L’esclavage n’était pas le fondement du Monde Arabo-Musulman !!!! :

 « Ce que je crois vrai, c’est que l’esclavage chez les musulmans, est meilleur que ce qu’il est chez les autres, et le statut des esclaves en Orient est meilleur, que celui des domestiques en Europe, et les esclaves en Orient font partie de la famille (du maître), et ceux d’entre eux qui veulent recouvrer leur liberté, l’obtiennent dès qu’ils en manifestent le désir. Mais ils ne font pas usage de ce droit.» Gustave le Bon, La civilisation des Arabes, (p.450-460)

Il faut arrêter de regarder l'histoire avec la morale occidentale d'aujourd'hui, Les manuels d'histoire n'ont jamais véritablement respecté la vérité historique, ce sont devenus aujourd'hui des outils de propagande, la transmission des savoirs a été remplacée par un discours vide de sens, le médiocre a supplanté la rigueur. Beaucoup d’événements dans l'histoire, sont déformées, dissimulées encore plus inventées ou pure fabulation.

L’esclavage a partout et de tout temps fait partit de la nature humaine, l’esclavage, est l’un des rares traits qui fussent communs à toutes les civilisations. Partout dans le monde, l’esclavage était  une institution normale, aussi ordinaire qu’elle l’était dans la Grèce antique, chez les Byzantins, les Romain, les Perses, les chinois, Europe préindustrielle et l’Amérique et pratiquée sur une échelle massive.  Bref tout le monde

La tromperie par la manipulation du récit historique de l'histoire des peuples, en occultant certains faits, en tronquant certaines vérités constitue à mes yeux une sorte de crime contre l'humanité. Une telle falsification de l’Histoire cherche évidemment à redonner du souffle au vieux mythe de l’esclavage Arabo-Musulmane naît dans les milieux suprématistes occidentaux ainsi que par des démagogues chrétiens et juifs. Ces derniers, ce faisant, instrumentalisent hypocritement la souffrance des victimes de la traite, et la mémoire qu’ils ont léguée à leurs descendants, au nom d’un discours de haine.

Elles permettent de déduire que la traite orientale a été organisée et dirigée par des esclavagistes musulmans et non par les juifs, comme ont voulu le faire accroire les prétendus historiens, en fait des falsificateurs. Cette  traite  négrière, organisée et dirigée par des esclavagistes juifs, n’avait atteint les sommets de la sauvagerie et de la barbarie bien plus qu’ont connues les traites négrières organisées par l’Occident. Il est grand temps de régler, à l’heure exacte, la pendule de l’histoire.  

En somme, l’esclavagisme n’a rien de spécifiquement Arabo-Musulmane. Le fait que ce sont des Noirs d'Afrique qui capturaient d'autres Noirs d'Afrique, leurs frères puis qui les revendaient ensuite à des négriers européens, sans oublier de noter que l’activité de la communauté juive y était orientée essentiellement vers une pratique particulière dont elle avait le monopole: la traite des esclaves castrés par des médecins juifs avant expédition vers le Califat de Cordoue. Arrêtons de juger le passé à l’aune de la moralité d’aujourd’hui ! L'esclavage est une constante de l'Humanité...le vainqueur fait du vaincu son esclave...on trouve toujours une "bonne raison" pour soumettre le plus faible...

Oui il faut le dire et il faut le répéter : pendant plus de trois siècles, ce sont des chefs de tribus Noirs d'Afrique qui se sont grassement enrichis sans scrupule, sans vergogne et sans aucun remords grâce aux considérables bénéfices tirés du commerce de la traite avec les Européens... La plus grande ignominie de l'esclavage ne tient pas en l'asservissement du Noir d'Afrique, par un autre peuple, mais réside en les honteux, scandaleux et impardonnables profits colossaux que des chefs des tribus noirs ont réalisés grâce au juteux commerce de la traite en revendant à prix d'or d'autres hommes noirs à des Européens. lors qu’elle a été organisée et dirigée de bout en bout par des esclavagistes juifs avec un quasi-monopole des marchands juifs dans la castration des eunuques, dont Verdun serait le principal centre, et plus généralement dans le commerce des esclaves à destination du monde musulman, en particulier par l’intermédiaire d’al-Andalus. Ainsi donc le commerce d’esclaves slaves entre la Gaule carolingienne et al-Andalus serait un quasi-monopole des marchands juifs du fait de leur neutralité confessionnelle et des facilités que leur procurait leur réseau de communautés. Confirmée par le Kitâb al-masâlik wa-l-mamâlik du persan Ibn Khordadbeh composé entre 846 et 885. Dans le passage bien connu traitant des juifs « radhanites », l’auteur rapporte que le troisième itinéraire de ces marchands juifs, qui vendaient entre autre des esclaves et des eunuques (slaves), partait de Gaule et d’al-Andalus pour se rendre en Orient via le Maghreb. Que dire alors de la place de l’Occident et de ses centres de castration dans le commerce d’esclaves slaves?   

