Il faut arrêter de regarder l'histoire avec la morale occidentale d'aujourd'hui, Les manuels d'histoire n'ont jamais véritablement respecté la vérité historique, ce sont devenus aujourd'hui des outils de propagande, la transmission des savoirs a été remplacée par un discours vide de sens, le médiocre a supplanté la rigueur. Beaucoup d’événements dans l'histoire, sont déformées, dissimulées encore plus inventées ou pure fabulation.
L’esclavage a partout et de tout temps fait partit de la nature humaine, l’esclavage, est l’un des rares traits qui fussent communs à toutes les civilisations. Partout dans le monde, l’esclavage était une institution normale, aussi ordinaire qu’elle l’était dans la Grèce antique, chez les Byzantins, les Romain, les Perses, les chinois, Europe préindustrielle et l’Amérique et pratiquée sur une échelle massive. Bref tout le monde
La tromperie par la manipulation du récit historique de l'histoire des peuples, en occultant certains faits, en tronquant certaines vérités constitue à mes yeux une sorte de crime contre l'humanité. Une telle falsification de l’Histoire cherche évidemment à redonner du souffle au vieux mythe de l’esclavage Arabo-Musulmane naît dans les milieux suprématistes occidentaux ainsi que par des démagogues chrétiens et juifs. Ces derniers, ce faisant, instrumentalisent hypocritement la souffrance des victimes de la traite, et la mémoire qu’ils ont léguée à leurs descendants, au nom d’un discours de haine.
Elles permettent de déduire que la traite orientale a été organisée et dirigée par des esclavagistes musulmans et non par les juifs, comme ont voulu le faire accroire les prétendus historiens, en fait des falsificateurs. Cette traite négrière, organisée et dirigée par des esclavagistes juifs, n’avait atteint les sommets de la sauvagerie et de la barbarie bien plus qu’ont connues les traites négrières organisées par l’Occident. Il est grand temps de régler, à l’heure exacte, la pendule de l’histoire.
En somme, l’esclavagisme n’a rien de spécifiquement Arabo-Musulmane. Le fait que ce sont des Noirs d'Afrique qui capturaient d'autres Noirs d'Afrique, leurs frères puis qui les revendaient ensuite à des négriers européens, sans oublier de noter que l’activité de la communauté juive y était orientée essentiellement vers une pratique particulière dont elle avait le monopole: la traite des esclaves castrés par des médecins juifs avant expédition vers le Califat de Cordoue. Arrêtons de juger le passé à l’aune de la moralité d’aujourd’hui ! L'esclavage est une constante de l'Humanité...le vainqueur fait du vaincu son esclave...on trouve toujours une "bonne raison" pour soumettre le plus faible...
Oui il faut le dire et il faut le répéter : pendant plus de trois siècles, ce sont des chefs de tribus Noirs d'Afrique qui se sont grassement enrichis sans scrupule, sans vergogne et sans aucun remords grâce aux considérables bénéfices tirés du commerce de la traite avec les Européens... La plus grande ignominie de l'esclavage ne tient pas en l'asservissement du Noir d'Afrique, par un autre peuple, mais réside en les honteux, scandaleux et impardonnables profits colossaux que des chefs des tribus noirs ont réalisés grâce au juteux commerce de la traite en revendant à prix d'or d'autres hommes noirs à des Européens. lors qu’elle a été organisée et dirigée de bout en bout par des esclavagistes juifs avec un quasi-monopole des marchands juifs dans la castration des eunuques, dont Verdun serait le principal centre, et plus généralement dans le commerce des esclaves à destination du monde musulman, en particulier par l’intermédiaire d’al-Andalus. Ainsi donc le commerce d’esclaves slaves entre la Gaule carolingienne et al-Andalus serait un quasi-monopole des marchands juifs du fait de leur neutralité confessionnelle et des facilités que leur procurait leur réseau de communautés. Confirmée par le Kitâb al-masâlik wa-l-mamâlik du persan Ibn Khordadbeh composé entre 846 et 885. Dans le passage bien connu traitant des juifs « radhanites », l’auteur rapporte que le troisième itinéraire de ces marchands juifs, qui vendaient entre autre des esclaves et des eunuques (slaves), partait de Gaule et d’al-Andalus pour se rendre en Orient via le Maghreb. Que dire alors de la place de l’Occident et de ses centres de castration dans le commerce d’esclaves slaves?
