Le dogme de la Trinité

 


La Trinité est Une. Nous ne confessons pas trois dieux, mais un seul Dieu en trois personnes : " la Trinité consubstantielle " (Cc. Constantinople II en 553 : DS 421).
Les personnes divines ne se partagent pas l’unique divinité mais chacune d’elles est Dieu tout entier :
 " Le Père est cela même qu’est le Fils, le Fils cela même qu’est le Père, le Père et le Fils cela même qu’est le Saint-Esprit, c’est-à-dire un seul Dieu par nature " (Cc. Tolède XI en 675 : DS 530).
Chacune des trois personnes est cette réalité, c’est-à-dire la substance, l’essence ou la nature divine " (Cc. Latran IV en 1215 : DS 804).
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Les personnes divines sont réellement distinctes entre elles. " Dieu est unique mais non pas solitaire " (Fides Damasi : DS 71).
" Père ", " Fils ", " Esprit Saint " ne sont pas simplement des noms désignant des modalités de l’être divin, car ils sont réellement distincts entre eux :
Celui qui est le Fils n’est pas le Père, et celui qui est le Père n’est pas le Fils, ni le Saint-Esprit n’est celui qui est le Père ou le Fils " (Cc. Tolède XI en 675 : DS 530).
Ils sont distincts entre eux par leurs relations d’origine : " C’est le Père qui engendre, le Fils qui est engendré, le Saint-Esprit qui procède " (Cc. Latran IV en 1215 : DS 804). L’Unité divine est Trine.
Ls personnes divines sont relatives les unes aux autres. Parce qu’elle ne divise pas l’unité divine, la distinction réelle des personnes entre elles réside uniquement dans les relations qui les réfèrent les unes aux autres :
Dans les noms relatifs des personnes, le Père est référé au Fils, le Fils au Père, le Saint-Esprit aux deux ; quand on parle de ces trois personnes en considérant les relations, on croit cependant en une seule nature ou substance " (Cc. Tolède XI en 675 : DS 528).
 
En effet, " tout est un [en eux] là où l’on ne rencontre pas l’opposition de relation " (Cc. Florence en 1442 : DS 1330).
A cause de cette unité, le Père est tout entier dans le Fils, tout entier dans le Saint-Esprit ; le Fils est tout entier dans le Père, tout entier dans le Saint-Esprit ; le Saint-Esprit tout entier dans le Père, tout entier dans le Fils " (Cc. Florence en 1442 : DS 1331).
 
Ainsi la Trinité est acceptable en tant que croyance et doctrine  la Trinité, est acceptable en tant que croyance et doctrine  n’à donc d'existence que dans le relatif, dans la vision imparfaite des choses de nos amis chrétiens.
 
C'est pour cela que le Coran a réfuté cette vue qui n'a d'ailleurs même pas de traces dans les évangiles mais pure création des conciles a travers les générations.
Nous aimerons bien comprendre que les attributs de Dieu dans les écrits religieux nous approchent relativement des qualités divines qui sont propres au Divin mais qui échappent pleinement à notre compréhension, tout comme les descriptions du paradis ou de l'enfer.
Or, il n’y a aucune que l'Unicité de Dieu est absolue à l'image du caractère absolu de tous ses autres attributs !
Elle ne doit souffrir d'aucune nuance, d'aucune souillure, d'aucune limite !
IL est l'UN (al-Wâhid), IL est l'Unique (al-Ahad), IL est l'indivis et l'indivisible (al-Samad). IL a crée tout ce qui existe, il n'a jamais rien engendré (lam yalîd) et jamais rien ne l'a engendré (lam yûlad) sous quelque forme ou sous quelque intitulé qu ce soit !
Voilà ce qu'est Dieu pour le monothéiste digne du nom.
Selon la documentation consultée, on note que ;
Nestorius fut accusé de diviser le Christ, d'affirmer deux Christ et deux Fils (i.e l'homme et le Dieu) [...]. Nestorius nia toujours le bien-fondé de telles accusations, et il accusa Cyrille d'Alexandrie d'être un apollinariste. [...]
Le souci de Nestorius, en bon antiochien, est de s'opposer aux Apollinaristes et aux Ariens ; il défend l'intégrité de la nature humaine du Christ considérée comme personnalité complète et capable d'une libre initiative, alors que les alexandrins la réduisaient à un pur instrument passif du Logos. C'est pourquoi il maintient soigneusement distinctes les propriétés des deux natures et les appellations qui s'y réfèrent et qu'il préférait pour Marie l’appellation de Khristôtokos (= "Mère de Jésus [dans son union avec le Logos]).
Cependant, il refusa l'accusation de prêcher "deux Christs", insistant constamment sur l'individualité et l'unité du Christ, le Logos incarné. Pour désigner les deux natures, il parle également d'unité (hénôsis) ineffable ; mais il préfère le mot "conjonction" (synâphéïa) pour éviter que l'union ne soit considérée comme un "mélange". Il adopte la terminologie traditionnelle d'Antioche, et il parle de l'homme assumé par le Logos et du Temple dont le Logos a fait sa demeure.
Dictionaire Encyclopédque du Chrisianisme Ancien, Tome 2  "Nestorius, Nestorianime", p. 1742
En conclusion, j’ajouterai que Jésus, est né prophète et il l'est resté toute sa vie et même lors de son élévation céleste.. Durant toute sa vie prophétique il a appelé a un Dieu unique omniprésent et transcendant dans un Amour très profond.
Car en voyant ses miracles il leur est devenu difficile de ne pas voir au delà de son être tel un miroir la divinité a laquelle il appelle mais sans pour autant se substituer l'Essence divine ni les Attributs éternels y afférents...
Allah dit :« Ils ont élevé au rang de divinités en dehors de Dieu leurs rabbins et leurs moines, ainsi que le Messie, fils de Marie, alors qu’ils avaient reçu ordre de n’adorer que Dieu l’Unique, en dehors duquel il n’y a point de divinité. Gloire à Lui ! Il est infiniment au-dessus de ce qu’ils prétendent Lui associer. »  Sourate 9 31
 

L’islam est le père du monothéisme. !


Tout le monde sait qu'en Islam, toutes les religions au départ se valent, sont très bonnes et véridiques et forment d'ailleurs la seule et unique religion.. Ainsi le Christianisme avec le Prophète Jésus et l’Évangile, le Judaïsme avec le Prophète Moïse et la Thora sont des religions à la base purement monothéiste auxquelles il faut croire pour être un vrai musulman.
Mais au fil du temps elles ont effectivement été tout simplement altérées. Il ne fait aucun doute que les religions révélées avant l’islam ont été a chaque fois corrompues et c’est pourquoi l'humanité a reçu une série de révélations.
Pourquoi Dieu aurait-Il fait descendre à chaque foi une autre révélation si les Écritures précédentes n’avaient pas été altérées ?
 il faut savoir que le texte coranique arabe emploie en fait le terme "muslim". Or ce terme est à bien comprendre :
Si on utilise ce terme "muslim" dans le sens usuel (istilâhî) qu'il a depuis le VIIème siècle de l'ère chrétienne, à savoir
 "Celui qui adhère à la Voie apportée par Muhammad (SAWS) dans le Coran et la Sunna" (avec ses particularités propres (shir'a wa minhâj, Loi et Voie)), alors ces particularités n'ayant pas encore été révélées à l'époque de Abraham, ce dernier n'était effectivement pas "muslim", donc pas "musulman" dans ce sens.
 Par contre, si on utilise ce terme "muslim" dans le sens littéral (lughawî) qu'il a en langue arabe, à savoir 
"Celui qui est soumis à Dieu", alors Abraham, comme d'ailleurs tous les prophètes de Dieu, a eu comme religion la "soumission à Dieu".
Le Coran dit : "O Gens du Livre, pourquoi disputez-vous au sujet de Abraham alors que la Torah et l'Evangile ne sont descendus qu'après lui ? (…) Abraham n'était ni juif ni chrétien, mais il était monothéiste musulman. Et il n'était pas polythéiste"(Coran 3/65-67).
Voilà pourquoi les versets du Coran disent qu'Abraham était "muslim" mais qu'il n'était ni juif ni chrétien : ces deux derniers termes renvoient à des sens, même littéraux, qui ne lui sont pas applicables,  On peut noter, en passant, que la même chose est dite dans le texte biblique à propos de Jésus répondant à Jean Baptiste : 
"Laisse faire maintenant : c'est ainsi qu'il nous convient d'accomplir toute justice" : Matthieu, 3/15,   
Commentaire de la T.O.B. : 
"L'idée fondamentale du terme rendu ici par justice est celle de conformité (ou de fidélité) à la volonté de Dieu" (T.O.B., p. 1435). 
(Ces deux exemples ont été cités dans Islam et christianisme, logique de rapprochement, Amine Alibhaye, p. 97.)
Par contre, les hommes qui affirment adhérer, en tant que référence, au message que Dieu avait envoyé par le moyen de Moïse ou par celui de Jésus (dans leurs particularités, shir'a wa minhâj) sont, eux, bel et bien nommés respectivement "juifs" et "chrétiens" dans d'autres versets du Coran 
Le Coran désigne ceux qui adhèrent au message de Jésus ainsi : "... ceux qui disent : "Nous sommes chrétiens"" (Coran 5/14, 5/82).
Ce sont eux-mêmes qui se sont nommés ainsi, et la dénomination est devenue générale.
Un autre verset dit : "Les musulmans, les juifs, les chrétiens, les sabéens : ceux qui auront cru en Dieu et au jour dernier et auront fait le bien, ceux-là auront leur récompense auprès de leur Seigneur, et il n'y a aura crainte sur eux ni ils ne seront attristés" (Coran 2/62). "Les musulmans, les juifs, les sabéens, les chrétiens : ceux qui ont cru en Dieu et au jour dernier et auront fait le bien, il n'y a aura point crainte sur eux ni ils ne seront attristés" (Coran 5/69).
Pourquoi Dieu aurait-Il fait descendre à chaque foi une autre révélation si les Écritures précédentes n’avaient pas été altérées ?
Ce n’est que dans la mesure où les Écritures précédentes avaient été altérées que Dieu a dû faire descendre une autre révélation, afin de garder l’humanité toujours sur la bonne voie.
Le monothéisme se confond avec l’islam  
 

