, c'est très facile à trouver des indigènes Algériens qui avaient osé refuser en leurs ancêtres les gaulois, et même après plusieurs décennies de l’indépendance de l’Algérie, les Français continuent de façon sauvage et hypocrite à instrumentaliser l’histoire et à exploiter les blessures mémorielles à des fins politiques, sociétales et d’avoir une lourde responsabilité dans la réécriture mensongère de la période coloniale en Algérie. Que ceux qui aujourd’hui détiennent un mandat dans l’écriture de l’Histoire ont le devoir, sinon de dire la vérité, du moins de ne pas énoncer des contre-vérités.

Selon ces sites "Identitaires", le fait plus marquant, des Françaises connaissaient un sort plus classique: elles étaient violées, des Algériens étaient des braves gens mais trompés par le FLN à l'insu de leur plein gré et à juste titre pour terroriser les colons. Toutes ces arguties sur la nouvelle histoire entrent dans le cadre de la guéguerre anti Algérien.  

Pour la fachosphère coloniale la culpabilité des indigènes algériens doit donc se déployer suivant deux axes, d’avoir résister à la colonisation, d’avoir refuser les bienfaits coloniales de la France et surtout d'avoir fait aux Colons français des griefs injustifiés. Je serais incomplet, si je ne parlais pas du climat de haine dans lequel se sont trouvées les colonisés, c'est-à-dire les algériens  En fait cette frange de population coloniale ne fait rien d'autre que chercher l'occasion pour se donner de l'importance et oublier ses complexes et ses échecs, ce sont les nostalgériques  (Pieds Noirs) qui ressassent sans cesse la colonisation, la guerre d’Algérie etc., les Algériens ont tourné la page depuis belle lurette, personne ne parle de cela c'est un non sujet pour l’Algérien moyen, le plus important pour lui comment faire pour la prospérité du pays et vivre en paix, sans oublier les crimes du passé, l’Algérien vis au présent, et au présent, le passé de l’Algérien mérite d'être connu. 

Pourquoi la France traîne-t-elle une sorte de mauvaise conscience qui entretient de sales rancœurs d’une classe politique incapable, profondément décomposé et cultivant cyniquement les rancoeurs pour s’exonérer de la responsabilité de ses immenses échecs aux yeux de sa population qui ne cesse de la contester, la propagande médiatique se nourrit de la certitude du colonisateur d’être magistral par son mépris envers le colonisé à qui l’on prétend apporter la civilisation.  

C’est ce qui est paradoxal la société des droits de l'homme constitue un contresens sur la réalité de la nature humaine, une surestimation de la raison avec un égarement immoral: c'est-à-dire un déclin de la société occidentale supplantée humainement et moralement par la civilisation islamique sur  le sol des nations chrétiennes. L’islam est inéluctable devant tant d’irrespect pour la nature humaine dans une société dépravée sous les coups fantaisistes d’une minorité façonnant la société à leurs convenances. Le summum est atteint dans la dérive de la normalité de ce délire transgenre, il fallait quand même avoir de l'imagination, un "homme ayant un utérus" qui accouche sera-t-il/elle considéré.e comme le père ou la mère ? Il est possible aussi qu'une "femme à pénis" soit le père d'un enfant. Pourtant la réalité biologique nous apprend que seule une femme peut porter et donner la vie à un enfant. C’est tout bêtement un fait naturel voulu par notre Créateur !                                                                                Alors Bravo pour cette belle avancée sociétale cela semble-t-il beaucoup plus à la mode ?

Les Français aiment toujours se parer de mérites et des vertus qui ne leur appartiennent pas et ne manquent jamais de les célébrer à grande pompe, peut être parce que pour eux, la vérité, c’est ce qui les sert, leurs journaleux justes un ramassis d'intellos racistes qui se croient visionnaires mais qui sont surtout des utopistes dangereux. Ils ont besoin de diaboliser les autres pour justifier le racisme et la haine de l’autre, c’est vouloir faire d’une particularité un cas général. C’est parce qu’on parle du pays des droits de l’homme qu’on peut se permettre de suspecter qu’il y a la même chose de pire pourvu qu’ils puissent continuer à s’enorgueillir de leurs postures morales ! C’est avec leurs yeux que nous devrions regarder notre passé.

L’Immigration l’éternelle débat !!                                                                                            La question de l’immigration est largement instrumentée par les médias à chaque échéance électorale, c’est un choix politique, pourtant le travail immigré a bien sa place dans l’économie française surtout des avantages comme une ressource qu’il procure soit à l’État  par la solution au problème du financement des retraites, soit aux employeurs comme un palliatif au vieillissement de la population active, soit aux consommateurs comme un équilibre socio-économique les prix à la consommation (produits agricoles et autres) seraient bien plus élevés, la main-d’œuvre étrangère étant bien moins payée, Dans le domaine du système des retraites, l’immigration joue un rôle des plus favorables, toutefois l’immigration subit le problème de racisme dans une société moderne, dont la devise est l’égalité.

L’apport migratoire semble être majoritaire dans la croissance démographique du pays ; sans lui, la France n’échapperait sans doute pas au déclin de sa population. L’immigration a toujours été un puissant facteur de croissance et ceci mérite mieux que des clameurs hystériques. Sans cet apport, la France d’aujourd’hui peut être à l’état du Portugal ou de la Grèce, c'est-à-dire un pays en faillite.

De nos jours surtout, les médias occidentaux tentent de donner des explications erronées sur l’immigration pour jeter les doutes, que des citoyens privés de libertés et de démocratie, souffrant de la faillite économico sociale et sans travail vont immigré en masse d’année en année vers la France, vers ses chattes, vers les allocations, les aides sociales de tous ordres, et vers ses droit de l’homme. Ces médias avancent rien que pour l’Algérie ce sont au moins 4 millions de personnes vivent en France et faire apparaître ainsi que les Français avec leur pseudo laïcité, leur pseudo égalité apparaîtront comme les sauveurs humanitaires et les plus bienveillants.  

A Oran, on a vu plus récemment le président français ouvrir joyeusement les bras à toute une jeunesse algérienne qui faisait retentir les rues d’Oran de slogans (On.Two.Three Viva l’Algerie) ou encore lors de la balade du président Français à Alger ponctuée de quelques sifflets au cours d’un bain de foule, peu agréables vis-à-vis de la France qui finit tout de même par se rendre compte que NON, le jeunesse algérienne n’acclamait plus une distribution de visas et surtout que l’immigration vers la France n’apparaîtra plus comme une solution pour nombre de jeunes Algériens.

Aujourd’hui l’Algérie et sa jeunesse refusent et rejettent les valeurs dégénérées qui inculquent  dans les écoles primaires qu’un homme peut bien être «enceint» de son mari (des hommes féminisés et des femmes virilisées) et qu’il s’agit là de l’un des plus beaux progrès de l’humanité : un résultat déplorable où tout devient sentiments et hystéries ou encore cette volonté diabolique de diviser, cette culture de mort que l’Occident ne cesse de répandre partout.

Si la France veut normaliser ses rapports avec l'Algérie, il faudra en passer par la reconnaissance d'une histoire partagée. L'Algérie est plus attachée à cette mémoire qui est pour elle fondatrice. Pour la France, la guerre d'Algérie n'a pas été autant une tragédie. Elle l'a été pour des individus, mais pas pour la France dans son ensemble, ni pour sa population.

L'Histoire ne se négocie pas politiquement, elle se démontre, se prouve, se discute quant à l'interprétation des faits par ses spécialistes (Historiens). Les affirmations et les témoignages du parti pris ne constituent nullement des faits et encore moins des vérités. En France nous sommes en train de constater une "déconstruction" historique. C'est assez émouvant de voir se créer un mensonge d’État.

A mon humble avis, la principale source des difficultés entre l'Algérie et la France, c'est cette différence d'attentes. La France, dans son ensemble, ne s'intéresse guère à l'Algérie, présente comme passé. En Algérie, c'est différent. C'est une mémoire qui reste vivante, nous les Algériens  reconnaissons ce passé dans son entièreté, y compris dans ses zones d'ombres, et nous laissons les Français de décider du jour où ils voudront emprunter le même chemin.


 

Le Makhzen maintient une vieille antienne contre le peuple Marocain !

 

Elle dit : "En vérité, quand les rois entrent dans une cité ils la corrompent, et font de ses honorables citoyens des humiliés. Et c'est ainsi qu'ils agissent.. Qur’an (S. 27-34)

Du point de vue religieux, le principe monarchique par un système de l´héritage du pouvoir personnel est incompatible avec l'islam surtout avec l’incorporation d’un régime de gouvernance aux valeurs décadentes non islamiques, la corruption des esprits ou l’occidentalisation des mœurs dépassant le seuil de l’admissible.

En revenant tout simplement au système féodal marocain «Makhzen» juste une survivance et une friperie automatisée, qui datait de bien avant l'époque coloniale et convenait à une société tribale et féodale et en lui donnant aujourd’hui une forme moderne. Le système «Makhzen» reposait sur le principe que les serviteurs du monarque, caïds, chefs des tribus, gouverneurs des provinces imposés dans une société moderne, dirigent «le peuple»par procuration royale, ce concept ne peut qu'engendrer une corruption démesurée, sans compter sur quelques autres particularités du système inspiré par des conseillers juifs avec un axiome de base «Diviser pour régner».

Ce qui est triste pour le système du Makhzen, c'est que tout un peuple qui est loin de partager les options de ces laquais crapuleux, sombrer dans une aventure effrayante, historiquement le régime du Makhzen Marocain s'est servi du Sahara Occidental pour régler ses problèmes intérieurs, comme dérivatif alors que la révolte sociale grondait dans tout le territoire Marocain.