A travers sa description des itinéraires empruntés par les marchands d’esclavages Lisbonne, Séville, Málaga, Valence, étaient des lieux d’arrivée régulière de contingents d’hommes et de femmes alimentant les marchés où les particuliers venaient s’approvisionner.

Pendant de longues siècles, les juifs seront les uniques intermédiaires commerciaux entre l’Orient et l’Occident, ils auraient été les premiers légitimé l’esclavage dans leur religion ; obsédés par l’argent, ils auraient également initié et organisé la « traite négrière », d’où ils auraient tiré cette immense fortune qui, comme chacun sait, leur permet de tirer les ficelles de la politique mondiale. Ils ont joué en revanche, comme en témoignent d'innombrables auteurs juifs, un rôle déterminant dans ce domaine, à tous les niveaux. Compte tenu de leur habileté incontestée en matière commerciale et financière, de leur grande mobilité, de leurs attaches communautaires et de leur expérience passée remontant aux premiers siècles du Moyen Age. Bien sûr, le rôle joué par Eglise catholique a été bien pire  en particulier dans les colonies africaines. La différence, c'est que tout le monde a le droit d'en parler, alors que la question de la responsabilité juive est totalement taboue.

Mais il est délectable au passage de rappeler qu'il n'y a pas que les nations arabo-musulmanes et de se demander en toute innocence ce qu'il en était, au fait, de la possession d'esclaves au sein des autres communautés à travers le monde.

Cette orientation polémique mise sur la traite Arabo-Musulmane relève souvent d’une intention grave afin attiser une haine anti-islam en tant que tel, une injure à l’honnêteté, la bonne foi et la justice, La supercherie se donne des airs de noblesse dans le but de pourvoir les dénigrements et  rééquilibrer la traite atlantique avec 12 Millions de personnes touchés contre probablement 17 Millions de personnes pour la traite Arabo-musulmane, une guerre de chiffre pour grossir l’une par rapport à l’autre. Une véritable tendance à minimiser ou occulter les formes d’esclavage pratiquées dans les pays du monde occidental. La haine masquée en mode dédiabolisation provisoire pour faire oublier ce qui intéresse le citoyen, la traite de l'esclavage pratiqué par le monde Occidental. Bientôt, ils diront c'est pas nous c'est les Arabo- musulmans.

J'aimerais faire comprendre en quoi l'islam, une religion qui prône le respect pour chaque être vivant sur cette terre quel qu'il soit, la dignité de chaque être, ainsi que son intégrité physique et psychologique peut-il tolérer l'esclavage pour ménager un peuple dont le droit de vie ou de mort sur un être humain est monnaie courante depuis des siècles ?                                    

J'aime également faire des comparaisons entre le monde islamique et le monde chrétien, sans pour autant chercher à établir une hiérarchie qui pour moi n'a pas de sens.

C'est pourquoi, je me suis permis de citer Luc 12.47

« Le serviteur qui, ayant connu la volonté de son maître, n'a rien préparé et n'a pas agi selon sa volonté, sera battu d'un grand nombre de coups. »

Ainsi nous relevons que Jésus Christ donne sa vision des relations entre maître et esclave, vision s'inscrivant dans un cadre plus vaste qui celui des soumissions réciproques puisqu'il aborde aussi la punition réservée à cet esclave.. Ainsi on peut aisément voir que les valeurs humanistes n’étaient pas le coeur doctrinal de Jésus Christ et dans les évangiles Jésus n’a jamais formellement condamné l’esclavage mais on pourrait soutenir qu’il lui a plutôt été favorable comme on peut le voir dans la  parabole citée plus haut.

Paul recommande aux esclaves d’obéir à leurs maîtres avec crainte et tremblement comme au Christ.