La Fausse thèse de plagiat de l'embryologie via Al Harith Ibn Kalada !


 La notion de l’autre religion est toujours hostile et a largement été propagée et les gens qui avaient l’habitude de se considérer comme prochains sont devenus ennemis. C'est comme cela que l'ego fonctionne; l'autre est toujours réduit au plus bas possible et comparé à l'autre, l'on se hausse plus haut.
C’est ainsi que certains milieux chrétiens font de la propagande contre l’Islam et présentent une attitude partiale envers les musulmans. Ils ont adopté un mode de pensée fanatique de peur si bien enregistrée sur des des sites avec des scribouillards avérés pour traquer et diaboliser non seulement l’Islam et les musulmans, mais aussi et surtout le Qur’ān ; Un vieux principe chrétien évangélique qui consiste à accuser l’accusateur même et surtout s’il a raison.
Bref être des vrais pro de la bluffe, de promotion de l’anti-islam avec un argument de bévues supposées scientifiques et à se croire un geyser de vérités. 
Alors que l’Islam qui recommande dans son enseignement élémentaire, aux musulmans  d’avoir pour  les chrétiens et les juifs fraternité et considération,  Pour ma part, je crois en la fraternité universelle et unique, telle que révélée par les religions et je suis malheureux de voir tous ces barbus et religieux (de tous poils !) qui veulent absolument nous rendre esclave de leurs lois archaïques qui visent la division et l’apologie de la haine.  
L'essentiel dans cet exercice d'écriture est de créer une source  d'informations qui éclairent le lecteur sur les dangers et les combines que recèlent les sites maquillés. Ces derniers sont des caméléons qui prennent des apparences trompeuses  Ils finissent toujours par se dévoiler. Leur arme est le mensonge. Et le mensonge se dissipe face à la vérité, comme l'ombre devant la lumière.
Que ceci ne reste que la synthèse hardie mettant en évidence  le cri en regardant les maux et les épreuves sociétales, d’un enseignant de métier avec la volonté d’être un écrivain par vocation dans une époque où l’intellectuel par ses contributions  porte l’épithète du rejet et de l’adversité.
Que n’-a-t’on pas entendu sur le sujet ?
Le Qur’ān était éparpillé et aurait été compilé bien après la mort du prophète. ?
Non, il y avait d’autres versions mais aurait été brûlées. Non, il aurait été dicté à Muhammad par un juif ?
Non par des Esséniens ?
A moins que ce soit des nazaréens ou des sabéens ?
Le Qur’ān serait ignoble et contraire à la bible à moins qu’il ne soit copié sur la bible car trop conforme.
Nous avons même des rigolos, avec un pseudo scientisme et un chouia de théorie des codes, qui seraient arrivés à prouver que le Qur’ān a été pondu par 80 scribes différents tous des Nestoriens
Ce n’est surtout pas un livre qu’ils nous disent. !
Allah n’a jamais donné de livre à Muhammad (SAWS) ?
Muhammad (SAWS) n’a jamais eu le Coran entre les mains. ?
Muhammad (SAWS) n’a même jamais vu le Coran de son vivant. Et personne n’étudiait de livre du vivant du prophète puisqu’on nous dit qu’il n’y avait pas encore de livre. Mais la Bible, nous dit-on existait en livre pour être copié par le Prophète Mohammed (SAWS) ?
L’aspect scientifique du Qur’ān sur le développement de l embryologie est étonnamment identique à celle établie par Claude Galien né en 131 après Jésus-Christ, réputé pour être le plus grand médecin après Hippocrate ?
Extraordinaire n’est ce pas !
je suis persuadé que la meilleure approche restera toujours la compréhension, et quand je parle de compréhension, je parle de "juste" compréhension, même sans preuves autres que ma révérence à mon  Qur’ān pouraller aux devants d’une quête des sources fiables pour rencontrer l’évidence de l’aspect divin de cette écriture qu’est le Qur’ān.
Avec en rappel quel’illustre Mohamed al Ghazali de son vivant n’a jamais pu faire admettre à la jeunesse et aux dignitaires musulmans que l’intelligence  humaine, la parole divine et la création du monde ne peuvent entrer en contradiction car elles sont présidées par le même Dieu Créateur.
S’il y a contradiction elle est soit dans notre perception, dans notre façon de raisonner ou dans l’art de la transmission des données du passé (naql) et qu’en aucun cas Allah ni Son Prophète ne sont responsables de nos défaillances et de nos incompétences
Le Qur’ān n’est nullement un livre scientifique et n’a pas la prétention de renfermer des théories scientifiques. Ceci étant dit il est malhonnête d’ignorer les descriptions fascinantes du Qur’ān de certains aspects naturels. Ceci est sans aucun doute une preuve que le Qur’ān est de source divine.
Donc je soutiens fortement que  la sacralité du Qur’ān est plus importante que celle des Savants qui restent des hommes qui ont  leurs limites. Ces limites n’effacent pas leur génie de l’époque. Chercher, compiler, vérifier !
En effet, c’est une chose que de démontrer que le Qur’ān répète les mêmes idées sur l’embryologie que ceux décrits à l'origine par les Grecs, mais comment pouvons-nous être sûrs que ces connaissances était bien connu des Arabes au temps de notre Prophète Mohammed (SAWS)
Il est généralement admis que Al Harith Ibn Kalada était un médecin arabe, recommandé auprès de la tribu des Banu Thaqif Il a étudié la médecine au Yémen et était médecin à Médine.
Selon la légende souvent répétée  l'existence de l’‘académie de Gundishapur a été mise en doute par plusieurs historiens principaux.
Par exemple, David C. Lindbergh dans son livre The Beginnings of Western Science met en évidence le statut légendaire de l'école.
Les recherches récentes ont révélé une réalité nettement dramatique. Nous n'avons aucune preuve convaincante de l'existence d'une faculté de médecine ou d'un hôpital à Gundishapur, bien que, il semble avoir été une école théologique et peut-être une infirmerie ci-joint.
Sans doute Gundishapur a été le théâtre de sérieux effort intellectuel et une certaine quantité de pratique médicale Car il a fourni une chaîne des médecins de la Cour abbasside au début de Bagdad au VIIIe siècle, mais il est douteux qu'il devenait un jour un centre majeur de l'enseignement médical ou de l'activité de traduction.
L’histoire de Gundishapur n'est pas fiable dans ses détails, avant l’avènement de l’Islam.
Roy Porter, historien de la médecine, social déclenche la prétention si une école de médecine réellement existé là. Porter dans son livre l'histoire médicale de l'humanité a écrit :
«Gundishapur était certainement un lieu de rencontre pour l'arabe, grec, syriaque et intellectuels chrétiens, mais il n'y a aucune preuve que n'importe quel Académie médicale existait.
C’est seulement au début du neuvième siècle que la médecine arabo-musulmane prend forme.
Le lien entre Al Harith Ibn Kalada et la tradition grec est mis en doute par les historiens, Gerald Hawting explique qu'en raison de la tradition scientifique dans l'âge d'or, historiens et biographes du temps cherchent des liens aux institutions établies comme  Gundishapur, d'associer l'Islam à la science de la journée.