Si on se raccroche à Donald Trump et aux dirigeants  sionistes, qui ont changé le cours de ces mêmes projets de cinglés, pour venir jouer au troc avec un territoire autonome, pas encore décolonisé. Une vieille revendication marocaine et qui se trouve exaucée d’où le troc de Donald Trump : les Etats-Unis reconnaissent  la souveraineté du Maroc sur le Sahara occidental, disputé par le Front Polisario ; en échange, le Maroc reconnaît Israël pleinement et normalise ses relations et établit des liens de coopération

C’est qu'on y voit un exemple qui pourrait servir d’échappatoire au  régime du Makhzen, mais aujourd’hui, capituler devant l'arrogance juive n'est pas une solution. C'est trahir les générations futures du peuple Marocain, c’est agaçant, le fait sioniste persiste, ce gredin, sale voyou de l’histoire. Du coup le Makhzen pense qu'une aide d'Israël serait plus utile que des imprécations à distance dans la colonisation du Territoire Sahraoui qui n'en finissent pas de se déliter et de se rapprochent du Palais Royal.  

L'Etat Sioniste d'Israël et tous ses propagandistes dans le monde occidental, y compris au Maroc, se rendent coupables envers les Palestiniens d'un génocide sournois, mais réel parce qu'ils anéantissent leur personnalité. Ils réduisent les Palestiniens, par leur propagande médiatique à une masse impersonnelle au sein de laquelle il est impossible de discerner l'âme de personnalités fortes et puissantes, représentatives de leur peuple.

Cela explique l'impuissance du système marocaine, qui entrevoit la possibilité d'échapper à une certaine domination en s'ouvrant un peu plus aux Palestiniens, mais il se voit rappeler à l'ordre au moindre pas dans cette direction par l'utilisation de la question Sahraouie, des problèmes sociaux, voire sociétaux catastrophiques internes au Maroc.

D’être conscient du sens de l'Histoire quelques vérités à ne pas oublier, une méconnaissance de l'histoire est présente chez certains marocains, qui propagent selon le très officiel manuel d’histoire le mythe du Royaume du Maroc qui existerait depuis 11 siècles.  

Selon les livres d’histoire, le Maroc au début du XVIIe siècle, était morcelé en plusieurs petits États indépendants. La dynastie régnante des Saadiens est en déclin et le royaume n’a plus d’autorité centrale. Au Tafilalet, dans le sud-est, les descendants de Hassan Addakhil, les Alaouites, se distinguent en défaisant deux puissantes confréries : la zaouïa d’Illigh, qui contrôle le Souss et le Drâa, et celle de Dila, qui tient le nord et est sur le point de s’emparer de Fès.

Moulay Ali Chérif, 7e descendant de Hassan Addakhil, est promu chef de la famille et devient le nouvel homme fort du Tafilalet. Ce dernier est décrit par les hagiographes comme un “lion magnanime, le pôle de tous les chevaliers de l’islam, le brave audacieux, le lion hardi, le grave, le pieux, l’éclaireur de la milice des guerriers de la foi, le glorieux des glorieux”.

Malgré ces qualificatifs élogieux, Moulay Ali Cherif n’arrive pas à étendre son pouvoir aux autres provinces du Maroc et abdique en faveur de son fils, Moulay Mohammed. Ce dernier, que les historiens dotent d’une puissance physique hors du commun, multiplie les guerres contre les tribus voisines. L’une d’entre elles, la zaouïa d’Illigh, prend en otage son père, Moulay Ali Chérif. Il sera finalement libéré en 1640 par son fils, qui sera proclamé sultan du Tafilalet et régnera sous le nom de Mohammed 1er.

Fils de Moulay Ali Chérif, Moulay Ismaïl doit batailler dur contre plusieurs de ses frères pour asseoir son pouvoir sur le trône du Maroc. Une guerre civile fratricide qui s’achève par une victoire définitive.

Si Moulay Ismaïl choisit Mekhnès pour capitale, ce n’est pas seulement pour son climat qu’il affectionne tout particulièrement, mais surtout pour en faire “la Bourse” du commerce des esclaves. “C’est Moulay Ismaïl qui décide, pour des raisons politiques et surtout économiques, de regrouper à Meknès, la nouvelle capitale, tous les captifs pris en mer ou sur les côtes européennes”, écrit Ahmed Farouk, chercheur rattaché à l’Institut méditerranéen à Paris.

C’est que le Sultan Moulay Ismaïl contrôle l’ensemble du circuit des captifs, en commençant par une flotte de corsaires basée à Salé, qui fut cinquante ans auparavant la “république des corsaires”, et c’est cette flotte qui l’approvisionne en esclaves chrétiens. La vente de captifs détenus dans les geôles du sultan constitue une ressource non négligeable pour le Makhzen.

De nombreuses ambassades et missions religieuses européennes sont envoyées à Mekhnès pour négocier leur rachat. Parmi elles, les Pères de la rédemption, religieux de l'ordre de la Trinité ou de l'ordre de la Merci, fondés pour le rachat des captifs, avaient effectué plusieurs voyages au Maroc et “doivent négocier avec le sultan, et uniquement avec lui”, précise Ahmed Farouk. Le sultan Moulay Ismaïl est présenté par plusieurs historiens, contrairement à la version officielle, comme un souverain ayant des penchants sadiques. Il aurait tué 127 détenus de ses propres mains, selon l’historien Henri Terrasse.

Le sultan Moulay Ismail, un père le plus prolifique de la famille des Alaouites, est considéré comme le véritable fondateur de la dynastie alaouite. Ce mégalomane avait mis sa main sur le Maroc pendant cinquante-cinq ans : un record de longévité pour un monarque absolu. Mais, ce dictateur, qui ne tarda pas à se voir affublé du surnom de l’ «Assoiffé de sang», détient un autre record selon le Guinness Book : celui d’avoir engendré 888 enfants.

Mais cela est-il seulement possible ou est-ce une pure légende ?

L’entrée des Français au Maroc avait été facilitée par une guerre fratricide. Le Sultan Moulay Abdelaziz nommé par ses détracteurs de “sultan des Européens”,  avait du mal à maintenir son autorité intacte. Le 16 août 1907, son frère aîné Moulay Hafid, est proclamé sultan à Marrakech grâce à l’appui des grands caïds, dont Madani El Glaoui, grand frère de Thami, le futur pacha de Marrakech. Le 4 janvier 1908, c’est au tour de Fès de se révolter contre Moulay Abdelaziz et de se rallier à Moulay Hafid. Mais le sultan refuse d’abdiquer et rejoint Rabat, alors sous contrôle européen. Ses adversaires le raillent et le traitent de sultan des “enclaves européennes posées sur le littoral”. Mais le Sultan Moulay Abdelaziz, tenace, continue à résister et réussit à réunir une Mahalla pour combattre l’armée de son frère, autoproclamé sultan du Djihad.

Par une après-midi suffocante, un 19 août 1908, les deux armées se rencontrent à Tamelelt, une petite localité proche de Kelâat Sraghna. La bataille ne dure pas plus d’une journée et le sultan Moulay Abdelaziz est battu à plate couture par son frère. Cette dernière défaite militaire devait sonner le glas du règne du jeune sultan. D’ailleurs, toute l’élite marocaine ainsi que les Européens présents au Maroc prennent acte de l’issue de la bataille. Mais, contre toute attente, le sultan Moulay Abdelaziz ne s’avoue pas vaincu. Le lendemain de sa défaite, il est à Casablanca et s’apprête, dans une dernière tentative désespérée, de rejoindre Settat pour rassembler une nouvelle armée.

Alfred G. Paul Martin, un officier-interprète français de l’armée d’Afrique, écrit à ce sujet : “Il (Abdelaziz) n’avait plus rien, il sollicita tout : de l’argent, des armes, des hommes”. Une dernière tentative couronnée d’échec. Le sultan défait se réfugie finalement à Tanger où il finira sa vie. Ironie de l’histoire, son frère le sultan Moulay Hafid mourra, lui, en France où il a vécu en exil après 1912.

Le 30 mars 1912, Moulay Hafid signa le traité de "protectorat" de Fez, qui consacrait officiellement l’occupation Française du Maroc par l’instauration d’un "Protectorat" placé sous la direction du Commissaire Résident Général français, pourvu des pouvoirs du gouvernement français. C’est au nom de ce pouvoir que le maréchal Lyautey va détrôner Moulay Hafid qui a signé ce traité, pour désigner Moulay Youssef à sa place!

Le maréchal Lyautey entend ainsi renforcer sa monarchie coloniale et la confectionner à sa guise! Le nouveau Sultan du Maroc ainsi que tous ses héritiers alaouites qui l´ont suivi, jusqu´à Mohamed V ne font alors que signer tout ce que prépare l´autorité de l´occupation. 

Cette dépendance politique est encore en application dans le Royaume du Maroc d’aujourd’hui. Pour le peuple marocain, le traité de "Protectorat" était un acte de vente.

18 novembre 1927 Mort du Sultan Moulay Youssef,  Les Français imposent comme Sultan son 3ème fils Mohammed Ben Youssef, âgé de 17 ans, jugé trop libertin et censé être plus larbin.

Le sultan Moulay Youssef qui a régné sur le Maroc de 1912 à 1927 avait rendu visite le 18 juillet 1926 au maréchal Lyautey  dans sa résidence à Thorey.  Le futur Roi Mohammed V, ne manque jamais de venir saluer le Maréchal lorsqu'il se déplace en France ou lors de ces visites à la Station thermal de Vittel. En 1934, dernière visite du Sultan, il est accompagné du jeune prince héritier, le futur Roi Hassan II.

Pour renforcer leur contrôle sur le Maroc, les autorités françaises renversent le sultan Mohammed Ben Youssef, considéré comme trop nationaliste et trop mou lors des émeutes de 1952. Cette décision est supportée par El Glaoui, un riche entrepreneur marocain, allié des Français, qui descend des collines vers Rabat à la tête de cavaliers berbères. Le 20 août 1953, Mohammed Ben Youssef déchu, est envoyé en exil en Corse, puis à Madagascar. Il est remplacé par Mohammed Ben Moulay, un dirigeant âgé et faible que la population considère comme un usurpateur. Car le Protectorat veillait et les Français y ont exporté la règle de primogéniture qui avait, malgré quelques bavures, fait merveille chez eux pour appesantir le pouvoir royal et briser toute résistance populaire et aristocratique à l'État fiscal qu'il voulait absolument puissant et personnel, reposant sur une bourgeoisie avide qui deviendra une ruche d'essaims coloniaux et expansionnistes!