Pour le Père de l’Eglise saint Augustin, le fait que des hommes soient esclaves est une conséquence du péché des hommes, avoir des esclaves  n’est ni contraires à la loi naturelle, ni à la loi Divine ni même à l’esprit de l’Évangile.  Donc non seulement le Nouveau Testament n’est pas formel contre l’esclavage, mais ce qu’il dit est favorable à son principe. Par ailleurs le livre de l’Ecclésiastique nous donne le détail suivant ’’A l’esclave il faut comme à l’Ane ni plus ni moins de la pâture, des cordes  et du travail’’. Quand, aujourd'hui, les nations chrétiennes oublient quel est exactement leur héritage, et d'où il vient, par choix culturel, cet héritage chrétien, renié et inconnu, se manifeste à leur insu sous une forme dénaturée des plus idolâtres. Pourtant L’Eglise catholique est devenue, au 15e siècle, la première institution mondiale à déclarer que «les vies noires ne comptent pas»  au moyen d’une série de bulles papales, dont Dum Diversas, de Nicolas V, en 1452. Le texte accorde en effet aux rois d’Espagne et du Portugal «la permission complète et libre d’envahir, de rechercher, de capturer et de soumettre les Sarrasins et les païens et tous les autres incroyants et de réduire leurs personnes en servitude perpétuelle». Avec la bulle du pape Alexandre VI Inter Caetera (1493), l’Eglise a non seulement autorisé l’asservissement des Africains et la capture de terres non chrétiennes, mais aussi apporté sa caution morale au développement du commerce d’esclave transatlantique.

 

En résumé, il demeure donc établi que la Bible (Ancien et Nouveau Testament) fournissent au contraire un appui à l’esclavage. Ce qui est plus étonnant, la pratique n’est jamais dénoncée comme un mal en soi, et aucun des grands personnages de la Bible, à commencer par Jésus lui-même, ne s’est élevé contre l’esclavage d’une manière catégorique. La caution de l'esclavage sur une base raciale semble trouver son origine dans les écrits des Pères ou des Saints de l'Eglise comme Origène d'Alexandrie et Ephrem le Syrien. Ainsi l’église catholique n’a t-elle pas abusé sur une idéologie de légitimation de l’Esclavage des Africains et de leurs descendants d’un point de vue doctrinal, l’église a vulgarisé la fable de la descendance de Cham, fils maudit de Noé dans la Bible, condamné à n’être à jamais que l’esclave de l’esclave de ses frères, identifiant les Africains aux descendants de Cham…

Donc la pratique de l'esclavage par les Juifs est autorisée par la halakha, la loi juive, sous certaines conditions restrictives et l'on retrouve de fait au cours de l'histoire des Juifs impliqués dans le commerce des esclaves ou possédant des esclaves pour leur propre usage. Les Juifs auraient eu un poids prépondérant dans la traite atlantique, la finançant en grande partie sans trop insister sur la cruauté particulière des esclavagistes juifs.

La traite chrétienne a toujours duré malgré une lecture sélective du passé puisque plusieurs groupes chrétiens et juifs servaient de pourvoyeurs aux négriers. Avec l'extension de l'Empire chrétien en Europe, traite et esclavage restèrent florissants et des villes comme Marseille, Gêne ou Venise, offrant de grands marchés d'esclaves, alimentés par des raids terrestres et également maritimes.

L’esclavage n'est pas une réalité identique pour tous les temps, à l'époque carolingienne, les captifs slaves destinés aux marchés orientaux étaient quant à eux castrés à Verdun, principal marché d'étape de ce trafic, avant d'être exportés via Venise vers le moyen orient et l’extrême orient.

Côté musulman, l’esclavage a paru d’autant plus discret qu’on l’a présenté, à tort, comme moins meurtrier, moins capitaliste, plus calmant et plus paternaliste que la traite transatlantique. Les formes d'esclavage, du monde musulman, ont été sans doute particulières et peut-être peu raciales, en plus des classiques travaux domestiques, artisanaux ou agricoles, les esclaves peuvent devenir favoris, conseillers, chambellans, et surtout soldats, et surtout que l'asservissement des prisonniers de guerre n'était pas pratiqué par les premiers Califes.

Contrairement à la chrétienté, l’islam une religion égalitariste aurait réuni et assimilé les esclaves convertis au sein de la communauté des croyants, le caractère moins marqué des différenciations raciales a sans doute facilité les procédures d’assimilation, relativement à la traite européenne, très marquée par les clivages entre Noirs et Blancs. 