Compte tenu de cela, dire que Al Harith Ibn Kalada avait tout lien formel avec de Galien et de vue d'Aristote sur le développement de l'embryon humain reste très peu concluante et donc adopter la thèse de plagiarisation via Al Harith Ibn Kalada ne porte pas beaucoup de poids.
Le D. Ch. Daremberd dans son livre OEUVRES MÉDICALES ET PHILOSOPHIQUES DE GALIEN, avait écrit :
Un long, fastidieux et stérile débat s'est engagé au XVIe siècle sur la question de savoir si Galien avait décrit des animaux ou des hommes; certains anatomistes ont essayé de prouver mais sans faire valoir d'arguments décisifs, qu'il n'avait jamais fait d'anatomie humaine; d'autres, plus jaloux de la gloire du médecin de Pergame, ont soutenu, envers et contre tous, qu'il avait disséqué des hommes, qu'il était infaillible, et que si ses descriptions ne concordaient pas avec celles des anatomistes modernes, c'est que la nature avait changé depuis lui !
Aberration d'esprit d'autant plus étrange, que Galien répète sans cesse qu'il décrit particulièrement le singe comme étant l'animal le plus voisin de l'homme ;  son seul tort, c'est d'avoir presque toujours conclu du singe à l'homme.
Le texte grec n'a pas été encore retrouvé ; heureusement il en existe une version arabe signalée par Golius, mais à peu près oubliée depuis. Mon savant ami, M. le docteur Greenhill, l'a, pour ainsi dire, découverte de nouveau à Oxford ; j'ai pu avoir une copie du manuscrit, et j'en ai fait la traduction avec l'aide de M. G. Dugat, dont les travaux sont justement appréciés par les orientalistes
Dans sa conclusion, ce même Médecin et écrivain avait conclu
Mais une volonté arrêtée de tout expliquer, de faire concorder toutes les explications, de ne trouver jamais ni lui-même, ni la nature en défaut, une ignorance absolue de l'anatomie humaine, une connaissance imparfaite de l'anatomie comparée et de l'embryogénie, une prolixité quelquefois excessive, des subtilités, des paradoxes, tels sont les défauts qui empêchent trop souvent Galien de voir juste et d'exposer méthodiquement.
Ainsi nous pourrions conclure que Galien n’a jamais disséqué de cadavres humains, cela est largement prouvé aujourd’hui,  
Appliquant le principe d’analogie, il étend à l’homme les découvertes faites sur l’animal. Aussi, nous devons abandonner nos connaissances médicales qui, plus d’une fois, ont failli nous jouer des tours, et nous pencher sur l’anatomie comparée animale.
Souvent Galien, qui a disséqué de nombreux animaux (singe, chien, chèvre, mouton, équidé, oiseaux.. et même éléphant..) ne précise pas dans quelle espèce il a trouvé telle structure, ce qui ne simplifie pas la question...
Il n’existe pas dans l’oeuvre de Galien de traité spécifique sur l’anatomie des organes  génitaux mâles.
Galien cherche à prouver la formation première du foie; elle lui permet de s’opposer fermement à Aristote pour qui le coeur est formé d’abord et d’asseoir sa théorie beaucoup plus générale de l’organisation de l’être vivant.
Le coeur et les artères se forment ensuite Le cerveau est le dernier à se former et toutes les parties du visage ont été formées Le reste du corps se forme progressivement,
il énoncera des contrevérités qui ne seront rétablies qu'à la Renaissance (il se trompe sur les rôles respectifs du foie et du cœur, faisant du premier le centre de la circulation sanguine. Il croit à une communication inter ventriculaire dans le cœur, que l'utérus humain est bifide, au doublement des voies biliaires).
Tout ce qui a l’aspect de la chair est né du sang, mais tout ce qui est membraneux est fait à partir du sperme.
Telles sont les critères que Gallien retient à propos de ses observations sur l’Anatomie,  Utilité des parties du corps.
Qui plus est, la tradition du texte grec de Galien, relativement récente, remonte rarement au delà du XIIe siècle. Il faut également signaler que les traductions latines, arabes ou hébraïques auxquelles ont donné lieu de très nombreux traités, ne se sont effectué à partir du 9° et 10° Siècle.  Tout au long de sa transmission, le texte de Galien n'a cessé d'évoluer, d'être corrigé, commenté, annoté, traduit dans un souci d'exigence et d'exactitude toujours plus grand.
Galien a produit environ cinq cents textes sur la médecine, la philosophie et l'éthique, dont la plus grande partie fut détruite en l'an 192 lors de l'incendie du Temple de la Paix à proximité duquel ils étaient conservés. Quatre vingt trois ouvrages restent considérés comme authentiques, de nombreux autres sont d'origine douteuse. Ses ouvrages médicaux furent traduits au IXe siècle par des intellectuels arabes :
Hunayn ibn Ishaq al-ibadite  (809 - 873)  un médecin assyrien de Bagdad, de religion chrétienne nestorienne, connu par ses traductions d'ouvrages grecs, notamment médicaux, vers le syriaque, la langue de culture de sa communauté religieuse, et l'arabe, sa langue maternelle  Il était surnommé le « maître des traducteurs ».
Ibn Abi Usaybi'a  (1194  1270) Son ouvrage le plus important est un recueil de plus de 400 biographies de scientifiques aussi bien arabes que grecs ou indiens, Uyūn al-anbāʼ fī abaqāt al-aibbā (Vies de médecins)
Je ne peux que rappeler que les travaux visant à introduire l’héritage grec dans la pensée chrétienne, furent condamnés par l’Eglise qui s’est accaparé du savoir, qu’elle confine dans les monastères en se gardant bien de le diffuser en déclarant :
A quoi bon puisque Dieu, Jésus et le Saint-Esprit sont à l’origine de tout, à commencer par notre propre existence ?
Nous attendons que les détracteurs (5ites/blogs neuneus qui ne fournissent généralement que des fumisteries de l'histoire avec trop souvent des sources fantaisistes) nous parle du stade d’Al Alaqa (Sangsue) et Mudgha, une parfaite ressemblance á tous les points avec l’embryon qu’on ne trouve ni dans l’œuvre d’Hippocrate, ni de Galien.
Tout le monde sait actuellement que les progrès de la génétique et de la biologie moléculaire ont scientifiquement validé l'exactitude de l'information donnée sur ce plan par le Coran. La science humaine n'a découvert les informations fournies par le Coran que seulement au 20° siècle.
Les progrès des disciplines de la génétique et de la biologie moléculaire ont tous sans exception validé scientifiquement l’exactitude des informations données dans le Coran a un point ou tout ceux qui ont étudié le parallèle entre le Coran et l’embryologie moderne ont absolument tous abouti  à la conclusion évidente:
"Il est impossible que le Coran soit une parole humaine, dictée par un illettré de la Mecque il y a plus de 14 siècles"..
Le Coran a mentionné les étapes embryologiques ça fait plus que 1400 ans, alors qu'en 1677, Hamm et Leeuwenhoek furent les premiers scientifiques à observer des cellules de sperme humain à l'aide d'un microscope perfectionné.
Ils crurent erronément que la cellule de sperme contenait un être humain miniature préformé qui grandissait à partir du moment où il était déposé dans l'appareil génital femelle.
 