La France par conséquent n'avait occupé et soi-disant restitué à lui-même qu'un petit Maroc amoindri par l'impérialisme colonial.

L’histoire du Royaume du Maroc démontre que ce sont les sultans alaouites, qui ont exploités pleinement les richesses du peuple Marocain. Ils ont soumis les populations au colonialisme et ils ont ouvertement et officiellement fait appel aux puissances coloniales pour qu’ils soient protégés des révoltes du peuple marocain ou mieux encore pour vaincre leurs querelles et guéguerre fratricides pour le maintien du trône.

Les paysans Marocains n'avaient jamais accepté la présence alaouite, et ils avaient que très de  moyens de se défendre. Ils ont toujours refusé l'établissement d'un système "monarchique" tout à fait étranger et contraire à l'esprit de l'Islam. Les Alaouites constamment repoussés useront de leurs malheureuses troupes égarées dans une sale guerre en les envoyant à l'assaut des résistants pour tenter d'affirmer leur pouvoir personnel autocratique et illégitime.

Les paysans du peuple Marocain fermement motivées, ne rompront jamais compte tenu du passé révolutionnaire du peuple marocain qui a des antécédents résistants dans la mémoire collective comme l'extraordinaire épopée de la République du Rif, sous la direction d'Abdelkrim El Khattabi dans sa lutte contre l'Espagne et le France de 1921 à 1926.

Totalement falsifiée par la propagande mensongère du régime dictatoriale stupide l'histoire du Royaume du Maroc contemporain demeure méconnue des Marocains, au point de devenir un ensemble de grandes énigmes et de nombres évènements importants de l’histoire du Royaume du Maroc sont restés trop longtemps tabous par un régime du Makhzen féodal.

Le Maroc est celui de tous les paradoxes. Il est enlisé par une tension sociale extrême (soulèvement du Rif, en 2017, plusieurs centaines de manifestants ont été condamnés, pour certains à vingt ans de prison ferme), un taux de chômage urbain de l’ordre de 40 pour cent et des décennies d’absolutisme monarchique. Au point que se pose de manière lancinante la question de son abdication en faveur de son fils, âgé de 17 ans.

De surcroît, le royaume chérifien, un pays «patrimonialisé» est au bord de l’apoplexie, pour reprendre l’expression la plus courante en pareille situation, en proie à une ébullition permanente, conséquence de l’autoritarisme du Makhzen,  de l’arbitraire, du népotisme et de la corruption qui y règne.

Dans l’histoire du Royaume du Maroc, les différents Sultans n’ont rien apporté à la population, sauf la dépossession des richesses et surtout l’humiliation de la femme Marocaine pour en avoir posséder des dizaines, des centaines et même des milliers en vue de garnir leur harem, cette attitude des Sultans ne peut que qualifier le régime du Makhzen de féodal qui nie toute personnalité ou aspiration outre que celle du Sultan.,

La grande faute du Marocain, c'est de ne pas accepter de mourir, d'être fier de son origine, de son passé, de ses croyances etc. Dans cet optique, nous sentons bien la haine et la hargne de ses figures de cire du Makhzen qui s'arrogent le droit de ce qui doit être dit ou pas, de ce qui est correct ou pas, de s'asseoir comme il se doit, et de répondre toujours dans un langage déjà codé et rodé depuis des décennies, leurs objectifs était de servir une puissance étrangère et de se gaver sur le dos du peuple Marocain.

L’islam des Lumières, les bienfaits du Lait Maternel !


 Compte tenu des avantages hygiéniques et affectifs de l’allaitement l’Islam incite les parents à allaiter leurs bébés durant deux ans, durée jugée nécessaire pour que l’enfant puisse pleinement bénéficier des bienfaits de ce lait. ce que la science explique que l'allaitement maternel est très bénéfique aussi bien pour le bébé que pour sa mère. C’est le moyen privilégié qui crée pendant la période de l’allaitement un lien intime, solide et salutaire entre les deux.

Donc nous constatons que pour l’Islam, l’allaitement de l’enfant est une obligation morale : En cas d’incapacité d’allaiter son enfant, le Qur’an autorise la mère à le confier à une nourrice : Et si vous rencontrez des difficultés réciproques, alors, une autre allaitera pour lui Qur’an S 65,Verset 6 .

Ce recours crée un véritable lien de parenté entre les deux familles comme le confirme le Prophète Mohammad : L’allaitement produit la même interdiction en matière de mariage que produit l’enfantement.  Aussi, l’enfant ne pourra épouser ni sa nourrice ni l’un de ses enfants car frères et sœurs de lait. Si l’islam énonce clairement cet interdit, les autres traditions religieuses le respectent même si, à notre connaissance, aucun écrit n’en fait état.

Le sevrage de l’enfant peut intervenir avant son terme : et si, après s’être consultés, tous deux [mère et père] tombent d’accord pour décider le sevrage, nul grief à leur faire :

« Et les mères, qui veulent donner un allaitement complet, allaiteront leurs bébés deux ans complets. Au père de l’enfant de les nourrir et les vêtir de manière convenable. Nul ne doit supporter plus que ses moyens. La mère n’a pas à subir de dommage à cause de son enfant, ni le père, à cause de son enfant. Même obligation est faite pour l’héritier. Et si, après s’être consultés, ils tombent d’accord pour décider le sevrage, nul grief à leur faire. Et si vous voulez mettre vos enfants en nourrice, nul grief à vous faire non plus, à condition que vous vous acquittiez de la rétribution convenue, conformément à l’usage. Et craignez Allah, et sachez qu’Allah observe ce que vous faites ».Qur’an S 2.Verset 233

 « Et Nous avons enjoint à l’homme de la bonté envers ses parents (père et mère) : sa mère l’a péniblement porté et en a péniblement accouché ; sa gestation et son sevrage durent trente mois … » ; puis quand il atteint ses pleines forces et atteint quarante ans, il dit: «Ô Seigneur! Inspirez-moi pour que je rende grâce au bienfait dont Vous m’avez comblé ainsi qu’à mes parents (père et mère), et pour que je fasse une bonne œuvre que Vous agréez. Et faites que ma postérité soit de moralité saine. Je me repens à Vous et atteste être du nombre des Musulmans». Qur’an S.46 Verset 15

Ce Verset nous indique que l’allaitement devrait durer 24 mois et nous indique également que l’hérédité par allaitement et parenté, transmet les qualités morales et la foi ; ceci du fait des relations intimes entre parents, père et mère, mais surtout grâce à la mère, dès les premiers jours de l’allaitement.

«Nous avons ordonné à l’homme [la bienfaisance envers] ses parents (père et mère); sa mère l’a porté [en subissant] peine sur peine: son sevrage a lieu au bout de deux ans. “Sois reconnaissant envers Moi ainsi qu’envers tes parents ! C’est vers Moi que se fera ton retour». Qur4an S.31 Verset 14

«Et Nous révélâmes à la mère de Moïse [ceci]: «Allaite-le. Et quand tu craindras pour lui, jette-le dans le flot. Et n’aie pas peur et ne t’attriste pas: Nous te le rendrons et ferons de lui un Messager ». Qur’an S.28 Verset 7

Ainsi le Saint Qur’an incite et encourage les parents à l’allaitement des enfants jusqu’à deux ans pour un allaitement complet. Si la mère ne peut ou ne veut allaiter son enfant, elle peut recourir à une nourrice. Cette décision ainsi que le sevrage de l’enfant doit se faire en concertation entre le père et la mère, même divorcé. La loi musulmane a décrété que la nourrice devient la mère de l'enfant allaité et que le bébé allaité devient frère et/ou sœur de lait des enfants de sa nourrice. Plus que cela, il ne peut y avoir de mariage entre frère et sœur de lait. Par contre seul le bébé allaité est frère ou sœur des enfants de sa nourrice ; ses propres frères et sœurs, qui n’auraient pas tété la même nourrice, ne le sont pas.

« Vous sont interdites : vos mères, vos filles, vos sœurs, vos tantes paternelles et maternelles, les filles d’un frère et les filles d’une sœur, vos mères qui vous ont allaités, vos sœurs de lait, les mères de vos femmes, vos belles-filles qui sont sous votre tutelle et issues des femmes avec qui vous avez consommé le mariage; si le mariage n’a pas été consommé, ce n’est point un péché pour vous (de les marier); les femmes de vos fils nés de vous-même. Il vous est également interdit de réunir deux sœurs (comme épouses). Exception est faite pour le passé, car Allah est foncièrement Miséricordieux et clément. » Qur’an S.4 Verset 23

Nous retrouvons cela dans la Sunna (actes et paroles du Messager de Dieu). Le prophète Mohammed (que les prières de Dieu soient sur lui) a dit:

1. “Est interdit par l’allaitement ce qu’est interdit par les liens familiaux”.

2. “N’est interdit par l’allaitement que ce qui a rassasié l’enfant avant ses deux ans et avant d’être sevré”.

Il n’y a d’allaitement que ce qui renforce l’os et fait croître les muscles”.

Les découvertes scientifiques récentes nous expliquent pourquoi l’allaitement devrait durer deux ans et les raisons qui pourraient expliquer le fait que la nourrice de l’enfant allaité devient sa mère de lait avec toutes les conséquences familiales et juridiques qui en découlent.

Cela fait plus de 14 siècles que les musulmans avaient été incités à allaiter leurs enfants jusqu’à deux ans. Cet allaitement pouvant se faire soit par la mère elle même ou bien par une nourrice bien choisie. Reconnaissance était faite ainsi de trois concepts majeurs:

L’importance du lait maternel pour la santé et le développement de l’enfant,

L’importance de l’allaitement pour la santé de la maman, 

L’importance du choix de la nourrice ; celle-ci devient la mère de l’enfant allaité et ses enfants deviennent tous frères et sœurs de lait  interdits au mariage entre eux.