Des esclaves devenus musulmans se virent ainsi confier d’importantes fonctions politiques et militaires. En Egypte, par exemple, la fameuse dynastie des mamelouks alla jusqu’à s’emparer du pouvoir au XIII° siècle. De son côté, Tarek Ibn Ziad, Berbère devenu Musulman, se fit remarquer par son habileté au combat et finit par conquérir l’Espagne.

Aujourd’hui le musulman est chargé de tous les maux de la Terre par ceux qui ont bien profité dans l’ensemble de ses apports â leur civilisation. Même si le côté sombre n’est pas à nier. Il a souvent privilégié ses intérêts économiques aux dépens de préceptes moraux universels. L’esclavage période douloureuse de l’histoire humaine est le fruit de plusieurs acteurs de l’humanité mais on retient surtout que celui de l’homme Musulman.

Terrible constat d’une différenciation entre les hommes malgré tous les préceptes religieux

Si l'on insiste autant sur l'esclavage des blancs, notamment par la propagande médiatique qui ne parle que d'elle, c'est avant tout par ethnocentrisme. Il faudrait savoir, soit l'on aborde l'histoire comme un processus universel et dans ce cas on a une approche anthropologique ou on explique que l'esclavage n'est qu'une extension de la propriété privé que toutes les sociétés à un certain stade de leur développement usent, et que l'esclavage systémique n'est que le résultat d'un degré de développement matériel supérieur de la civilisation concernée par rapport à celle qui ne font pas de l'esclavage un système aussi vaste.

De tout ce qui précède, il résulte ceci : prêter aux Arabo Musulmans un rôle majeur, quasi-monopolistique, dans la traite des esclaves  est un mensonge historique. Ce mensonge repose sur une falsification caractérisée des archives et des travaux d’historiens sur la question, voire des plus élémentaires sources musulmanes qui ne sont prises en compte.

Non que les musulmans aient davantage fait preuve d’idéalisme que les autres mais par le fait qu’ils aient joué un rôle des plus réduits dans l’organisation de l’esclavage résulte sans doute, directement ou indirectement, des persécutions racistes. Dans cette logique, il est d’autant plus piquant de leur prêter, rétrospectivement, un monopole qui leur était interdit par l’Islam.

Comme je ne me lasserai jamais à le répéter, le Qur’an n'est pas un livre Scientifique mais plutôt un livre de "Signes". Ces signes invitent l'homme à réaliser le but de son existence sur la terre, et à vivre en harmonie avec la nature.

Si Dieu ne nous parlait pas de l'esclavage, comment devrait-Il alors faire pour nous obliger a l'abolir et affranchir la société de ce caractère inhumain et de cette absence totale de Morale. Si l’Islam est apparu alors que le monde était encore en pleine transition entre l’ère esclavagiste et l’ère féodale, alors nécessairement, certains mots font allusion à cette étape du développement historique afin d'y mettre fin. Il est important de signaler que l'islam a bien pris naissance dans un monde ou l'esclavage était un élément de société, et pourtant l’Islam accorda un statut aux esclaves différent de celui accordé précédemment par toutes les civilisations précédentes. L’Islam a commencé par exiger le bon traitement des esclaves les citant en ce sens, mais, par la grâce divine, cette grande religion ne s’arrêta pas là, car sa base fondamentale et suprême est l’égalité complète entre les hommes, ce qui signifie la libération complète de tous les hommes

Le Qur’an reste le seul livre religieux établissant un plan d'état et privé d'affranchissement systématique et progressif des esclaves, tout cela en sachant que l’Islam a clairement et catégoriquement interdit la pratique primitive de la capture d’un homme libre, pour le réduire à l’esclavage.

 

 

En Algérie, Nous avons bien le droit de refuser l’évangélisation !