La concordance entre la description coranique et l'analyse scientifique du 20° siècle est encore à mettre une fois de plus à l'actif du Livre Sacré avec toutes ces découvertes scientifiques tellement précises dans le Coran.
Pour toute conclusion je citerai avec joie la citation de :
George Sarton,  Il suffit ici d'évoquer quelques glorieux nom sans équivalent contemporains en Occident : jabir ibn Haiyan, al-Kindi, al-Khwarizmi, al-Fargani, al-Razi, Thabit ibn Qurra, al-Battani, Hunain ibn Ishaq, al-Farabi, Ibrahim ibn Sinan, al-Masudi, al-Tabari, Abul Wafa, 'Ali ibn Abbas, Abul Qasim, Ibn al-Jazzar, al-Biruni, Ibn Sina, Ibn Yunus, al-Kashi, Ibn al-Haitham, 'Ali Ibn 'Isa al-Ghazali, al-zarqab, Omar Khayyam.
Une magnifique liste de noms qu'il ne serait pas difficile d'étendre. Si quelqu'un vous dit que le Moyen Age a été scientifiquement stérile, citez lui seulement ces hommes, qui ont tous brillé dans une courte période, de 750 à 1100 après JC.
Introduction to the History of Science, George Sarton (trad. Wikiquote), éd. Williams & Wilkins, 1927, p. 27

 

PS Corpus Medicorum Graecorum: Galieni de Semine, section I1-10 pp. 92-95, 101

Cette source que j’ai tenté de la retrouver chez le Cheikh Google, n’apparaît malheureusement pas sauf bien sur les forums Anti religieux et les anti Islam. Pour un meilleur constat que chacun puisse vérifier la source citée

Des juifs au Moyen Âge portant la rouelle (symbole jaune)

Contrairement aux autres croyances, les juifs ne se sont pas convertis en masse pourtant le Moyen Âge reste une époque où la conversion religieuse était l'unique moyen d'intégration.

Sous la pression, certains ont préféré se suicider.

Au Ve siècle, Jean Chrysostome, père de l'Église d'Antioche, les accusait d'être le « peuple déicide », tueur de Dieu mais comme l’âme des Juifs est perdue d’avance de toute manière, l’apparition d’une légende du Juif errant, témoin de la passion du Christ et condamné à errer jusqu'à la fin des temps.  

Cette responsabilité hors de toute mesure a été abondamment relayée par les populations, et a justifié les pires folies sanguinaires. Pourtant, certains les papes n'ont jamais justifié de tels excès ni encouragé les conversions forcées. D'autres ont eu un comportement plus ambigu, suivant en cela saint Augustin qui voulait que les juifs soient l'exemple vivant de la rigueur avec laquelle Dieu traitait ses ennemis.

Par contre, leur religion permet l'usure, qui est interdite aux chrétiens (car le temps n'appartient qu'à Dieu). Ainsi « le juif » deviendra progressivement « l'usurier », et toute personne vivant dans la misère ou la précarité pourra, sa vie durant, l'associer à son malheur, et y voir la cause de sa ruine en même temps que l'incarnation du péché.

Lors des intenses persécutions menées durant la grande peste (1347-1352), les populations en panique s'imaginent que les juifs ont empoisonné les puits et autres points d'eau. Elles les massacrent, pensant ainsi se protéger.

Le concile du Latran IV (1215) proscrit tout rapport entre Juifs et chrétiens: mariages mixtes, cohabitation, convivialité.  le concile recommande d'imposer aux Juifs le port  de la rouelle jaune, un signe distinctif sur leurs vêtements   

Mais il ne faut pas croire que les mesures du IVe Concile de Latran s’arrêtent là, puisque l’Eglise en profite pour interdire aux Juifs d’entrer dans une église ou de marcher dans la rue les jours de fêtes chrétiennes, il y aussi les interdictions de travailler le dimanche, l’obligation de construire des synagogues basses et sans décoration…

L’idée d’identifier le Juif par un signe extérieur a été reprise par Hitler qui, dès le 1er septembre 1941, impose le port de l’étoile jaune à tous les Juifs des pays occupés par les nazis. Les Juifs, dès l’âge de 6 ans, ont l’obligation de coudre sur leurs vêtements. une étoile jaune où est inscrit le mot «juif» , sur le côté gauche de la poitrine

La pression pour convertir les Juifs se renforce. Le pape instaure la prédication obligatoire dans les synagogues, souvent assurée par des Juifs convertis. C'est surtout à des convertis que les chrétiens ont recours pour affronter

les Juifs lors des disputations suscitées par l'Eglise à Paris (1240) ou Barcelone (1263) pour démontrer la supériorité du christianisme sur le judaïsme.

L'antijudaïsme se propage à l'art sacré et au théâtre qui véhicule une image du Juif de plus en plus caricaturale, incitant les chrétiens à la vengeance.

On prête aux Juifs une odeur fétide (fœtor judaicus) qui disparaît au baptême! Les Juifs sont démonisés : l'Antéchrist serait de sang juif!

On dit que les Juifs ont besoin de sang frais pour panser leurs blessures de la circoncision et leurs hémorroïdes congénitales!

On les accuse de meurtres rituels -sur un enfant masculin crucifié ou saigné à blanc-, ou de profanations contre les hosties - tel le soi-disant miracle du Saint-Sacrement dont sont victimes les Juifs du Brabant et qui se termine par le bûcher et l'expulsion.

Ces prétendus crimes rituels -le premier exemple est à Norwich (1144)- sont des variantes d'un même répertoire d'accusations antisémites formulées le plus souvent en période de Pâques; les Juifs profaneraient les hosties, qui saigneraient et démontreraient ainsi la vérité du dogme de la transsubstantiation!

Mais les communautés juives d'Europe sont peu à peu enfermées dans des ghettos (le mot «ghetto» vient du quartier où furent confinés les Juifs de Venise, en 1516).  

Accusés de corrompre la religion catholique, les Juifs convertis, ou marranes (du castillan marrano, «porc»), sont persécutés par l'Inquisition. Certains d'entre eux se réfugient au Portugal, puis, chassés par les violences populaires, ils partent pour la Hollande (parmi eux, les ancêtres de Spinoza).

Les chanoines de la cathédrale de Cordoue exigent, en 1535, que l'accès au chapitre soit réservé aux personnes qui attestent de la limpieza de sangre (la pureté du sang) et n'ont aucun Juif pour ascendant.

Un exemple pendant la domination des musulmans en Espagne, les 3 monothéismes méditerranéens (Islam, Judaïsme, christianisme) avaient coexisté pacifiquement pendant plusieurs siècles, aucune église ou temple religieux chrétienne ou juif n’a été détruit..

Mais cette coexistence de plusieurs religions sur un sol désormais contrôlé par des rois chrétiens déplaît aux prélats catholiques, qui n'ont de cesse de répandre l'antisémitisme dans la populace et aussi dans les plus hautes sphères du pouvoir.

En 1391, la populace excitée par les prélats détruit les ghettos juifs de Séville, Barcelone, Valence, Tolède et d'autres centres importants.

La furie destructrice de cette année culmine en juin à Séville, où la foule, excitée par l'archidiacre Martinez, tue plus de 4000 juifs.

L’expulsion des Juifs de la péninsule ibérique s’inscrit dans la rechristianisation de celle-ci, (Reconquista) entreprise par les souverains espagnols

À mesure que le pouvoir chrétien s’affirme et que la présence musulmane indépendante se réduit au seul royaume de Grenade, les mesures de pression s’affirment sur les Juifs en terre chrétienne. Diverses mesures sont entreprises pour convertir les Juifs au christianisme, au terme de disputations telles la dispute de Barcelone et celle de Tortosa, de campagnes de prédication intensives de Vincent Ferrier ou de campagnes de conversion forcée culminant avec les baptêmes sanglants de 1391.

C’est en Andalousie, lieu de nostalgie et d’enchantement, que la civilisation arabe avait atteint son apogée. Et c’est également en Andalousie que la symbiose judéo arabe a été au zénith de sa splendeur.

Les juifs d’Espagne accueillirent les musulmans en libérateurs. A l’époque, ils vivaient des périodes difficiles sous le règne des rois wisigoth. Ils subissaient les spoliations, les conversions massives et les expulsions. La conquête musulmane va non seulement les libérer du joug de leurs oppresseurs mais va permettre à « l’histoire juive de connaître sa période la plus florissante, celle qui exerça une influence exceptionnelle sur la destinée des juifs et du judaïsme » affirme Eliyahu Ashtor.