Depuis la fin des années 2000, les recherches biochimiques et biomoléculaires ont démontré que le lait maternel contient des cellules souches pluripotentes capables de se transformer en différentes cellules du corps et qu’elles passent à travers l’intestin de l’enfant vers tout son corps afin de réparer ce qui aurait besoin de l’être et continuer ainsi les échanges entre la mère et l’enfant ; ces échanges commencent via le placenta dès que le phoetus est dans l’utérus. Tous ces travaux concernant l’immaturité et les caractéristiques du système digestif de l’enfant avant ses deux ans ont démontré la nocivité de tout autre lait que celui de la maman. Ils nous expliquent les raisons pour lesquelles l’Islam a incité, il y a de cela plus de 14 siècles à allaiter durant deux ans. Et Nous obtenons également quelques explications sur les liens biologiques qui se constitueraient entre une nourrice et le bébé allaité. Des cellules souches du lait de la nourrice, donc de son corps, passent dans le sang du bébé à travers les parois du système digestif immature de l’enfant en cours d’allaitement.

A la suite de ce travail, on pourrait émettre l’hypothèse que l’interdiction de mariage en Islam entre frère et sœur de lait proviendrait du fait qu’avant les deux ans du bébé les cellules souches de la nourrice pénètreraient les intestins de l’enfant allaité et créeraient ainsi un lien génétique entre les deux. A partir de deux ans, les passages dans l’intestin du bébé se fermeraient. Les cellules souches ne passant plus dans le sang du bébé, il ne se produirait plus de lien génétique entre la nourrice et le bébé.

"Nous allons sans cesse leur montrer nos miracles dans les horizons et dans leur être, jusqu’à ce qu’il leur soit prouvé clairement que c’est bien la vérité" ; Le Qur’an ,S.41 verset 53,  

Les travaux des chercheurs continuent dans ce domaine et Dr. Cregan ajoute : “ le lait maternel est le seul tissu adulte où plus de 3 types de cellules souches ont été découvertes. Ceci est réellement unique et montre combien la bio activité du lait maternel est importante et par conséquent les bienfaits pour l’enfant allaité sont inestimables”. Il ajoute: Les évidences préliminaires,  prouvent que le lait maternel contient également des cellules souches qui favorisent la croissance des muscles et du tissu osseux”].

Nous remarquerons  que cela correspond à ce que le prophète Mohammed (que la paix et le salut d’Allah soient sur lui) disait dans un hadith   “Il n’y a d’allaitement que ce qui renforce l’os et fait croître le muscle”.

L'islam attache une importance juridique à l'allaitement comme mode d'établissement de liens de parenté. La théorie juridique de la parenté par l'allaitement trouve sa source dans le texte divin. Les études menées jusqu’à présent ont mis en évidence un effet bénéfique de l’allaitement dans de nombreuses pathologies, que ce soit chez la mère ou chez l’enfant. D’autres sont certainement en cours pour préciser ce rôle et notamment l’impact de différentes durées d’allaitement exclusif. Bien entendu, ce bon départ dans la vie ne doit pas être compromis par une mauvaise hygiène de vie pour que l’enfant puisse profiter pleinement des bienfaits de l’allaitement et d’un mode de vie sain. Et il est d’autant plus important que la mère allaitante y prenne plaisir et ne le vive pas comme une corvée !

Le lait maternel n’a pas livré tous ses mystères puisqu’on ne connaît pas tous les éléments qui le composent et encore moins toutes les fonctions de ceux que l’on connaît.

L’attitude offensive des médias occidentaux contre l'Islam et les musulmans :

                                             

Islamophobie,: “De islam et -phobie”.

Forme particulière de racisme dirigée contre l'islam et les musulmans. C'est une définition que donne le Petit Robert 2005. Or, si le phénomène est constaté aussi bien en Europe qu'en Amérique du Nord, il existe bien une islamophobie à la française et notamment durant les campagnes electrorales, une phobie de l'islam en tant que religion et civilisation et, par delà, un rejet de ceux qui sont supposés en faire partie, cette forme de rejet venu se greffer à un contentieux historique amalgamant histoire coloniale, guerre d'Algérie trop mal digérée, de certains géopoliticiens et polémistes qui prennent là une revanche médiatique, pour  réussir à décrédibiliser et à marginaliser la parole des chercheurs spécialistes de l'islam.

Les géopoliticiens et polémistes occidentaux savent absolument que ce qu'ils se passent actuellement dans le monde musulman ne sont en fait que les séquelles et les contrecoups  de la colonisation judéo-chrétienne et le soutien occidental a une junte de dirigeant littéraliste. Personne n'est plus dupe. Après des siècles de présence coloniale, de détérioration du tissu social et des fondements culturels, l'intégrisme aveugle et réactionnaire a fait des siennes et seul Dieu sait comment on a pu nous en sortir. L’Islam en son essence ne peut être accusé pour certaines déviances sur ce plan. De toute la misère du monde musulman actuel les occidentaux ne sont pas de simples spectateurs attendant une bonne image ou une autre répugnante, mais malheureusement les plus grands si ce n'est les seuls et vrais acteurs

Cette réalité s’incarne dans des discours et s’inscrit dans des expériences traduisant l’hostilité envers l’islam et les musulmans. Elle se manifeste non seulement dans les discours haineux, la discrimination et l’exclusion, mais aussi dans les crimes haineux résultant d’une représentation paranoïaque de l’islam et des musulmans. Un polémiste notoire en imprécateur de l’Apocalypse laisse entendre qu’une guerre de religion ravage les quartiers nord de Paris ou affirme-t-il que certaines familles musulmanes interdisent à leurs enfants de parler français, tout en martelant dans les médias que l’Islam et les migrants bronzés se trouvent sur le point de détruire la civilisation occidentale et s’apprêtent à renverser le capitalisme et à installer un califat en France.

Donc cette religion est présentée comme ennemi de la liberté et un adversaire de la civilisation et des valeurs reconnues à l’occident. Ces détracteurs tentent de légitimer leurs discours par une généralisation abusive des pratiques rétrogrades de certains systèmes politiques et religieux dans certaines sociétés musulmanes.

Pourtant on ne peut rien faire contre le fait que l'islam soit la meilleure religion. Cette religion a acquis tout cela car justement elle se place clairement au juste milieu. Les limitations inhérentes au judaïsme et au christianisme sont résolues par l'islam et le Qur’an qui opèrent la synthèse entre leur tendance respective : l'extérieur pour le judaïsme, et l'intérieur pour le christianisme. L'islam représente donc grâce au Qur’an vénéré, le sommet absolu et demeure donc qualitativement supérieur aux autres formes religieuses. L’islam est très conscient de cet héritage puisqu'il se présente comme l’ultime expression de la Volonté divine révélée aux hommes depuis Adam, comme la confirmation et l’achèvement des révélations qui l’ont précédé.

L’Islam vient de la racine " Paix".. N'est ce pas déjà en soi la preuve qu'il y a presque 1.500 ans le Prophète Mohamed (le salut soit sur lui) a levé toutes les contraintes de l'Homme sur les peuples et les générations pour les orienter vers la paix. Cette évidente vérité est a jamais affirmée aussi bien par le Qur’an que par la tradition Islamique. Quelques points de base, de cette vérité, l’engagement à "délivrer les hommes d'être des serviteurs des hommes à être des serviteurs de Dieu), et une conviction en pleine fraternité d'hommes tous pareils (égaux) qui descendent d'Adam et  d'Eve.

Nous les Arabes sont mutuellement égaux l'un pas l’esclave de l'autre. L'autre idiome est religieux, si tous les hommes sont des domestiques de Dieu, alors ils ne sont pas ici pour servir les uns les autres, ou comme le fait d'impliquer une servilité aux hommes qui est due seulement à Dieu. Les Arabes et les musulmans, en revanche,  sont consciemment pas comme ça ; implicitement, bien que l'on ne le dise pas ils sont des hommes libres. La mission islamique est de transformer la pauvreté des gens dans l'abondance, les libérer de l'inégalité et à les conférer a la justice de l'Islam.

On ne change pas de religion parce qu'il y aurait quelques parts des extrémistes. Il faut dans de tels cas seulement surveiller. Et justement sur ce plan, c'est d'ailleurs à ce titre que la plupart des personnes sensées considèrent de nos jours la position du Qur’an comme le vrai message régulateur et modérateur des excès du centrisme.  

L’Islam une puissante civilisation  pour être aussi une très grande religion dont  l’extrémisme n'a point de place. Sinon, chaque religion, aussi spirituelle soit-elle, comporte de grands fondamentalistes déviants. Le christianisme lui-même connaît des courants néo-fondamentalistes qui représentent une réaction presque inévitable face à une adaptation complaisante à la modernité.

Les lectures biaisées des polémistes et des médias orientées pour travestir la parole divine, cela ne sert plus a rien. La vérité étant actuellement apparue même aux non-initiées. Cette prise de conscience musulmane devient effectivement totalement gênante pour les contradicteurs. Les discussions sur le Qur’an ne sont jusqu'ici essentiellement empreintes que des regards islamophobes, sinon aucun autre problème n'est à signaler. Dans un autre entourage il est plutôt prouvé qu'un musulman peut vivre et pratiquer sa religion dans n'importe quelle société, aussi bienveillante soit-elle. Tous les musulmans savent que suite aux continuelles dérives occidentales et l'aide apportée a l’extrémisme, l'islam a plutôt entamé une guerre de libération aussi bien sur le plan politique que théologique.

Cette tactique des détracteurs est connue depuis belle lurette, en mêlant les enseignements Islamiques avec cette pensée seulement violente et abusive ils essaient par tous les moyens de donner une image purement humaine à la parole divine avec tous les retentissements que cela comporte. Les réactions tout simplement impulsives définissant cette grande religion n'importe comment et à la va-vite ne servent plus a rien même devant l'ouverture occidentale et ne sont reçues erronément que par les convaincus d'avance.

Par ailleurs, le discours de ces intellectuels est souvent entretenu par certaines vedettes médiatiques qui peinent à montrer la neutralité de leur opinion, pourtant marquée d’un caractère discriminatoire. C’est à travers la médiatisation spectaculaire d’un certain nombre d’évènements révélateurs d’un islamisme intégriste que ce type d’opinion chercherait sa légitimité et gagnerait à influencer l’opinion publique. Il convient de se questionner sur les enjeux des discours véhiculés par ces acteurs. Notamment, la place qu’occupe  l’islamophobie orientée dans des quotidiens traditionnels et la réception que font de l’islamophobie orientée et médiatique des personnes se définissant comme intellectuelles

Cette lecture interprétative seulement chrétienne sur la vie du prophète paix et salut sur lui, n’intéresse que les pensées détractrices. Sinon, tout le monde sait qu’à la Mecque le plus grand des prophètes a démontré la grandeur et la puissance de l'homme dans l'écoute du prochain et à la patience absolue.