A travers sa description des itinéraires empruntés par les marchands d’esclavages Lisbonne, Séville, Málaga, Valence, étaient des lieux d’arrivée régulière de contingents d’hommes et de femmes alimentant les marchés où les particuliers venaient s’approvisionner.
Pendant de longues siècles, les juifs seront les uniques intermédiaires commerciaux entre l’Orient et l’Occident, ils auraient été les premiers légitimé l’esclavage dans leur religion ; obsédés par l’argent, ils auraient également initié et organisé la « traite négrière », d’où ils auraient tiré cette immense fortune qui, comme chacun sait, leur permet de tirer les ficelles de la politique mondiale. Ils ont joué en revanche, comme en témoignent d'innombrables auteurs juifs, un rôle déterminant dans ce domaine, à tous les niveaux. Compte tenu de leur habileté incontestée en matière commerciale et financière, de leur grande mobilité, de leurs attaches communautaires et de leur expérience passée remontant aux premiers siècles du Moyen Age. Bien sûr, le rôle joué par Eglise catholique a été bien pire en particulier dans les colonies africaines. La différence, c'est que tout le monde a le droit d'en parler, alors que la question de la responsabilité juive est totalement taboue.
Mais il est délectable au passage de rappeler qu'il n'y a pas que les nations arabo-musulmanes et de se demander en toute innocence ce qu'il en était, au fait, de la possession d'esclaves au sein des autres communautés à travers le monde.
Cette orientation polémique mise sur la traite Arabo-Musulmane relève souvent d’une intention grave afin attiser une haine anti-islam en tant que tel, une injure à l’honnêteté, la bonne foi et la justice, La supercherie se donne des airs de noblesse dans le but de pourvoir les dénigrements et rééquilibrer la traite atlantique avec 12 Millions de personnes touchés contre probablement 17 Millions de personnes pour la traite Arabo-musulmane, une guerre de chiffre pour grossir l’une par rapport à l’autre. Une véritable tendance à minimiser ou occulter les formes d’esclavage pratiquées dans les pays du monde occidental. La haine masquée en mode dédiabolisation provisoire pour faire oublier ce qui intéresse le citoyen, la traite de l'esclavage pratiqué par le monde Occidental. Bientôt, ils diront c'est pas nous c'est les Arabo- musulmans.
J'aimerais faire comprendre en quoi l'islam, une religion qui prône le respect pour chaque être vivant sur cette terre quel qu'il soit, la dignité de chaque être, ainsi que son intégrité physique et psychologique peut-il tolérer l'esclavage pour ménager un peuple dont le droit de vie ou de mort sur un être humain est monnaie courante depuis des siècles ?
J'aime également faire des comparaisons entre le monde islamique et le monde chrétien, sans pour autant chercher à établir une hiérarchie qui pour moi n'a pas de sens.
C'est pourquoi, je me suis permis de citer Luc 12.47
« Le serviteur qui, ayant connu la volonté de son maître, n'a rien préparé et n'a pas agi selon sa volonté, sera battu d'un grand nombre de coups. »
Ainsi nous relevons que Jésus Christ donne sa vision des relations entre maître et esclave, vision s'inscrivant dans un cadre plus vaste qui celui des soumissions réciproques puisqu'il aborde aussi la punition réservée à cet esclave.. Ainsi on peut aisément voir que les valeurs humanistes n’étaient pas le coeur doctrinal de Jésus Christ et dans les évangiles Jésus n’a jamais formellement condamné l’esclavage mais on pourrait soutenir qu’il lui a plutôt été favorable comme on peut le voir dans la parabole citée plus haut.
Paul recommande aux esclaves d’obéir à leurs maîtres avec crainte et tremblement comme au Christ.