Les musulmans n’ont essayé ni d’imposer leur religion par la coercition aux peuples soumis à leur pouvoir ni de s’immiscer dans leurs vies privées. Chacun pouvait pratiquer librement sa religion et conserver ses lieux de culte. Ceci recommandés  dans les prescriptions coraniques mêmes

« Il ne doit pas y avoir de contrainte en matière de foi »  , 

« Vous avez votre religion et j’ai la mienne » .

 Ils (les musulmans) sont équitables, ne nous font aucun tort et ne se livrent à aucun acte de violence envers nous » écrit le patriarche de Jérusalem à celui de Constantinople au IXe siècle.

Pendant que les juifs Andalous menaient une vie libre, raffinée et savante, leurs coreligionnaires dans les autres contrées de l’Europe subissaient des mesures antijuives draconiennes

Tantôt accusés de tuer des enfants chrétiens, tantôt mis responsables de l’expansion de la lèpre ou de la peste ; ils furent traqués, humiliés et finirent, dès la seconde moitié du XIVème siècle, isolés dans des quartiers séparés qu’on allait appeler par la suite « ghettos ».

Il faut « restreindre les excès des juifs afin qu’ils ne lèvent plus la tête, sur laquelle pèse le joug de l’esclavage perpétuel [...] Ils doivent se reconnaître comme les esclaves de ceux que la mort du Christ a libéré alors qu’elle asservissait les juifs » écrit le pape Innocent III.



 

L’occident s’est emparé des découvertes scientifiques des musulmans !!

                                           Le premier qui a pensé à inventer une machine à voler est un savant musulman !!

La série « le monde des miracles » présentée par la télévision allemande (la chaîne allemande RTL) a abordé un sujet concernant la civilisation islamique dans le domaine des sciences. La chose étonnante est que le film reconnaît le grand développement technologique qu’a vécu la civilisation islamique pendant de nombreux siècles.
L’un des chercheurs dans ce film dit :
Il y a près de mille ans le monde islamique était  développé dans une large mesure, tandis que l’Europe vivait dans un état d’arriération et d’ignorance. Les musulmans ont élaboré les livres, les découvertes et les inventions…dans le domaine de la médecine, les musulmans suivaient les méthodes scientifiques et les médicaments et menaient des opérations chirurgicales alors que l’occident suivait la méthode de la magie et de la sorcellerie pour guérir.
Dans le domaine de l’ingénierie, ils ont inventé des horloges (des montres) très précises et des méthodes de guerre évoluées…première idée du missile, première idée du tank…premier code secret, première méthode de verrouillage avec un cadenas qui fonctionne avec un code secret…et ainsi de suite…ce qui est remarquable, c’est que les savants musulmans ont adopté la méthode de la documentation scientifique, ils mettaient le nom de la référence sur laquelle ils se basaient dans leurs livres.
La chose que l’occident a tout simplement faite – comme dit le chercheur allemand dans le film – c’est qu’ils ont volé ces sciences après la défaite des musulmans, ont effacé les noms des auteurs et se sont attribués ces sciences, ces découvertes et ces inventions à eux-mêmes, le chercheur continue : « c’est le plus grand vol dans l’histoire de la science ».
De nombreux savants ont pris les découvertes des musulmans et se les sont attribués…la méthode la plus facile pour voler le savoir c’est le fait que tu prends le livre et tu le recopies littéralement…cependant tu effaces le nom de l’auteur original et tu mets ton nom à sa place !!
La phrase qui a attirée mon attention dans ce film et dans plusieurs films documentaires concernant la civilisation des arabes et des musulmans est que la civilisation de l’occident n’aurait jamais existé si les arabes n’avaient pas effectué cet immense progrès dans le domaine des sciences ! l
En plus important encore c’est que ces sciences et ces découvertes sont dues aux enseignements du Coran !
Le Coran incite au savoir, à la connaissance et à la découverte
La tasse à café…la brosse à dents…les hôpitaux… les crèches…les universités et l’enseignement académique…les opérations chirurgicales délicates…les avions et les missiles…l’ordinateur…les pompes, les moteurs, les montres (les horloges), le shampoing et le stylo à encre…les chiffres…les appareils photo…presque tout du vélo et jusqu’à l’échelle musicale et les échecs…les virements bancaires et les banques…sont des inventions islamiques…même l’algèbre, l’optique, la sphéricité de la terre et de nombreuses sciences modernes…ce sont les arabes qui ont élaboré leurs fondements ! bien évidemment, cela a été une surprise pour l’occident quand il est apparu récemment dans une exposition au musée des sciences de Londres intitulée 1001 inventions islamiques  avec 1000 ans de l’histoire oubliée des inventeurs musulmans.
La chose que l’occident a faite tout simplement, c’est qu’il s’est présenté comme étant le propriétaire des découvertes scientifiques et que l’islam est une religion d’arriération, d’ignorance et de terrorisme… cependant le résultat était inverse puisque le nombre de ceux qui embrassent l’islam connait une grande augmentation… au point que certains rapports occidentaux mettent en garde contre « le danger » que représentera la domination de l’islam sur l’Europe dans les prochaines décennies car l’islam est la religion qui se propage le plus rapidement !
Par conséquent, ne nous sommes pas surpris si nous connaissons que le premier verset qui a été révélé au noble prophète
« Lis, au nom de ton Seigneur qui a créé » (L’Adhérence 1) et le dernier verset qui a été descendu sur le cœur du prophète – que la paix et les bénédictions d’Allah soient sur lui
« Et craignez le jour où vous serez ramenés vers Allah. Alors chaque âme sera pleinement rétribuée de ce qu'elle aura acquis . Et ils ne seront point lésés » (La Vache 281).
Méditez avec moi sur la magnificence de l’islam, le premier mot qui a été descendu c’est « Lis » pour indiquer le savoir et le dernier mot qui a été descendu c’est « Et ils ne seront point lésés » pour indiquer la justice…
C’est bien cela l’islam on le résume en deux mots : le savoir est la justice….
les savants musulmans ont présenté les découvertes scientifiques, ils étaient justes en les attribuant à leurs propriétaires, lorsqu’un savant musulman prend une information d’un livre d’Aristote il mentionne cela, tandis que la civilisation scientifique de l’occident a été basée sur le vol et l’injustice, ils ont volé les efforts des autres ainsi qu’ils étaient injustes puisqu’ils ne les ont pas attribués à eux (leurs propriétaires) mais à eux-mêmes…c’est une claire falsification.
Finalement, nous pouvons dire que ces vérités répondent aux sceptiques et aux laïques surtout ceux des arabes qui halètent derrière l’occident…c’est la vérité de l’occident que vous haletez derrière lui…retournez-vous à votre religion,  lisez sur la civilisation de vos ancêtres et ne soyez pas comme les juifs dont le prophète avait adressé la parole en disant : «Voulez-vous échanger le meilleur pour le moins bon? »(La Vache 61)…
nous demandons à Allah de nous instruire sur notre religion et de nous guider vers le droit chemin.
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La doctrine de l’amour d’amitié de l’église !