Personnellement je n'ai rien contre le chrétien lambda et sa présence en Algérie, mais seulement je dénonce l’exercice prosélytisme des ONG chrétiennes en terre musulmane, à l’exemple de Caritas  Algérie  déployé par l’Église catholique à travers le pays depuis plusieurs années vient d’être  inviter à cesser son activité dés le 1er octobre. Les autorités ecclésiales locales expliquent dans un communiqué que cette décision a été prise « conformément à la demande des pouvoirs publics ». Motif : Caritas Algérie serait « une organisation non autorisée ». Caritas Algérie a été constituée le 28 juin 1962, une organisation caritative nationale qui travaille avec le soutien de son Église et membre de la Confédération Caritas Internationalis. Caritas Algérie se préoccupe et intervient également auprès des migrants en situation irrégulière qui traversent le pays en provenance d’Afrique subsaharienne. Pourtant les migrants questionnés à propos de cette organisation, ignorent totalement son existence, aucun d’eux n’avait été approché par cette Caritas tant au niveau de Ouargla, de Biskra, d’Adrar, de Bechar ou d’Oran.

On sait qu’à travers des ONG, le service de l’Église (humanitaire) mène depuis plusieurs années des actions humanitaires auprès des migrants visant un message christique qui revient par des voies peu honnêtes au prosélytisme sous couvert d’un soutien social et médical et d’un accompagnement vers la reprise en main de leur vie. L’Algérie est aujourd’hui considérée comme un pays de transit pour les migrants subsahariens qui rêvent d’aller en Europe. Certains trouvent auprès des services de l’Église catholique d’Algérie l’aide et le soutien dont ils besoins pour pouvoir survivre sur le chemin de la migration irrégulière. À la condition que ces soutiens ne fassent suer personne dans l'espace public en conservant la discrétion idoine et en respectant les principes de la Réglementation Algériennes pour les manifestations cultuelles dans l'espace public.

Il me semble savoir que la situation des migrants en terre chrétienne n’étant pas meilleure,  et surtout reste plus dramatique ou mieux encore le chrétien évangélisateur dans un pays autre, alors qu’en terre chrétienne les lieux de culte chrétien sont quasiment vide, les curés on les importe d'Afrique (des migrants) et mêmes les mariages on préfère les célébrer à la mairie. Alors l’action chrétienne doit être avant tout axer vert de ceux qui en France ont déserté l’Église au point que celle ci n’est plus sa fille aînée.     

La constitution Algérienne affirme que nous sommes un pays musulman, en bousculant sans vergogne ce que la culture et l'éducation musulmane ont réussi à construire en Algérie, et c’est largement mieux qu'un ramassis de délires mystiques. Si on rajoute les vraies fausses églises évangéliques, les Jéhovah et leurs délires, les mormons etc…, la chrétienté n'est pas en mal de bizarreries. 

Le problème n'est donc pas les chrétiens, on sait d’eux que chacun étant différent, et libre de ses croyances, mais leur prosélytisme, cette fâcheuse habitude à l'affichage ostensible d’une croisade dite évangélique est faite sous le prosélytisme ou le devoir d’évangélisation, ces activités peuvent se définir comme «le zèle déployé pour répandre la foi et rallier des personnes à une doctrine.», alors que la foi s'accommode de la liberté de penser, de sens critique, d'écoute de l'autre, celui qui croit autrement ou qui ne croit pas. L’histoire retiendra ce paradoxe incroyable.

Aujourd’hui, l’Église reconnaît enfin les multiples scandales en son sein (pédophilie, viol de nones, homosexualité des clercs, emprises et abus de pouvoir, cléricalisme, dérives sectaires). Demain, il lui faudra reconnaître le plus grand scandale qui aura permis tous les autres : son Imposture à vouloir évangéliser le monde.

Or, les fanatisés du prosélytisme sont, pour la plupart, incultes, profanes, indigents cérébraux et plus matérialistes que leurs aînés, qui l’exercent avec coercition, persuasion malhonnête, ou simplement peu loyale avec un manque au respect de la liberté autrui, dans l’annonce de leur Évangile supposé apporté une vérité toute relative alors que  la religion chrétienne avec une foi émotionnelle, superficielle semble à se réclamer avoir le monopole de la vérité. Ces religieux de l’Église brandissent l’Évangile comme un guide, une identité, un pouvoir, une fierté. C’est leur paresse qui est flattée et entretenue par la multitude de droits et à développer leurs talents. Des frustrés, jaloux et envieux de ceux qui, parmi leurs coreligionnaires ont étudié et réussi à choisir d’autres voies plus véridiques.