Aujourd’hui et dans des débats électorales, des Français encore naïfs se laissent effectivement guider par une présentation trompeuse de l'islam et des traductions du Qur’an spécialement étudiées pour leur créer l'amalgame et les amener à combattre l'islam. Ces individus manquant souvent de repères sont des victimes idéales pour ce genre d'endoctrinement par l'idéologie anti-islamique. Mais je pense que de nos jours les occidentaux les plus avertis sont fatigués par ces manœuvres mesquines, et par la grâce divine le sens de la vérité a eu le dessus dans leurs esprits.

L’histoire est claire et ne prête a aucune équivoque sur les conquêtes musulmanes qui de nos jours se sachent qu'elles n'ont jamais été faites a l'encontre des peuples épris de paix et de liberté mais plutôt avec l'aide de ces peuples qui ne supportaient plus le pouvoir byzantin qui s'attaquait sans cesse également a la nouvelle religion de paix. Ce même pouvoir qui menaçait aussi bien le monde entier que le monde musulman qui venait de naître. L'histoire nous révèle que comme d'habitude Rome chrétienne a été de tout temps le précurseur de toutes les batailles. Les musulmans par leurs vertus n'ont fait que déplacer Rome de partout ou elle malmenait les peuples pour leurs donner enfin un espoir de paix et de sérénité et également pour se prémunir du danger Romain qui ne ratait concrètement aucune occasion pour se faire valoir.

Reconnaître qu'un territoire d'une autre religion est occupé dans un simple laps de temps pour perdurer infiniment dans le temps pendant presque quinze siècles c'est reconnaître sans le vouloir la vraie conquête des cœurs. En fait le millier d'arabes n'ont fait qu'amener la flamme de l'Amour Islamique en Afrique du Nord et en Asie. Ce sont les berbères par la suite qui ont pris la relève et sont parti libérer l'Espagne de Rome sous le Commandement de Tarik Ibn Ziad que tout le monde connait et qui est un grand berbère. On ne peut jamais rester dans un pays plus d'un millénaire par la grâce de l'épée.

Nous pourrions conclure que l’Islam en réalité préserve, garantit et sacralise la liberté de conscience. Il est absolument interdit de spolier cette liberté, et ce, conformément aux textes coraniques explicites à ce sujet: «Nulle contrainte en religion! Car le bon chemin s’est distingué de l’égarement.» 

Mais en aucun cas cette liberté ne doit être orienté contre l'Islam en menaçant la vie des croyants. Et personne ne pourra dire un traître mot car liberté de choix oblige. Qui pourrait s'opposer a leurs libertés. C'est donc l'Islam dans sa grandeur qui a totalement libéré les âmes dans les choix des croyances mais qui imposa a cette liberté des restrictions pour justement maintenir également la liberté des croyances et des religionspour transmettre son message « l’amour pour tous, la haine pour personne ».

De nos jours surtout, les médias occidentaux tentent de donner des explications erronées sur l'Islam pour jeter les doutes sur la croyance musulmane, ainsi d’un coté l'Islam est taché et d'un autre les occidentaux avec leur pseudo laïcité apparaîtront comme les sauveurs du monde et les plus bienveillants. Le plus grave dans tout cela c'est que les politiciens des pays nantis savent parfaitement cela et laissent persister ce drame en l'utilisant car ils saisissent clairement que les musulmans seront les seuls et les plus touchés par un fanatisme qu'ils soutiennent eux-mêmes au sein de la société musulmane. 

Islam des Lumières : Le visage et les yeux, le reflet de l'âme !


 L'Islam par le moyen de son Qur’an, a doté le croyant d'une série de moyens qui lui permettent d’être continuellement en quête de la vérité et progresser sur le chemin du savoir. Cependant, au fur et à mesure, le chemin de cette progression fait découvrir des connaissances qui sont comme le rayon d'un cercle, nous ne l'avons faites nous-mêmes et qu'ils perceront certains des mystères de la création. Nous sommes, cependant, dans l'obligation, en dépit de notre vanité, de reconnaître que nous ne savons rien à cet égard et que le secret de la création nous échappe.

Pourquoi nous éloignons-nous autant de l’Islam?

Nous ne nous connaissons pas l’être humain. Certes, nous ne savons rien et c'est pour cela que nous sommes contraints de mettre sur toute chose qui nous échappe un point d'interrogation et que nous passons à autre chose.

C’est justement sur cette supposition à tort appliquée, que les musulmans vivent aujourd’hui. On a voulu faire de l’islam une réplique du judaïsme et du christianisme, alors justement qu’il s’en distingue. C’est pour cela qu’il a été une révolution en son temps; un progrès immense salué par tous les esprits libres pour de nouvelles connaissances.

Aujourd’hui, alors que l’Occident honore grâce à la démocratie les valeurs déjà distinguées par l’Islam, les ennemis de la démocratie en pays musulman, notamment à l’intérieur des pays abonnés à la dictature soutenue de l’extérieur, font tout pour réintroduire en Islam ce que l’Occident a rejeté, notamment sa tradition judéo-chrétienne.

La première des conditions dans la recherche de la vérité et la compréhension des choses c'est que le croyant évite l'esprit de contradiction et la discussion futile en voulant utiliser les propos d'autrui, à seule fin de mener une rhétorique négative, car dans ce cas on ne cherche pas la vérité pour la vérité, mais plutôt pour faire montre de son habilité oratoire et de sa science à travers la discussion.

Pour parvenir à la connaissance de soi, le musulman doit d'abord découvrir la vérité ses choses, dans leurs aspects véritables, et y croire totalement. Ainsi, il  parviendra à la réalité des choses, non pas par la critique injuste et acerbe, la fausse dialectique, mais en sachant que notre objectif principal de la recherche de la vérité c'est que ces choses comprises dans leur aspect global sans en connaitre les éléments constitutifs, les qualités et défauts, doivent être prises hors de leur contexte et étudié isolément.

La connaissance de soi cultive chez le musulman l'esprit de sacrifice, de loyauté et toutes les qualités éventuelles, issues de l'équilibre moral.

Nous avons vu que l'Islam ne considère pas que l'amour de soi, soit un sentiment destructeur et passionnel. Il considère plutôt que celui qui est sous l'emprise absolue de ce sentiment, sans contrôle ni orientation, ébranlera par la même le fondement de son bonheur, ce qui le conduira à mener une existence terne et ennuyeuse.

Nous avons vu que l'Islam considère l'amour de soi, à condition qu'il soit modéré et qu'il soit loin de toute déviation et de toute influence néfaste sur l'entendement et la raison. Le musulman qui accède à la vérité avec une pensée ouverte et une vision claire. En définitive, l'amour de soi ne signifie pas qu'il faille se soumettre aux tentations et aux instincts vils qui condamnent l'homme à une éternité de tortures et de douleurs, car cet amour-là n'est pas compatible avec la valeur réelle du musulman.

Nous savons que l'Islam commence par déverser l'amour divin sur les âmes et les esprits des gens. Il recommande aux vrais croyants de privilégier l'amour du Créateur sur toute autre chose, car l'amour est au centre de la vie humaine. Dieu est l'Unique pourvoyeur de toutes les énergies et qualités que l'homme porte en lui. Par l'affection et l'intérêt qu'Il nous manifeste, nul autre n'est plus digne que lui de notre dévotion et de notre amour. Cette vérité nous apparaît dans toute sa dimension lorsque le musulman pratique sa religion..

Après l'amour de Dieu, il est celui que le Créateur a insufflé chez nous pour nos semblables. Ceux que Dieu a créés d'une « même âme » doivent s'aimer les uns les autres et partager des sentiments nobles, car ils sont frères non seulement du fait de leur origine et des intérêts qu'ils partagent, mais ils sont frères en Islam. Cet Islam qui rappelle la vérité de cette parenté qui frappe la conscience et l'âme et pousse les hommes à s'aimer véritablement, à s'aimer profondément. Ainsi, l'Islam a fait place, dans l'esprit du croyant, à un amour de soi équilibré et harmonieux qui mène à se libérer des liens de la vanité et de l'arrogance, sans excès ni abus.

La grandeur est un attribut exclusif de Dieu le Créateur qui n'est jamais dans le besoin, mais que toutes les créatures sollicitent: « Ô vous les hommes, vous êtes les pauvres envers Dieu et Dieu est le Riche et le Clément ». (Qur’an 35/15)

La vanité et l'orgueil représentent une déviation par rapport aux desseins divins. Le Coran éveille l'attention du vaniteux en lui montrant sa faiblesse, le mettant en garde contre l'arrogance et les illusions trompeuses et dangereuses: « Et ne foule pas la terre avec orgueil: non, tu ne sauras jamais déchirer la terre et tu ne pourras jamais être haut comme la montagne ».(Qur’an 17/37)

L'Islam croit qu'il est possible d'atteindre les objectifs mêmes d'une existence heureuse par l'entraide, les relations amicales et l'affection que porte chaque être humain et qu'il ressent pour ses semblables. Il appelle ainsi les gens à ces sentiments nobles et à bâtir leurs relations sur la base de la fraternité et de la concorde.

Il a été rapporté que le Califat 'Uthman Ibn Affan a dit :

"Personne ne cache le mal en lui même, au contraire Allah le rend apparent à travers son visage et ses paroles ".

Ainsi, le musulman a conscience que l'Islam, par sa lumière, lui montre la voie à suivre :

Dieu a dit: -"Tu discerneras la réprobation sur les visages de ceux qui ont mécru". (Qur’an 22/72).

-"Leurs visages sont marqués par la trace laissée par la prosternation". (Qur’an 48/29).

-"Et lorsqu'on annonce à l'un d'eux une fille, son visage s'assombrit et une rage profonde [l'envahit]". (Qur’an 16/58).