 Les abus sexuels commis par des religieux sur d’autres religieux plus jeunes placés sous leur autorité sont  des sujets les plus tabous de l’Eglise Catholique. Ce phénomène ne se limite pas à la seule communauté de certaines sectes, mais pour des raisons historiques et doctrinales, il y est fréquent.
La nouvelle doctrine enseigner par un certain nombre  de prêtres  dans diverses communautés chrétiennes, est devenue une utopie, une version sur mesure, qui permettra de justifier les  fantasmes du religieux en les rattachant à des bases doctrinales.
C’est ainsi que la doctrine d’ « amour d’amitié » est devenue un pilier du fonctionnement des communautés masculines et féminines qui composent l’Eglise Catholique
Dans ses conférences, dans ses enseignements, le prêtre aborde la question des relations amoureuses qui peuvent se lier entre frères ou entre frères et sœurs. en mélangeant comme à son habitude les termes d’amitié, d’amour et d’amour d’amitié. Il déclare ainsi :
«Dans la vie de presque tous les saints, il y a quelqu’un de caché qu’ils ont aimé d’une façon toute particulière.
«Aimer un frère, il est si merveilleux, on voit combien sa sensibilité nous est agréable ; son sourire nous est agréable ; c’est doux pour nous. »…
« Il faut qu’ensemble on offre à Dieu la joie d’être ensemble, et de savoir que cette joie d’être ensemble, c’est très bien. Elle est toute offerte à Dieu. ».
« C’est cette délicatesse merveilleuse qui doit exister dans un amour entre frères, entre frères et sœurs ».
Le fond de l’affaire est sordide, mais la manière dont l’Eglise traite cette affaire en catimini ne l’est pas moins.
Nulle part dans ses textes, le prêtre ne justifie l’acte sexuel entre religieux. Toujours, il prend la précaution d’indiquer que le sentiment amoureux doit être sublimé, « offert à Dieu ».
Toutefois, cette proximité physique étroite voulue entre communautés masculines et féminines, permet au prêtre avec l’agression sexuelle par éveiller un amour personnel inconditionnel chez la personne pour la "diriger" ensuite vers son "vrai soi intérieur !"
Le prêtre finit toujours pour lui rappeler que le contact  avec un frère, est constamment un contact  "d’amour divin" Et quand la personne est bien conditionnée pour aimer son maître plus que tout, d’un amour supérieur à celui qu’elle porte à sa  famille ou ses  amis et sera, ainsi prête à poursuivre ce chemin tout en déclarant intérieurement  « Jesus me surnaturalise »  
Tout en gardant le contact le prêtre se désigne « rédempteurs   pendant des années pour maintenir la personne sous son emprise en lui promettant toujours une fidélité profonde à leur amitié d’amour !
Cette trahison  du prêtre  est forcément sainte en exerçant la fonction de « maître des novices » sujet à la naïveté et la  mort dans l’âme.
L’Église n’est plus crédible et n’est plus capable d’être un garde-fous       le Magistère de l’Eglise
La valorisation des relations amoureuses entre religieux ne peut conduire qu’à des dérapages et à des passages à l’acte. Ces prêtres qui ont touché au mal restent cependant prêtres pour l'éternité.
La doctrine d’amour d’amitié est la porte ouverte pour les membres de l’église vers une sexualité déviante. Les trop nombreux abus sexuels entre membres sous couvert de cette doctrine poussent certains adeptes dans une vision perverse de la sexualité dans laquelle il devient normal que l’acte sexuel puisse être obtenu à travers la domination de l’autre
La Christologie, telle qu’on l’étudie ou qu’on la « vit » à l’église, présente bien des déviances par rapport aux premiers Conciles Œcuméniques, patrimoine commun à toutes les Églises chrétiennes.  
Les retombées spirituelles de cette Christologie, et pour nourrir le cœur du novice il y avait l’ineffable Trinité, les Trois Personnes Divines, qui sont vraiment au centre de tout, depuis les conférences spirituelles jusqu’aux icônes omniprésentes.
L’Eglise est incapable d’avoir une position commune sur ces sujets théologiques ; on peut dire tout et le contraire de tout sur ce point précis de la vie personnelle du Christ et de la Vierge. Le dogme ne touche pour le Christ une seule personne divine en deux natures, divine et humaine ; pour la Vierge une personne humaine en une seule nature humaine.
L’omerta est bien en place, que ce soit au niveau local ainsi que à l’échelon  du Vatican qui malheureusement ne fait que camoufler une impasse formée par les fausses doctrines, sans faire trop de nettoyage,  Seules quelques affaires ont pu échapper à l’omerta...
Mais quand un prêtre tire avantage de son pouvoir sur ses subalternes, de telles actions devraient être dénoncées, alors vouloir cacher la réalité de faits criminels commis par des religieux, ce n’est pas autre chose que du déni du Magistère de l’Eglise
La loi du silence avec le sentiment d’impunité 

Les missionnaires en soldats chrétiens en terre Musulmane.

 


Jean Le Vacher un missionnaire lazariste en 1668 il a été envoyé à Alger , où il avait à nouveau le double rôle de consul et missionnaire. 

Saint-Vincent-de-Paul ayant appris que la France avait obtenu l'autorisation d'avoir un aumônier dans chaque consulat, envoya Jean Le Vacher à Alger Il y débarqua le 23 mai 1668. Il y trouva une dizaine de prêtres et des chrétiens esclaves. l s'occupa de tout, en demandant un cimetière pour les chrétiens, la construction de chapelles dans  la ville..

Quand une mésentente entre la France et le Dey d'Alger s'envenima juin 1683. La marine française bombarde à nouveau Alger.  29 juillet 1683. Il y eut des milliers de morts dans la population civile.

Pour marquer les endroits à bombarder, les palais, les administrations et les mosquées, Jean Le Vacher  en compagnie de 25 de ces adeptes avaient entrepris d’étendre ses draps blancs sur ces lieux et durant les nuits, c’est au moyen des lumières de bougies qui indiquaient les endroits pour les bombardements.

Surpris en flagrant délit, cet illustre homme d’église tout marqué par la douceur et l’humanité chrétiennes  faisait des actions d’espionnage et de traîtrise, avait été  dénoncé par un anglais qui alarma les passants en criant qu’il s’agit là d’un signal adressé à la flotte ennemie. Aussitôt le Père Le Vacher est arrêté en compagnie de ces 25 compagnons tous des français.

il est déclaré coupable et condamné à mort non pas en sa qualité d’homme d’église mais pour trahison pour avoir  communiquer par signaux avec la marine française et ses actions d’espionnage ont entraînés des milliers de morts parmi  la population civile et plus d’une vingtaine de mosquées détruites.

c'est en effet un rien trop simple qu’un prêtre soit en mission  d’espionnage et de traîtrise auprès d’une population qui l’a bien accueillit durant son séjour, mais l’hypocrisie chrétienne n’avait rien à dire car du point de vue de la déloyauté, elle n’avait de leçons à recevoir de personne.

En temps de guerre, les agents espions qui sont démasqués sont condamnés pour haute trahison. Ils subissent alors les châtiments les plus sévères. Leur traîtrise est grande.

Le Père est attaché au devant le canon mythique Baba Merzoug qui avait assuré la défense d’Alger pendant longtemps contre l’invasion et la trahison.

Ce baiser de Judas, vivant tout entier dans l’hypocrisie avait su  mettre de son côté plus de sang d’une population innocente que de foi pour être déclaré martyr, cependant il laisse une bonne leçon à retenir «Ce n'est pas si mal de condamner une trahison»

Les Sectes hystériques dans le monde musulman !