L’exemple le plus flagrant est la relation entre catholiques et protestants. L’ouverture de ces deux groupes, l’un vis-à-vis de l’autre, ne s’est pas faite, après des siècles de conflits et d’hostilité, grâce à de prétendues valeurs de modération et de tolérance qui seraient essentiels à leurs doctrines, à leur intégration dans les institutions de la société moderne : l’école, l’université, le marché économique, l’entreprise…Et lorsque chacun a régressé vers sa doctrine initiale, pour pratiquer chacun à sa manière cette doctrine. Cette imposture idéologique avait pour but de combattre l’islam.

Le principal credo a toujours un rôle important d’évangélisateur, cette nécessité d’évangéliser a été fortement rappelée dans le deuxième concile du Vatican, c’est toute l’Église qui a reçu cette charge, donc les travaux des convertis consistaient à ramener le plus grand nombre de brebis dans le sein de l’église.  

A Oran en Algérie, ils se mêlent, aux longues files des personnes qui viennent déposer des demandes de visa aux consulats de France et d'Espagne. Ils prennent part avec les gens qui attendent leur tour depuis des jours, et qui pour la plupart viennent de l'arrière pays. La technique bien étudiée, consiste à ratisser parmi les jeunes  ceux qui ont des difficultés, qui rencontrent des problèmes  qui ne voient rien venir et sont pris dans le filet sans avoir compris qu'ils étaient devenus nouveaux nés dans le chemin de Jésus Christ.

En Kabylie, la manière de sauver des âmes s'est développée, les missionnaires avec des déguisements adéquats, avaient réussi à mettre en place une technique bien élaborée dans le discours anti Islam d'une rare virulence. Le discours de haine contre le monde arabe et musulman, développé par les églises fait partie du corpus même de l'idéologie évangélique ainsi la plupart des victimes approchées  ont succombé à la tentation irrésistible d'une vie meilleure en Occident, des victimes de la vie, dont ces missionnaires sans foi ni loi ont profité de la faiblesse et du désarroi

Conclusion, on constate depuis fort longtemps que les missionnaires  chrétiens en terre musulmane exercent le prosélytisme avec coercition, persuasion malhonnête, ou simplement peu loyale avec un manque au respect de la liberté autrui, dans l’annonce de leur Évangile supposé apporté une vérité toute relative alors que  la religion chrétienne avec une foi émotionnelle, superficielle semble à se  réclame avoir le monopole de la vérité.

On sait que l’Église aura toujours procédé comme suit : combattre d’abord, admettre ensuite bien malgré elle, conserver malgré tout la Vérité divine en corrompant la réalité. De la sorte, l’Église ne changerait pas, cherche encore à réparer le tissu déchiré de la catholicité. Un jour pourtant, il faudra bien tirer leçon de la petite histoire et affronter la réalité : l‘Église n’était qu’une Imposture !

NB/ Caritas apporte l’aide aux plus vulnérables, sans distinction de race ou de religion, au nom des catholiques du monde entier sauf en Territoire Occupée de la Palestine, les palestiniens ne sont pas donc considérés comme des personnes vulnérables.

Comme c’est beau la Charité catholique.

Israél : Cette shoah pour les enfants Palestiniens ?

 

« Je ne connais pas cette chose appelée Principes internationaux. Je jure que je brûlerai tout enfant palestinien qui sera né dans ce secteur. La femme palestinienne et son enfant sont plus dangereux que l’homme, parce que l’existence des enfants palestiniens implique que des générations  continueront, mais l’homme cause un danger plus limité. » 

Moshé Sharett, Premier Ministre israélien, lettre du 15 juin 1948 à Nahum Goldman, Président du Congrès juif mondial.

La Palestine a toujours désigné un territoire aux contours totalement arbitraires et non un état. L'idée de nation, juive ou autre, est un non sens dans cette partie du monde. Étrange de constater comment certains s'affranchissent de toute rigueur historique et ethnologique pour pouvoir dérouler leur propagande mensongère. Alors il est ridicule de vouloir comparer les Israélites et les Arabes en terme d'identité ! Les Arabes  ont une identité, pas les Israélites qui falsifient la réalité du processus historique pour endosser la posture victimaire. Cette posture victimaire séduit les incultes de l'Occident et le débat tombe très vite dans le trou du simplisme, les bons Israélites et les méchant Arabes.

Selon Human Rights Watch, les actions permanentes d’Israël ; arrestations de masse, raids armés, meurtres de Palestiniens, notamment des enfants, bouclages de villes, démolitions de maisons et frappes aériennes font partie du châtiment collectif, un euphémisme pour ce que le droit international qualifie de totale vengeance à l’encontre des Palestiniens.