Pour le Père de l’Eglise saint Augustin, le fait que des hommes soient esclaves est une conséquence du péché des hommes, avoir des esclaves n’est ni contraires à la loi naturelle, ni à la loi Divine ni même à l’esprit de l’Évangile. Donc non seulement le Nouveau Testament n’est pas formel contre l’esclavage, mais ce qu’il dit est favorable à son principe. Par ailleurs le livre de l’Ecclésiastique nous donne le détail suivant ’’A l’esclave il faut comme à l’Ane ni plus ni moins de la pâture, des cordes et du travail’’. Quand, aujourd'hui, les nations chrétiennes oublient quel est exactement leur héritage, et d'où il vient, par choix culturel, cet héritage chrétien, renié et inconnu, se manifeste à leur insu sous une forme dénaturée des plus idolâtres. Pourtant L’Eglise catholique est devenue, au 15e siècle, la première institution mondiale à déclarer que «les vies noires ne comptent pas» au moyen d’une série de bulles papales, dont Dum Diversas, de Nicolas V, en 1452. Le texte accorde en effet aux rois d’Espagne et du Portugal «la permission complète et libre d’envahir, de rechercher, de capturer et de soumettre les Sarrasins et les païens et tous les autres incroyants et de réduire leurs personnes en servitude perpétuelle». Avec la bulle du pape Alexandre VI Inter Caetera (1493), l’Eglise a non seulement autorisé l’asservissement des Africains et la capture de terres non chrétiennes, mais aussi apporté sa caution morale au développement du commerce d’esclave transatlantique.
En résumé, il demeure donc établi que la Bible (Ancien et Nouveau Testament) fournissent au contraire un appui à l’esclavage. Ce qui est plus étonnant, la pratique n’est jamais dénoncée comme un mal en soi, et aucun des grands personnages de la Bible, à commencer par Jésus lui-même, ne s’est élevé contre l’esclavage d’une manière catégorique. La caution de l'esclavage sur une base raciale semble trouver son origine dans les écrits des Pères ou des Saints de l'Eglise comme Origène d'Alexandrie et Ephrem le Syrien. Ainsi l’église catholique n’a t-elle pas abusé sur une idéologie de légitimation de l’Esclavage des Africains et de leurs descendants d’un point de vue doctrinal, l’église a vulgarisé la fable de la descendance de Cham, fils maudit de Noé dans la Bible, condamné à n’être à jamais que l’esclave de l’esclave de ses frères, identifiant les Africains aux descendants de Cham…
Donc la pratique de l'esclavage par les Juifs est autorisée par la halakha, la loi juive, sous certaines conditions restrictives et l'on retrouve de fait au cours de l'histoire des Juifs impliqués dans le commerce des esclaves ou possédant des esclaves pour leur propre usage. Les Juifs auraient eu un poids prépondérant dans la traite atlantique, la finançant en grande partie sans trop insister sur la cruauté particulière des esclavagistes juifs.
La traite chrétienne a toujours duré malgré une lecture sélective du passé puisque plusieurs groupes chrétiens et juifs servaient de pourvoyeurs aux négriers. Avec l'extension de l'Empire chrétien en Europe, traite et esclavage restèrent florissants et des villes comme Marseille, Gêne ou Venise, offrant de grands marchés d'esclaves, alimentés par des raids terrestres et également maritimes.
L’esclavage n'est pas une réalité identique pour tous les temps, à l'époque carolingienne, les captifs slaves destinés aux marchés orientaux étaient quant à eux castrés à Verdun, principal marché d'étape de ce trafic, avant d'être exportés via Venise vers le moyen orient et l’extrême orient.
Côté musulman, l’esclavage a paru d’autant plus discret qu’on l’a présenté, à tort, comme moins meurtrier, moins capitaliste, plus calmant et plus paternaliste que la traite transatlantique. Les formes d'esclavage, du monde musulman, ont été sans doute particulières et peut-être peu raciales, en plus des classiques travaux domestiques, artisanaux ou agricoles, les esclaves peuvent devenir favoris, conseillers, chambellans, et surtout soldats, et surtout que l'asservissement des prisonniers de guerre n'était pas pratiqué par les premiers Califes.