-"Son visage s'assombrit d'un chagrin profond". (Qur’an 43/17)

Les versets coraniques ci-dessus font clairement allusion il y a quatorze siècles, au fait que le visage de l’homme exprime ses sensations profondes; comme le chagrin, la tristesse, le regret, la déception, la colère, la satisfaction, le bonheur, etc.

Le Qur’an a cité une vérité très importante, c’est que le visage est le miroir de l’âme, et que l’on peut deviner l’état d’âme de son compagnon en regardant son visage.

Toute personne peut donner à son visage l’expression qu’elle veut. En effet, les traits de notre visage commencent à se dessiner suivant nos émotions, et avec l’âge, il prend une image adéquate à nos sentiments. Le visage exprime aussi les habitudes les plus secrètes d’une personne, l’état du corps et sa prédisposition aux maladies corporelles et mentales. En effet, l’allure des muscles, de la peau et de la chevelure est liée à l’alimentation des tissus qui dépendent des activités des systèmes endocriniens, nerveux et digestifs.

Ainsi, le visage est un récapitulatif de tout l’organisme car il reflète, à la fois, l’état fonctionnel de la glande thyroïde, de l’estomac, des intestins, du système nerveux, etc… Les études anatomiques et médicales ont montré que le visage contenait 55 muscles dont on se sert involontairement pour exprimer nos émotions. Ces muscles sont entourés de nerfs les reliant au cerveau, et c’est à travers le cerveau que ces muscles prennent contact avec tout l’organisme.

Ainsi, le visage reflète tout ce qu’on ressent. Par exemple, la douleur, le repos, et le bonheur se manifestent sur le visage. Ainsi le visage est la seule partie du corps humain qui trahit la personne en dévoilant son état d’âme. Nul autre organe ne saurait révéler ce que l’on est. Les savants affirment qu’il est possible de deviner le caractère d’un individu à travers les rides de son visage : ainsi, les gens souriants ont des rides autour des yeux. Les gens déterminés ont l’habitude de se serrer les lèvres.

Dès qu’il s’anime, le visage parle. Mais ce langage sommaire touche deux limites : la trahison et le malentendu. La trahison parce que le corps peut laisser apparaître des sentiments ou des intentions que l’auteur aurait souhaité masquer, comme une rougeur ou un tremblement. Le malentendu parce que pour chaque personne, en fonction de sa culture, un geste peut porter une signification singulière qu’un autre peut mal interpréter.

Les gens pessimistes ont des rides profondes entre les deux yeux. Les gens dont le travail oblige à abaisser la tête ont des rides au niveau du cou et des plis sous le menton. Les orateurs, les avocats et les acteurs ont tous au milieu des joues des lignes profondes qui arrivent jusqu’au menton.

L’expression le visage est le miroir de l’âme semble avoir une base scientifique réelle puisqu’il a été démontré que la forme du visage dépend de l’état des muscles lisses qui s’étendent sous la couche épidermique, l’état de ces muscles suit la pensée, c’est à travers lui que les autres peuvent détecter l’état d’âme en interrogeant le visage.

On ne savait pas à quel point le Qur’an était un miracle, jusqu’à ce que les recherches médicales et psychologiques fassent une avance cruciale en finissant par démontrer que le Qur'an reste la Vérité.

La France, cet obscur donneur de leçons en déclin !

On ne cesse de nous balancer les mêmes histoires sur la colonisation et la guerre d’Algérie, c’est toujours avec un grand plaisir que je vois parfois la vérité historique refaire surface au milieu des pires publications nauséabondes sur les questions clés intéressant le sort d’un peuple opprimé et dominé, avec en fond la dépossession des meilleures terres,  la spoliation des ressources naturelles, la dévalorisation de la personnalité autochtone, l’ignorance totale de l’enseignement et de la culture arabe, le système colonial français a fabriqué une Algérie conforme à ses mythes, c'est-à-dire dépourvu d’idiologie et de tous sentiments nationalistes, ostensible ou cachée, de l’Algérien.

La propagande médiatique se nourrit de la certitude du colonisateur d’être supérieur, le mépris envers le colonisé à qui l’on prétend apporter la civilisation, le silence de la presse, l’usage des euphémismes comme «Evénement» alors qu’il agit d’une «Guerre» ou encore «Rebelles» alors qu’il s’agit de «Résistants».

Ainsi  le combattant Algérien est un hors-la-loi, c’est à dire un être qui, à cause de ses crimes, est déchu de tous ses droits, pourquoi s’obliger encore à respecter en lui l’homme ?

Puisque la population arabe est plus ou moins complice, que parfois elle se solidarise avec les rebelles, pourquoi lui accorder plus d’égards ?

Nous serons seuls, avec notre dignité et notre pureté, la souillure de l’histoire écrite par les tourmenteurs et les tortionnaires ne nous aura pas atteint car arriver à penser que la rébellion est le crime d’une race tarée, collectivement responsable, il n’y a qu’un pas à franchir dans l’obscurantisme. Ainsi, toute une gamme de sentiments a traduit cette perte de sens de l’homme colonisateur. Les griefs sont toujours en sens unique. C’est bien le principe de la colonisation qui est en cause.

De quel droit un peuple peut-il s’arroger le droit de soumettre un autre peuple ? : Aucun.

Ça fait bien drôle de lire ça : on se croit tout permis).

«Tous les bougnouls sont de pauvres types, récalcitrants au progrès, sales, paresseux et par surcroît fourbes et menteurs ».

«Pas un seul ne mérite notre confiance, ils ne comprennent que la manière forte : c’est une sale race ».

«Tous les bougnouls qui ne nous dénoncent pas les fellagha sont complices et criminels comme eux»…  «Plus on en tue, mieux c’est… Autant de fellagha en moins ».

Dès lors, comment aurions-nous pu réagir à l’énoncé de cet ignominieux appel d’une réputation sulfureuse !!!!!

On ne cesse de mettre en exergue les atrocités commises par les membres de la résistance Algérienne, tant envers les européens (civils et militaires) que la population musulmane, on sait que le FLN doit sa création à la suite d’un sentiment nationaliste des  Algériens, qui avait nettement compris que seule la résistance et la lutte armée contre le colonialisme peut conduire à renvoyer tous les usurpateurs, les pilleurs en casquette de colons et l’Armée coloniale hors de l’Algérie comme les Français l’avait fait pour les allemands !

Si les résistants français ont commis des assassinats, pendant l’épuration, cela reste des résistant qui se battaient pour la bonne cause et ne tuaient que des méchants, ils en étaient de même pour les combattant de l’ALN ?

C’est ainsi dans une guerre de libération on  résiste et on tue l’occupant et tous ses composante !

C’est dans ce contexte qu’éclatent, dans la nuit du 31 octobre au 1er novembre 1954, sur le territoire algérien, une trentaine d’attentats. Le déclenchement de cette insurrection est accompagné de la diffusion d’un manifeste qui, sous forme de tract, apprend la naissance du Front de libération nationale (FLN) avec sa composante Armée De Libération National (ALN) donc l’objectif de son programme, reste l’indépendance de l’Algérie. Bien que pour la grande majorité des Français, «l’Algérie c’est la France», comme l’a affirmé le 5 novembre 1954 le ministre de l’intérieur Français et l’action de répression du gouvernement envers les rebelles, est largement approuvée par l’opinion publique française.

Que doit penser l'historien d’une Algérie libérée par ses patriotes. ?

Je peux le redire encore une fois l’agression militaire de la France sur l’Algérie est un crime et une honte absolue, la mise en servitude du peuple algérien est un crime. Rien ne peut le justifier. Rien ne peut l’absoudre.

On ne cesse de nous dire que l’Algérie n’était pas riche, elle a coûté très cher à la France. Cette vision rétrospective est certainement fausse, les premières études géologiques et la reconnaissance des richesses naturelles du sol furent d’abord effectuées par des officiers Français en 1840-1842.

Le colonisateur a pillé les richesses et les recettes de l’Etat algérien. Les chiffres des fonds et des trésors pillés sont mentionnés dans les Archives en France. Il s’agit de cinq bateaux à pleine charge qui ont été acheminés vers la France au cours des premiers mois de l’occupation.

Dès l’origine, le pillage des matières premières coloniales et la commercialisation de produits transformés étaient au cœur du processus colonial pour rester une priorité de l’État français, comme l’affirmait en ces termes de Gaulle à propos du Sahara : « Notre ligne de conduite, c’est celle qui sauvegarde nos intérêts et qui tient compte des réalités. Quels sont nos intérêts ? Nos intérêts, c’est la libre exploitation du pétrole et du gaz que nous avons découvert et que nous découvririons ».

Dans une interview accordée à la presse après son départ de l’Elysée, Jacques Chirac a reconnu que les richesses de l’Afrique ont été pillées y compris par son pays et il a demandé qu’on rende aux Africains ce qu’on leur a pris. Par ailleurs la France est fortement accusée d’appauvrir l’Afrique et sans les richesses de l’Afrique, la France serait un pays pauvre. Donc le véritable problèmes des Africains s’est la France. Il faut rompre avec cet ancien colonisateur et exiger des comptes.

On ne cesse de nous dire des Bienfaits de la Colonisation,

Parler des bienfaits de la colonisation est d’une indécence totale c’est une insulte à la morale, mais seulement il faut juste peu pour s’apercevoir que les français n’ont aucune règle de bonne conduite et qu’ils brillent par leur arrogance, lâches, pleutres, revanchards,  conquérants et outranciers mais cupides, sont là quelques trais essentiels qui caractérisent une trop grande parti de Français.

C’est l’Histoire, rien ne sert de nier ! Rien ne sert non plus de vouloir occulter ces faits en voulant les masquer par la situation car ça n’amoindrit en rien la gravité de ces actes de colonisation commis en leur temps au nom d’une mission civilisatrice.

La colonisation c’étaient les enfumades et c’étaient les massacres du 8 mai 1945.