Les citoyens Palestiniens ont un choix difficile: se soumettre ou résister, devant la pratique de marginalisation la violence insatiable de l’occupation israélienne et l’autorisation d’humilier et d’opprimer, accordé aux soldats. Les Israéliens colons, par contre, n’ont pas à chercher vengeance pour leur propre compte. L’État israélien, les militaires et les tribunaux s’en chargent à leur place tous les jours.

Bien sur on ne combat pas le mensonge et la propagande par la mesure et l’impartialité. On les combat, lorsqu’on le peut, par le rétablissement tenace de la vérité (affaire Shireen Abu Akleh, célèbre journaliste et reporter), par la révélation et dénonciation des turpitudes sionistes et par une déconstruction  des éléments  trop souvent hurlés (Israël seule démocratie de la région, haut niveau de développement intellectuel et technologique, exploits du Mossad, etc.) Au passage, à leur époque les Allemands nazis, étaient beaucoup plus civilisés et beaucoup plus avancer techniquement que le reste de l'humanité. Ils avaient tenu les mêmes propos, voire pire.

La bonne et veille formule sioniste à succès qu'on énonce comme une évidence : "une terre sans peuple, pour un peuple sans terre " c'était bien trouvé, c’etait beau, cela donne envie de pleurer, mais est-ce c'est vrai ?

Cela me parait plutôt un conte de fées quand on sait que les sionistes sont obsédés par eux-mêmes et par leur supériorité supposée. Ils semblent oublier que les autochtones de la Palestine (+ de 90% d'arabes sous autorité ottomane) ont pour la plus grande part d'entre eux, été chassés de chez eux, par la peur, la terreur, ou l'espoir d'un retour rapide, et actuellement par les colonies illégales au regard du Droit International, et qu'ils savent qu’ils ont été trompés par la lâcheté occidentale, par l'ensemble des politiques d'Israël, et par la faiblesse diplomatique de beaucoup de leurs représentants. L'existence de ce peuple était même niée par des dirigeants d'Israël, un pays créé par le sionisme.

J’essaye avec une volonté sincère de comprendre les mécanismes de création de la haine mais je relève que les soldats israéliens tuent intentionnellement des enfants, (ce que les Israéliens peuvent être juifs tout de même). En Cisjordanie occupée, y compris Jérusalem-Est, et Gaza, représentent un terrain idéal pour maintenir l'efficacité de Tsahal au plus haut niveau : cibler, éliminer par des tirs à balles réelles, les enfants lanceurs de pierres venus protester notamment contre le blocus imposé depuis près de quinze ans par Israël à l’enclave palestinienne surpeuplée. Les tirs sur les enfants Palestiniens sont du collatéral, seule bavure, mais des tirs chirurgicaux de l’armée la plus morale du monde,  et chaque jour l'armée sioniste agresse et tue, délibérément, impunément, ainsi la situation des palestiniens sous l’occupation israélite, les meurtres en direct d'enfants et de femmes, trouve sa ressemblance à la Shoah.    

Par contre dans leur riposte avec des moyens rudimentaires, les Palestiniens n’ont pas le droit de tuer des militaires ou des civils de l’autre camp. Cela s’appelle du terrorisme.

Il semble que, pour l’armée, en Cisjordanie occupée, y compris Jérusalem-Est, et Gaza tous les Palestiniens, y compris les enfants qui sont en âge d’aller à l’école, restent de potentiels terroristes. Le jet de pierres est considéré comme acte terroriste alors à tout moment, il est permis aux soldats en couches de les cibler et les éliminer. C’est une constante chez ces soldats sauvages ils tirent dans le tas. Le résultat est qu’ils ont tué plus d’enfants que les résistants Palestiniens, tout ce que les israéliens touchent de près ou de loin est voue a la destruction, rien a voir ni avec l'histoire ni avec la religion, c'est une haine épidermique, suivi  en plus d’une politique de fichier de renseignement, les forces israéliennes font irruption dans les maisons palestiniennes pour les fouiller et enregistrer les noms et visages des habitants. En effet le réel est une chose difficile à admettre, difficile et parfois insupportable, alors certains inventent des fables et des mythologies pour échapper à une réalité qu’ils ne supportent pas.