Contrairement à la chrétienté, l’islam une religion égalitariste aurait réuni et assimilé les esclaves convertis au sein de la communauté des croyants, le caractère moins marqué des différenciations raciales a sans doute facilité les procédures d’assimilation, relativement à la traite européenne, très marquée par les clivages entre Noirs et Blancs.
Des esclaves devenus musulmans se virent ainsi confier d’importantes fonctions politiques et militaires. En Egypte, par exemple, la fameuse dynastie des mamelouks alla jusqu’à s’emparer du pouvoir au XIII° siècle. De son côté, Tarek Ibn Ziad, Berbère devenu Musulman, se fit remarquer par son habileté au combat et finit par conquérir l’Espagne.
Aujourd’hui le musulman est chargé de tous les maux de la Terre par ceux qui ont bien profité dans l’ensemble de ses apports â leur civilisation. Même si le côté sombre n’est pas à nier. Il a souvent privilégié ses intérêts économiques aux dépens de préceptes moraux universels. L’esclavage période douloureuse de l’histoire humaine est le fruit de plusieurs acteurs de l’humanité mais on retient surtout que celui de l’homme Musulman.
Terrible constat d’une différenciation entre les hommes malgré tous les préceptes religieux
Si l'on insiste autant sur l'esclavage des blancs, notamment par la propagande médiatique qui ne parle que d'elle, c'est avant tout par ethnocentrisme. Il faudrait savoir, soit l'on aborde l'histoire comme un processus universel et dans ce cas on a une approche anthropologique ou on explique que l'esclavage n'est qu'une extension de la propriété privé que toutes les sociétés à un certain stade de leur développement usent, et que l'esclavage systémique n'est que le résultat d'un degré de développement matériel supérieur de la civilisation concernée par rapport à celle qui ne font pas de l'esclavage un système aussi vaste.
De tout ce qui précède, il résulte ceci : prêter aux Arabo Musulmans un rôle majeur, quasi-monopolistique, dans la traite des esclaves est un mensonge historique. Ce mensonge repose sur une falsification caractérisée des archives et des travaux d’historiens sur la question, voire des plus élémentaires sources musulmanes qui ne sont prises en compte.
Non que les musulmans aient davantage fait preuve d’idéalisme que les autres mais par le fait qu’ils aient joué un rôle des plus réduits dans l’organisation de l’esclavage résulte sans doute, directement ou indirectement, des persécutions racistes. Dans cette logique, il est d’autant plus piquant de leur prêter, rétrospectivement, un monopole qui leur était interdit par l’Islam.
Comme je ne me lasserai jamais à le répéter, le Qur’an n'est pas un livre Scientifique mais plutôt un livre de "Signes". Ces signes invitent l'homme à réaliser le but de son existence sur la terre, et à vivre en harmonie avec la nature.
Si Dieu ne nous parlait pas de l'esclavage, comment devrait-Il alors faire pour nous obliger a l'abolir et affranchir la société de ce caractère inhumain et de cette absence totale de Morale. Si l’Islam est apparu alors que le monde était encore en pleine transition entre l’ère esclavagiste et l’ère féodale, alors nécessairement, certains mots font allusion à cette étape du développement historique afin d'y mettre fin. Il est important de signaler que l'islam a bien pris naissance dans un monde ou l'esclavage était un élément de société, et pourtant l’Islam accorda un statut aux esclaves différent de celui accordé précédemment par toutes les civilisations précédentes. L’Islam a commencé par exiger le bon traitement des esclaves les citant en ce sens, mais, par la grâce divine, cette grande religion ne s’arrêta pas là, car sa base fondamentale et suprême est l’égalité complète entre les hommes, ce qui signifie la libération complète de tous les hommes
Le Qur’an reste le seul livre religieux établissant un plan d'état et privé d'affranchissement systématique et progressif des esclaves, tout cela en sachant que l’Islam a clairement et catégoriquement interdit la pratique primitive de la capture d’un homme libre, pour le réduire à l’esclavage.