 Le monde musulman ne connaît pas en réalité une prolifération aussi excessive des sectes, comme c’est le cas des autres religions.
La clarté du texte coranique, son discours pertinent sur le sens de la vie, la voie du salut ici-bas et dans l’au-delà, son caractère exhaustif et authentique, tenant compte de l’équilibre nécessaire entre les besoins matériels et spirituels de l’homme, ont permis d’apporter une réponse suffisante aux attentes des musulmans. Le caractère sacré de la vie de la personne humaine souligné plusieurs fois dans le Coran et le hadith, faisant du meurtre et du suicide des crimes extrêmement graves assimilés au crime contre l’humanité, a beaucoup contribué à éviter aux musulmans les tragédies de suicides individuels et collectifs.
Cela n’exclut pas bien entendu l’existence de divergences doctrinales en Islam, lesquelles divergences ont donné lieu à des écoles de pensée, à des opinions doctrinales différentes ; il s’agit des doctrines ‘‘madahibs’’ qu’on ne peut pas assimiler à des sectes étant donné leur accord sur les fondements de la religion tels que l’unicité de Dieu, la véracité du Coran et de la mission du prophète Mohammed, les cinq piliers de l’Islam, la croyance aux anges, aux Livres, aux messagers, au jugement dernier, au paradis et à l’Enfer.
Avant de passer à l’examen au cas par cas de ces sectes, jetons un coup d’œil sur ce qu’on appelle les confréries mystiques ou le ‘‘ tahaouf’’ (le soufisme).
Il faut rappeler que cette doctrine n’est pas d’origine islamique. N’ayant pas existé du temps du prophète Mohammed (s) ni des quatre califes successeurs ; elle tire son origine des philosophies grecques, hindouistes et persanes. Ces philosophies furent introduites dans le monde musulman par les nouveaux convertis.
Ibn al-Jaouzi affirme que le soufisme remonte à l’époque préislamique, tandis que le savant al-Bayrouni assure que le soufisme est une philosophie grecque, dérivée du mot grec ‘‘sophia’’ qui signifie sagesse.
Mis à part le dhikr (invocation) et la méditation qui sont des pratiques recommandées par le Coran, beaucoup de confréries ont versé dans les excès. Les unes prétendent communiquer avec les âmes qui leur donnent des informations sur le monde du mystère.
Alors qu’en réalité, les âmes en question ne sont rien d’autres que des djinns qui se font passer pour des personnes décédés et qui donnent des informations souvent fausses. Ce faisant, ils ont sombré dans la sorcellerie, le charlatanisme, le culte des saints.
a) La Tidjania a été créée à Fès vers 1790 par Ahmed Tidjani, né à Aïn Madhi (Algérie) en 1737.
Cette confrérie est bien enracinée en Afrique où elle jouit d’une popularité et d’une estime considérables. Le cheikh déclare avoir rencontré en réalité le Prophète Mohammed qui lui aurait remis un livre ‘‘jawhar al-maâni’’ (substance des sens) composé par le prophète lui-même et lui aurait indiqué une formule de prière (salat al-fateh) dont une seule invocation peut égaler plusieurs fois la lecture du Coran.
Tidjani croit avoir une place privilégiée auprès d’Allah que nul saint ne peut atteindre.
II déclare : « le maître de l’existence (Mohammed) m’a dit : ‘tu fais partie de ceux qui sont en sécurité ; tu es mon ami et celui qui t’aime est mon ami ; tes disciples sont mes disciples. Celui qui s’abreuve de ton wird (litanie) sera exempt du feu’ »
Ses disciples soutiennent que le prophète aurait conservé une partie de la révélation jusqu’au moment ou apparut Tidjani auquel le prophète lui aurait confié ce secret dont ‘‘salat al-fateh’’.
b) Parmi les sectes soutenues par le mouvement sioniste et les anglo-américains figurent à notre connaissance al-Qadianiya et al-Bahaï-ya ;
la première fondée à Qadiane (Inde) par Mirza Ahmed Gholam en 1868 et la seconde à Shiraz (Iran) par Ali Mohamed Shirazi en 1844.
Ces deux sectes sont plantées comme un poignard dans le dos de l’Islam. Leur but consiste essentiellement à saper les fondements de l’Islam, à déformer ses enseignements, à changer et à pervertir les mœurs et les croyances des musulmans, et enfin à œuvrer pour la concrétisation des idéaux sionistes, notamment le retour des Juifs en Palestine afin d’accélérer l’avènement du gouvernement juif mondial.
Comme les Juifs, les deux sectes haïssent les musulmans et les chrétiens (catholiques et orthodoxes notamment), les deux croient à la crucifixion de Jésus, les deux ont des sièges à Haïfa ( Israël), croient à la transmigration des âmes, autorisent les boissons alcoolisées et la drogue, nient l’existence du châtiment de la tombe, considèrent le Jihad  est aboli, croient à la continuité de la prophétie et de la révélation après Mohammed (s), chacune des deux sectes prétend que son fondateur était le dernier messager qui recevait la révélation divine et chacune croit que son fondateur est le messie attendu.
- La secte Bahaï-ya nie l’existence du Paradis et de l’Enfer, les miracles des prophètes, les djinns et les anges ; elle prône le communisme des biens et des femmes. La doctrine de la secte a été clairement exposée dans le discours de Ftaima bint Qazuini, surnommée Qurratu’l Aïn, qui proclama en public la légitimité du libertinage et du collectivisme sexuel ainsi que l’abrogation de la Charia : ‘‘le jeûne, la prière, la zakat et tout ce que Mohammed avait apporté sont nuls et de nul effet dès aujourd’hui.
Notre protecteur al-Bab (la porte) va conquérir le monde, soumettre les hommes et unifier les religions de la planète de sorte qu’il ne restera qu’une seule religion : la nouvelle religion de la vérité et la nouvelle charia sont les siennes...Profitez de la vie, il n’y aura plus rien après la mort ; partagez entre vous les richesses et les femmes. Plus d’interdits désormais, ni de charges ni de privations.’
al-Qadianiya (ou Ahmadiyya) est une secte hérétique qui propage des idées fausses sur l’Islam. Son but est d’éloigner les musulmans de leur religion et surtout de l’obligation du Jihad afin de les maintenir dans un état de passivité face au colonialisme et à l’injustice.
Cette secte considère Ahmed Gholam, son fondateur, comme le messie attendu et le meilleur des prophètes. A ce titre, ce dernier recevait, selon ses adeptes, les visites de l’ange Gabriel qui lui transmettait la révélation divine.
Ils prétendent que la ville de Qadiane (Inde) où ils effectuent le pèlerinage, est plus sainte que La Mecque et Médine. La doctrine de la secte est constituée par les œuvres écrites de cet imposteur qui s’attaque violemment à certains prophètes dont Jésus Christ (s) et renie d’autres.
Il reconnaît lui-même dans ses écrits les grands services qu’ils avaient rendus, lui et son père, au colonialisme britannique. Il se vante que son père avait offert au gouvernement britannique en 1858 un escadron de cinquante chevaux et cinquante cavaliers pour combattre la résistance islamique.
Il déclare que ce dernier avait un fauteuil spécial lors des cérémonies officielles. Les adeptes de la secte autorisent le vin et la drogue. Ils qualifient de mécréants les musulmans non qadianis, interdisant l’inhumation dans leurs cimetières, la prière dans leurs mosquées et le mariage avec leurs femmes.
Le Dr Ismaël A.B.Balogun, qui a consacré toute sa vie à la cause de la secte, a écrit un livre sous le titre ‘‘Islam contre Ahmadiyya au Nigeria’’ dans lequel, il révèle les impostures et les turpitudes de cette secte, en déclarant solennellement : « Je dois dire, devant Dieu et devant les hommes que plus j’examinais à fond les prétentions et tendais à montrer leurs références, plus je découvrais que la mission Ahmadiyya est en train de tromper le monde et de jouer sur l’ignorance de beaucoup de ses adeptes. »..

Des mots non arabes dans le Coran !

Il y a, certainement, une grande différence entre la façon dont les Musulmans voient le Christianisme et la façon dont les Chrétiens voient l'Islam. .Par contraste, les Chrétiens sont faces à un choix :

Soit l'Islam est la vraie religion qui annule les autres révélations antérieures, ce qui mettrait le christianisme dans de mauvaises postures ou bien simplement considérer que l'Islam est un gros mensonge et doit être combattu totalement par des critiques pour tenter de discréditer tout élément de l'Islam qui justifie son message.

Les attaques des Chrétiens contre l'Islam datent du temps des Croisades au cours desquelles la "culture chrétienne" a trouvé son premier sentiment d'identité  face à l’Islam. Cette identité était définie comme étant fondamentalement hostile à l'Islam.

Cette différence d’identité a pour conséquence que la critique des Musulmans vis-à-vis de cette culture se concentre exclusivement sur les aspects du Christianisme qui sont considérés comme étant des déformations des enseignements de Jésus

La situation est encore plus difficile pour les Chrétiens   surtout ceux qui croient à la Trinité à cause de la doctrine du salut. Pour eux, c'est principalement la croyance en l'incarnation de Dieu dans un homme qui leur garantira le salut, cette notion revient à mettre en doute cette doctrine chrétienne.

Cependant, le niveau d'ignorance par rapport à l'Islam continue d'étonner et cette ignorance est en partie due à la persistance de la réaction du Christianisme contre l'Islam - de mentir à son propos.

Ces mensonges ne tiennent plus bien sûr, bien que certains Chrétiens les utilisent encore, les accusations préconçue formulent par exemple :

Que les Musulmans adorent Al-Lout (un dieu de la lune de la période pré-islamique païenne). !

Que l'utilisation du titre honorifique "Nous" dans le Coran implique une pluralité ou trinité de Dieu !

Que des mots non arabes existent dans le Coran !

Que les Musulmans vivent dans une promiscuité sexuelle !

Que le prophète Mohammed (SAWS) était l'idole principale qu'ils adoraient. !