Des faits ont été rapportés prouvant l’état d’esprit refusant la mission civilisatrice de la population musulmane:

-Un instituteur de la région de Bougie donne à ses élèves un modèle d’écriture : " Je suis français, la France est ma patrie." Les enfants musulmans écrivent : "Je suis algérien, l’Algérie est ma patrie."

-Un autre instituteur fait un cours sur l’Empire romain. Il parle des esclaves. "Comme nous", crie un élève.

Quelle que soit l’oeuvre française, on ne peut généreusement et moralement accoler les mots bienfait et colonisation. C’est une malhonnêteté. C’est l’agresseur qui veut se justifier en toute mauvaise foi et avec l’insistance lourde du salaud.

Ils ont la mémoire sélective et leur devise est jamais coupable ce sont les autres !!!!!

La colonisation est un crime et les crimes n’ont aucun bienfait. Qu’il s’agisse de viol, d’esclavage ou de génocide, le déni de vérité arrête le temps et prolonge la souffrance des victimes, je n’invente rien.

Ce n’est pas à la France de dire si c’est bien ou non.

Elle est très  mal placée pour ça. !!!!!!

On ne cesse de nous dire qu’il n’y pas eu de déportation de populations, alors que 40 % de la population algérienne, enfants et vieillards compris, a été, d’une manière ou d’une autre, enfermée dans des camps de regroupement. Les regroupements de population ne sont pas un simple épisode de la guerre d’Algérie, même s’il s’est d’abord agi de couper l’ALN et le FLN de ses bases.

Avec ce processus bien souvent inhumain, la France coloniale a fait subir à ce pays une forme de barbarie au nom d’une civilisation  universaliste  qu’elle prétendait apporter.

On ne cesse de nous dire qu’il n’y a pas eu de génocide en Algérie, et certains historiens (Français) s’opposent et prétendent qu’il n’y a pas de trace d’holocauste sur la population indigène.

Quel est donc le seuil de victimes indigènes requis, pour qu’un massacre mérite la qualification de génocide ou que des émeutes méritent la qualification de crime de guerre.

Un génocide est un génocide, la définition du dictionnaire la qualifie de crime contre l’humanité tendant à la destruction de tout ou partie d’un groupe national, ethnique, racial ou religieux» (Larousse, 2005),

Faut-il encore une fois rappeler à ces historiens la détermination du pouvoir politique et militaire français de vouloir exterminer un peuple, par la mise en place et l’exécution d’une politique de massacres, d’enfumades, et de déportation.

Les écrits des militaires de l’époque, Bugeaud, L.F. de Montagnac, St Arnaud, Cavaignac, Pélissier, Lamoricière, Bigeard, Massu, Aussaresses en témoignent de leur exploit digne du Nazisme.

Les massacres du 8 mai : Il s’agit là du pire et du plus horrible massacre commis par la France en une seule journée dans 03 villes différentes. Des centaines de milliers d’Algériens sont sortis, le 8 mai 1945, pour célébrer la fin de la deuxième guerre mondiale (1939-1945) et pour réclamer à la France d’honorer son engagement consistant à la décolonisation et à l’indépendance de l’Algérie.

Néanmoins, les forces coloniales ont répondus par armes et aux balles réelles, massacrant pas moins de 45 mille civils désarmés ; une illustration des plus éloquentes, s’il en est, des crimes contre l’humanité.

On ne cesse de nous dire qu’il n’y a pas de croisade contre l’Islam dans la colonisation française ?

Pourtant L’Église chrétienne se positionne comme un soutien à l’ordre colonial ce qui lui permet de faciliter l’installation christianisme en terre musulmane, des ordres ecclésiastiques  prennent pied en Algérie dans les années 1838, des jésuites (soldats de Dieu) débarquent et des provocations ont eu lieu, l’une des premières mesures est la transformation des édifices religieux musulmans en lieux de cultes chrétiens tel que cela a été le cas pour l’Eglise Saint-Philippe, devenue cathédrale en 1839, mais qui était initialement la Mosquée Ketchoua (décembre 1832) a servi de cadre conceptuel. L’autorité coloniale s’est emparée de 60 mosquées pour  faire servir de cantonnement militaire et 10 d'entre elles ont été complètement rasées.

Le projet colonial se précisant, le choix des autorités ecclésiastiques semblent vouloir implicitement faire de l’Algérie une terre de mission, Les religieux et les religieuses s’étaient donnés comme leur seul but, combattre la religion et la croyance de la population du pays, Ces velléités évangélisatrices se retrouvent chez certains prêtres, dans les années 1840, ces derniers sont laissés libre de mener la mission, mais ne rencontre pas le succès escompté. Dès les années 1880, la mission auprès des musulmans est analysée comme un échec.

La mainmise coloniale maintient les spoliations des biens religieux musulmans qui seront  transférés au profit de l’Église catholique ou de l’État, comme les mausolées de saints musulmans, les cimetières ou les mosquées annexés par les autorités coloniales (religieuses ou civiles) en vue de favoriser l’Église catholique qui semble être un outil de la colonisation pour transformer le paysage de l’Algérie: églises, chapelles, couvents se multiplient au rythme de la conquête et apparaissent comme des symboles de la présence française. 

Être chrétien n’est pas suffisant pour quitter le statut d’indigène, les voies de la citoyenneté sont fermes car la dimension coloniale l’empêche et met entre parenthèse la question de la conversion.  .

Les aumôniers dans l’armée française partagés entre des convictions religieuses et le sentiment de la supériorité innée des Français, forts ignorant de l’islam de l’adversaire, restent écartelés entre la fidélité à leur Église et celle qu’ils doivent à l’armée, à l’État. Histoire  qui à l’époque ébranla tant de consciences religieuses et militaires. Trop souvent, les aumôniers comprennent la nécessité de pareille guerre, en constatant que ce sont les rebelles qui ont commencé.

Jusqu’à 120 prêtres, 50 pasteurs et 20 rabbins ont servi avec ce statut dans l’armée française pendant la guerre d’Algérie. L’abbé Jean Badré, directeur de l’aumônerie catholique de l’armée de terre, qui pensait encore à l’avenir d’une Algérie française, explique que les religieux ont à remplir dans l’Armée une mission d’Église.

Quant au cardinal Feltin, chef spirituel des aumôniers, estime que le rôle des militaires consiste à  arrêter les agents de la rébellion, et que la guerre en Algérie lui paraît légitime, car elle est menée par une autorité régulière surtout que juridiquement, il n’y a pas un état de guerre, mais juste une petite révolte contre l’ordre public, fomentée par les quelques rebelles , en constatant que ce sont les rebelles qui ont commencé.

Un autre Père Delarue appelle l’autorité coloniale à trouver des moyens efficaces même s’ils sont inhabituels  et à être sans faiblesse devant l’adversaire à combattre,

«Ce sont des bandits, des  terroristes, des primitifs, auxquels il faut appliquer des châtiments sévères dont l’Ancien Testament donne déjà l’exemple» disait-il.

Le Père Delarue justifie donc les moyens par l’Ancien Testament et se fonde sur une morale de l’efficacité.

Une tendance fondamentaliste de la part de certains religieux cherche à promouvoir une croisade contre l’Islam et le musulman, en justifiant la torture, la lutte contre-révolutionnaire et la défense de la civilisation chrétienne. Ces thèmes rencontrent l’intérêt des cadres de l’armée qui recommandent que tout est très simple, l’indigène n’a qu’à adopter notre mode de vie, notre langue et nos Coutumes.

Et apparemment les colonisés n’ont jamais adhéré  à ces pratiques et en ce sens, il est évident, que la France gère par l’obligation forcé l’histoire de ses actes du passé !

Aussi avant de conclure, il est nécessaire pour moi, de citer quelques voix qui s’élevèrent à contre-courant, celles de quelques prêtres de la Mission de France entre autres le Père Davezies prêtre ouvrier, ardent militant de la cause juste, qui fait partie de ces religieux qui se sont engagés corps et âme dans le combat anticolonial jusqu'à fonder, avec le philosophe Francis Jeanson, des réseaux de soutien aux résistants Algériens

En hommage à tous ces religieux qui avaient optés à aider les Algériens à se libérer d’une oppression coloniale  pour tous les Algériens qui retrouvent l’indépendance de leur pays, Père Davezies, Francis Jeanson, Urvoas, Jean-Claude Barthez, Bernard Boudouresques, Christien Corre, Jobic Kerlan, Pierre Mamet, Jean Urvoas et bien d’autres Hommes et Femmes  resteront les  meilleurs des Français, les meilleurs des Algériens.

Les deux pays l’Algérie et la France ne sont pas à juger sur un même pied d’égalité, l’un est agresseur et l’autre agressé, l’un est offenseur et l’autre défenseur, enfin si une édification et un avenir meilleur dans les relations entre les deux pays, il faudrait peut être savoir à se faire pardonner l’un l’autre et à dialoguer sur un même pied d’égalité, nous devrions connaître notre histoire, nos cultures, notre identité, nous serons forts, c'est un choix sociétal auquel nous devons faire face c'est-à-dire le voeu d’une vie meilleure.

Aujourd’hui la France pays en ruine, pays surendetté, (Dette par habitant 2020=44.296€) ne devrait en aucun cas intéressé l’Algérie, une absence de relation suffirait pour exiger un examen de conscience car pour le peuple Algérien la question mémorielle reste le point culminant dans les relations Algéro-Française, lorsque on sait que le  système colonial étant par essence raciste, il ne pouvait que conduire à l’extinction de la culture du colonisé, au vue d’une coopération versée à la résurgence de la nostalgie coloniale.

Conclusion faut-il encore rappeler que l’Algérie n’a jamais été industrialisé, les colonisés n’ont jamais été modernes. Ils ont juste volé ses richesses et dans toutes les colonies françaises, c'était comme ça.  

Pourtant, l’apurement du contentieux fera du côté des nostalgiques français la fin de la «Guerre d’Algérie» dans une histoire apaisée et que du côté, Algérien, de la même manière, dans l’apaisement, l’indépendance nationale accomplie.

Sans faire du fondamentalisme exemplatif, j’estime à juste titre que l'Histoire ne s'écrit pas à sens unique et c’est juste un simple constat !!!!!!

 

Sous double protectorat (Franco-sioniste), le Makhzen Marocain veut sa guerre !