Gaza est le fruit de cette imagination délirante dont le but pour les israéliens n’est autre que de se débarrasser des Palestiniens, de faire de la Palestine occupée le seul et unique état juif. Tant qu’Israël existe,  il faut effacer l’histoire pour la réécrire et se l’approprier complètement

Les Palestiniens sont appelés à résister, tant qu’ils peuvent aux provocations d’un ennemi qui ment, qui se présente en permanence comme une victime et comme un occupant pour qu’il mène un combat d’extermination de tout un peuple, faisant croire qu’il veut seulement un état à lui alors qu’en réalité, il veut une Palestine entière et juive sous entité sioniste. En effet les puissances occidentales consacrant l'existence de cet Etat, sa protection en cas d'agression garantit sa sécurité.

La solution à deux états, c'était une  position officielle d'Israël, toujours réaffirmée dans les discussions internationales, mais toujours démentie par une politique continue d'annexion de territoires, et le refus persistant d'une indépendance palestinienne avec pour capitale Jérusalem-est dans un avenir prévisible.  C’est énormément désolant de voir  qu'aucune vraie solution ne se fait jour depuis décembre 1947, date du vote d'une résolution de l’ONU créant en théorie deux États, et que des conflits armés faisant de nombreux morts et destructions ne cessent de se fixer. Cependant, les israéliens occupent une terre qui n’est pas la leur, de plus ce n’est pas dans l’intérêt de la politique d’Israël de vouloir la paix, ou sinon la théorie du  grand Israël serait caduc. Tant que les Israéliens, et par-delà eux les juifs, estimeront qu’ils ont droit à cette terre parce qu’elle leur fut promise et la poursuite de la colonisation démontre qu’Israël ne cherche pas la paix.

Les dirigeant de l’entité sioniste n’arrivent pas  à comprendre que la sécurité d'Israël dépend de la paix avec les pays musulmans, surtout les Palestiniens et non par des accords hypothétiques de soutien matériel et financier et de cesser de vivre  grassement, au crochet du monde Occidental suivant leur statut d'éternels victimes.

Alors que la politique actuelle semble hélas de plus en plus proche d'un slogan tel que " Ôte toi de là  tu n’as pas droit à cette terre". Israél traite de terroriste l’ensemble du peuple Palestine privé de sa patrie, qui se bât et se débat comme il peut sans aucun résultat depuis l’arrivée de ces nouveaux bantoustans. Sans le soutien du monde Occidental, Israël étant une plate forme coloniale occidentale avec son sionisme conquérant, son apartheid, déstabilise le Moyen Orient depuis trop longtemps. Or justement la paix avec ses voisins n’est pas dans le mire d’Israël ces préférences vont plutôt vers un statu quo, Israël ne veut en aucune façon perdre Jérusalem-Est ni les terres spoliées aux Palestiniens, tout est bon pour torpiller toutes les tentatives de paix. Israël n’est rien d’autre qu’un état délocalisé des États-Unis, une pièce majeure dans le jeu américain. C’est pourquoi les USA soutiendrons Israël matériellement et financièrement même au delà du supportable. La seule réelle question est à mon avis, quand ce génocide Israélien contre les Palestiniens aura-t-il une ampleur suffisante pour forcer les USA à se déconnecter  de la prise d’Israël ?

Pour les Palestiniens c’est un combat de résistance incessant entre un occupant et un occupé et cet occupant bénéficie d’une impunité absolue de la part de la communauté internationale. Cet occupant super armé, par entre autres les milliards d’armement offert par les Etats Unis, fait qu’il opprime un peuple à cause de sa religion, sa race et son mode de vie et cette oppression a pour but l’élimination d’un peuple sur sa propre terre. Au passage nommé Israël, sans pour autant préciser après : "soutenu par les Etats-Unis, et l’OTAN" pourrait supposé qu’il s’agit d’un conflit déséquilibré.

De toute façon, tous ces donneurs de leçons qui n'agissent pas forcément comme ils professent l’abrutissement organisé par des théories de politiciens Israélites minables ou véreux conduit à la soumission d'un peuple qui ne sait plus où il habite. Tout le monde comprend que quand un pays en occupe un autre (l'autre n'existe pas), il vaut mieux fait partie des occupants plutôt que des occupés. Le déni est un refus morbide de la réalité, c’est le propre d'un non peuple que de se construire une identité sur des bases fantasmées.

Dans tous les cas, permettez-moi de dire malgré tout : Vive La Palestine!