Les allégations faites aujourd'hui pour essayer de discréditer l'Islam, se focalisent sur un certain nombre d'aspects, et aucunes ne résistent à un examen sérieux.

Qui n’a pas entendu les propos du Vatican et les insinuations contre l’Islam

Qui n’a pas lu les écrits des chercheurs occidentaux dont l’intégrité est souvent soupçonnée, pour en faire une référence

Qui n’a pas vu un livre avec tel «expert en Islam» ou tel «prêtre spécialiste du monde Musulman» qui dans la plupart du temps sont plus animés par des motivations pernicieuses, et derrière un propos très général ils ne s’intéressent plus spécifiquement qu’à la manière d’étudier et de défigurer la réalité de l’islam.  

Avec un tel constat nous ne sommes pas sortis des Croisades, car la mission certains chercheurs occidentaux n’est à leurs yeux, qu’un support pour la dé islamisation et la tentative de discréditer cette religion pour bien endoctriné ou plutôt bien influencer, et surtout que ces chercheurs n’hésitent nullement à ignorer le profond respect pour’ « l’identité de l’Autre »  ils ont donc adopté une démarche très critique à l’égard de l’Islam et selon leurs études tout ce qui ’est musulman est nécessairement erreur quand il s’agit de théorie ou mal s’il s’agit de pratique.

Pour nous les musulmans, Il reste toujours à se demander si tous ces penseurs de l’Eglise connaissent bien le dogme de la chrétienté et sont en mesure de pouvoir répondre aux questionnements des croyants chrétiens quant à certaines obscurités dans la doctrine chrétienne  par exemple des  années cachées du Christ pendant plus de 18 Années ou encore les activités de Jésus après la Résurrection. Certainement pas ?

Cependant, je pourrai dire que ces prêtres bien pensants et détenteur de vérité ne peuvent en aucun cas s’améliorer en aveugle, en menteur, en ignorant.  La pire des choses est de se mentir à soi-même !

Ce mensonge et cette haine ont évolué. Pendant longtemps ce fut une spécialité de l’extrême droite qui visait les «Musulmans». Puis ce discours a été repris et modifié, pour être plus amplifié  dans les attaques des anti Islam.

Ainsi il a été reproché que le Coran contient des mots non arabes, cette objection revient souvent sous la plume de certains chercheurs qui propagent actuellement leurs études en  cherchant à mettre en doute l'authenticité du texte coranique  par la présence de mots d'origine non-arabe :

              "qintâr" (Coran 3/14), d'origine byzantine ;

              "surâdiq" Coran (75/51), d'origine abyssinienne ;

              "sundus" (Coran 18/31), d'origine persane ; etc.

Or, disent ces  missionnaire chrétien : le Coran se prétend lui-même être "en arabe pur"  La conclusion s'impose donc : "Ces mots non-arabes ont été rajoutés au texte originel, qui était "en arabe pur", lors de la conquête de territoires perses et byzantins par les Arabes, après la mort du Prophète."

Ce raisonnement est cependant très discutable. Il est même étonnant venant missionnaires chrétiens, réputés pour leur rigueur dans la recherche

Nous nous référons à la sourate  suivant

Et Nous savons parfaitement qu'ils disent : "Ce n'est qu'un être humain qui lui enseigne (le Coran)". Or, la langue de celui auquel ils font allusion est étrangère [non arabe], et celle-ci est une langue arabe bien claire. (Coran, 16 : 103)

Pour constater que toutes les sourates coraniques auxquelles il a été fait allusion (Coran 12/2 ; 39/28 ; 42/7 ; 43/3) ne disent pas que le Coran serait "en arabe pur" mais "en arabe clair" ("lisânin 'arabiyyin mubîn").

La différence est de taille. Et le changement de terme est étonnant venant de soi disant spécialistes, sensés faire la différence quant on sait que "pur" se dit "mah'dh" en arabe, et non "mubîn"...

L’emprunt est un phénomène à la fois linguistique et historique. Linguistique, car l’échange se fait au niveau du langage, et historique, car il est motivé par le contact entre deux communautés et que ces mots, certes d'origine non-arabe, faisait déjà partie de la langue arabe avant la période de la révélation du Coran, lequel demeure donc bien un texte intégralement "en langue arabe".

Dans la tradition islamique, les premiers exégètes ont relevé sans difficulté la présence de mots étrangers mais faisaient déjà partie du vocabulaire de la langue arabe avant la venue de l'islam Ils les voyaient comme un témoignage des contacts du Ḥiğaz avec son environnement culturel. Il en est de même pour les premiers grammairiens, qui en ont parlé sans mal parce qu’ils reconnaissaient leur existence bien avant l’islam.

C'est ce qu'ont écrit depuis fort longtemps déjà des savants musulmans tels que Abû Ubayd al-Qâsim ibn Salâm et Ibn ul-Jawzî (Al-Itqân fî 'ulûm il-qur'ân, as-Suyûtî,: Les mots d'origine non-arabe dans le Coran).

Qu'y a-t-il d'étonnant à l'assimilation, par la langue arabe, de mots de langues étrangères, quand on sait qu'avant la venue de l'islam, les Arabes étaient, de par leur commerce caravanier, en contact depuis longtemps déjà avec les populations voisines (Perses, Byzantins, Abyssiniens, etc.) ; et qu'emprunts et assimilations de mots étrangers sont phénomènes on ne peut plus courants dans l'histoire des langues

L’emprunt est un phénomène à la fois linguistique et historique. Linguistique, car l’échange se fait au niveau du langage, et historique, car il est motivé par le contact entre deux communautés.

Dans la tradition islamique, les premiers exégètes ont relevé sans difficulté la présence de mots étrangers. Ils les voyaient comme un témoignage des contacts du Ḥiğaz avec son environnement culturel. Il en est de même pour les premiers grammairiens, qui en ont parlé sans mal parce qu’ils reconnaissaient leur existence bien avant l’islam.

Mais quand les différentes écoles religieuses furent établies ces considérations furent contestées. Al-Šafiˁī (m. 820), le représentant de ce courant, affirmait que le Coran était arabe, écrit en langue arabe claire5, comme le stipule le Coran lui-même6. Un débat s’est installé autour de la langue du Coran, en plaçant les emprunts au cœur des discussions. Al-Suyūṭī (1445-1505) a adopté une position qui concilie les deux parties.

Selon lui, les philologues ont raison de souligner la présence de mots étrangers dans le Coran, en ce qui concerne la racine, et ces mots sont perses, syriens, abyssins, hébreux, etc. Quant aux théologiens, ils auraient également raison car si ces mots ont été intégrés à la langue arabe, c’est qu’ils sont arabes. Son traité al-Mutawakkilī7, le plus complet, prouve qu’il s’est entièrement affranchi de ces querelles8, puisqu’il est le premier à adopter une classification des emprunts par langues d’origines.

Al-Šafi affirmait que le Coran était arabe, écrit en langue arabe claire , comme le stipule le Coran lui-même. Un débat s’est installé autour de la langue du Coran, en plaçant les emprunts au cœur des discussions.

Selon Al-Suyūī, les philologues ont raison de souligner la présence de mots étrangers dans le Coran, en ce qui concerne la racine, et ces mots sont perses, syriens, abyssins, hébreux, etc.

Quant aux théologiens, ils auraient également raison car si ces mots ont été intégrés à la langue arabe, c’est qu’ils sont arabes.

Son traité al-Mutawakkilī, le plus complet, prouve qu’il s’est entièrement affranchi de ces querelles, puisqu’il est le premier à adopter une classification des emprunts par langues d’origines.

En conclusion il est à noter qu’un bon nombre d’emprunts ont été identifiés à tort par ces essayistes et polémistes , car leur caractère autochtone n’est maintenant plus à prouver. Certains sont en fait des développements propres à l’arabe. Il s’agit par exemple du mot kāhin « devin » figure du monde préislamique.

Ainsi, les mots d'origines non arabe du Coran n'infirment en aucune manière la pureté du style coranique qui est clair, mais sont des mots incorporés au fil du temps dans cette langue  et  deviennent "partie intégrante" de la langue, ce qui maintient le statut de Arabe Clair ‘arabiyin mubîn. Tout en sachant que tous ces mots non arabes avaient déjà été acceptés comme faisant partie de la langue arabe avant la révélation coranique