Le dilettantisme marocain est impressionnant !! Bien sûr que c'est du théâtre, de deux côtés du régime du Makhzen marocain et de l’entité sioniste.

Que de précieux amis de l’Algérie.

Les saillies anti-Algérie sont toujours croustillantes et leur potentielle riposte contre le voisin de l’Est, est toujours dans la duplicité, il ne fait pas bon s’y fier, historiquement le Makhzen du Maroc l'a dans l'os. Il n’est pas rare, de nos jours, d’entendre ou de lire des affirmations péremptoires, des jugements définitifs sur ce que l’Algérie est ou censé être. Un  bruit qui s’élève contre l'Algérie, sauf que cette fois ci c’est le Makhzen marocain qui se fout le doigt dans l'oeil jusqu'au coude en espérant atteindre le peuple algérien et l’impressionner par des fourberies de Scapin et des alliances de diable contre nature.

En fait, un miséreux Makhzen propagandiste doublé d'être un sublime menteur qui s'échine à noircir et dénigrer l'Algérie et parallèlement à dresser des louanges au régime totalitaire et scélérat du royaume marocain sionisé qui comme son mentor israélien occupe militairement et colonise un territoire qui n'est pas et n'a jamais été le sien. Le makhzen est resté, fidèle à son image : incultivé, hermétique, sanguinaire et archaïque à souhait, mais franchement plus dangereux, que ses homologues israéliens qui se lancent carrément en croisades contre le reste du monde.

Pauvre tâche ! Par un simple Tweet le Makhzen s’est roulé dans la farine, le palais marocain avait pris ceci comme argent comptant, sûr de ses certitudes fantasmagoriques.

C'est la peur, justifiée ou non, toute folie a sa logique, prise dans un délire paranoïaque du palais caractérisé entre autres par la grandiosité et la démesure, la peur d'être détruit par l'autre colonisé (Les Sahraouis) qui se charge à le combattre et faute de garde-fous, ce combat peut conduire aussi à la neutralisation préventive et la déchéance du royaume Une monarchie qui essaye de se parer de toutes les vertus, qu’elle est loin d’avoir.

Le palais peut dire merci aux services Israéliens qui lui garantissent la sécurité par des conseillers d’un genre très spécial et qui lui fournissent à l’occasion du matériel d’écoute et de localisation lui permettant de neutraliser ses opposants trop curieux.

Israël n'apporte rien dans son panier de dot au Maroc. Pas de reconnaissance de la marocanité du Sahara occidental mais juste à tirer les ficelles de la division, la malveillance des Israéliens ne le cède qu'à leur imagination débordante qui s’est spécialisée dans la vente des outils de guerre.

Le Maroc est devenu un excellent vivier pour former des espions d’origine arabe bien nécessaires afin infiltrer d’autres populations plus hostiles à Israël.

Disons-le avec force, il n'y a que des Juifs Sionistes pour croire qu'ils sont Israéliens pour dire : « C'est les autres »! Qui sont les méchants, pas eux et tuer les enfants Arabes c'était, pour les plus déterminés ou fanatiques d'entre eux, sauvegarder l'avenir de la race juive!

Les nations et les frontières leur paraissent être des facteurs majeurs de guerre et de haine entre les peuples.

En effet la normalisation des relations Marocco-Israëliennes tantôt cachée, tantôt assumée, atteint son point culminant par la visite du ministre sioniste de la Défense, en vue d’une coopération en matière de renseignement et les achats d’une protection militaire, ce qui scandalise l’opinion marocaine. Par ailleurs dans une tentative de justifier cet acte diplomatique, les autorités du Makhzen ont ainsi mis en avant la particularité du Maroc dans ses relations avec Israël qui s’explique par la marocanité en Israël, et la judaïté du Royaume chérifien.

Cependant par cet argument, le  Makhzen du royaume reconnaît à Israël son caractère juif (au détriment de la population palestinienne sur le territoire) et son monopole de la représentation des Juifs du monde.

Ceci mon opinion personnel, un juif ne peut pas être Marocain, un juif reste toujours un juif quel que soit le pays ou il est installé, je donne l’exemple du polémiste Eric Zemmour, c’est un juif d’Algérie (Tiens chez nous disons toujours à propos de juifs d’Algérie mais jamais des juifs Algériens) qui s’attaque à tous ce qui est Algérien. Le Juif, à travers son histoire, a toujours incarné, la figure du pervers, du maudit, de l’errant, du vil, du cupide, du rusé. Cependant, il faut particularisé la transformation du juif Israélien en un Juif identitaire, faisant du Juif le spécimen d’une alliance divine.

On déteste le juif sioniste usurpateur, car il semble qu’il s’est accaparé frauduleusement du divin pour se réclamer d’Abraham et se légitime faire partie d’un peuple élu de Dieu et ne laisse aucune place aux autres.

Je sais que pour la majorité de la population Marocain c'est-à-dire le petit peuple, cette normalisation qu’a fait l’autorité du Makhzen n’a aucun sens politique, et ça reste dans l’histoire un mauvais exemple dans les sciences politique et un outrage à la volonté d’un peuple qui considère que la question palestinienne fait partie de son identité politique.

Cette histoire de relation avec le régime colonial sioniste, sent la mise en scène obscène, le makhzen du Maroc comme d’ailleurs tous les autres pays arabes qui se sont approchés d’Israël, ils n’auront aucun mot à dire, pire encore, ils doivent rester muet et attendre les ordres. Mais la victoire des palestiniens est imminente elle est juste retardée par la félonie des faux frères arabes à l’instar des monarchies moyenâgeuses qui font preuve d’un cynisme, d’une lâcheté et d’un indignité sans limite!

Dans cette relation de clientèle apparaît le juif marocain en mal d’histoire, cherchera à retrouver ses racines avec à la fois l’orgueil, du fait d’être reconnu comme faisant partie du paysage marocain et le sentiment d’un double privilège : celui de pouvoir se vanter d’avoir été sujet d’un roi et d’être reconnu par lui comme un fils fidèle, bien incapable de lui nuire. C’est comme si le fait d’être reconnu comme faisant partie d’un royaume. Il s’agissait de savoir si le fait d’avoir vécu une condition de citoyens de seconde zone (celui des mizrahim, le second Israël) aurait généré un discours de valorisation d’une mémoire marocaine et l’exhibition, en la mettant en scène, de la continuité des relations historiques  avec la monarchie marocaine.

Ainsi, ce qui fait le politique marocaine, en tant qu’elle sous-entend l’altérité, et voilà le niveau politique des marocains dans toute leur bassesse et vilénie.

Ne reste-t-il important à se demander si ces concitoyens d’origine marocaine ne font pas partie des sionistes et de son armée Tsahal ?

Bref le grand gagnant dans ce drôle d’histoire c’est Israël et le dindon de la farce semble bien être le monarque marocain qui semble être verser vers une vision d’un probable conflit armé avec le voisin algérien, très certainement sur conseils et recommandations du nouveau allié de taille Israël qui finira par réaliser son eschatologique à activer les braises de la guéguerre obsessionnelle contre l’Algérie.  C’est le Grand Jeu !!!

Mais tout ça est une forte raison pour condamner toute forme de sioniste en toute circonstance, parce que le sioniste est à plus grande partie lié avec la folie que n'importe quelle autre réaction humaine. Concepteur d’un des systèmes d’apartheid des plus exterminateurs du siècle par le génocide des enfants Palestiniens.

L’homme est encore un loup pour l’homme et la raison de haine, de mépris et d’incompréhension est encore au dessus de toutes les considérations. Je me contenterai de faire remarquer que la phraséologie des Franchouillards sur l’Algérie est assez bavarde et c’est encore une voix qui garde une certaine hostilité à son égard, ou encore à  éteindre sa lumière avec une complicité révoltante.

Rappel historique pour certains bouffons de sa majesté des machins bidule. Le Sahara Occidentale n’est pas marocain, car durant toute la période de la colonisation, les gouvernements espagnols successifs nièrent ainsi la nature politique de la résistance de la population sahraouie, et ce jusqu’à ce que cette dernière exprime des revendications dans un langage armé aux forces politiques. Ce n’est en effet qu’à partir de ce moment-là que la dimension véritablement de la résistance sahraouie fut véritablement reconnue par les autorités espagnoles. Toutefois il n’y a pas vraiment de rupture dans les modes d’action politique depuis les années 1970, date à partir de laquelle les Sahraouis, alors sous domination espagnole, commencèrent à s’organiser pour revendiquer leur droit à l’autodétermination.

Cependant lors du départ des espagnols, au terme d’un pacte commun tenu en secret un transfert passation de pouvoirs entre deux puissances colonisatrices, le régime du Makhzen  prend possession de cette terre au moyen d’une Marche Verte de 350.000 personnes venues des quatre coins du Maroc, une opération gigantesque sur le plan logistique, et ceci avait été un coup de maître pour revendiquer des territoires du sud, un coup monté, qui n’avait rien d’un élan populaire contrairement aux apparences, l’annexion du Sahara Occidental a fait l’objet d’un troc secret entre l’Espagne et le Maroc en échange le régime du Makhzen est tenu de s’abstenir de toute revendication sur les villes espagnoles de Ceuta et Melilla bénéficiant du statut de cités autonomes. Il convient de noter que l'ONU ne classe pas les enclaves de Ceuta et Melilla parmi les territoires occupés.

Ainsi apparaît l’appétit ambitieux de l’institution monarchique du Maroc par sa diplomatie de montagne russe, elle s’est tirée malheureusement une balle dans le pied. Ce royaume n’est qu’un épiphénomène qui ne deviendra que l’ombre de lui-même.

En conclusion, il est important de noter que le Peuple Algérien est hautement pacifique, aspire à la paix , ce peuple qui a surpris par son Hirak, tous les observateurs jusqu’alors persuadés de se trouver face à une société anesthésiée.

Les Algériens scandent toujours  «Un seul héros, le peuple algérien». L’Algérie serai une école démocratique qui reconfigurera la politique sur le long terme et son peuple avec son Hirak représente la réussite d'un très grand savoir par un peuple qui a l'expérience de la résistance.