La Trahison des images, Magritte, 1948, Renaud Camus Israël, État voyou ?
Peut-être, mais sans réelle conséquence pour l’Algérie.
Alors que la menace d’un véritable royaume-voyou aux frontières de l’Algérie
est bien réelle, pour
servir manifestement de proxy à Israël pour certaines opérations d’espionnages
et autres afin de confirmer son rôle de chien de
garde de la Juiverie.
C’est bon pour le Grand Israël ?
Chacun de ces deux états poursuit ses propres objectifs spécifiques,
qui passent tous deux par des actions politiques qui piétinent les valeurs tant
du Judaïsme et que l’Islam, sans parler
de ’’droits humains’’. Par médias, nous avons étés largement informés des
activités de désinformation d’Israël et du Maroc, avec tout ce qui ressemble à un ''deux
poids, deux mesures''
L’entité d’Israël, un État à l’idéologie du Sionisme
religieux Juif toujours en recherche d’une légitimité internationale non
reconnue par la majorité des pays voisins, la seule judéité n’y suffit pas pour
expliquer cette colonisation sauvage de la Palestine avec une endogamie très
forte dans la communauté juive, la raison en est qu’ils ont peur de
disparaître...
L’atout maître d’Israël dans le monde, ce sont les
fondamentalistes Chrétiens Américains (évangélistes). Leur support passe du
religieux au politique par l’AIPAC, qui finance les campagnes de centaines de
parlementaires choisis afin que le
Congrès approuve tout ce que les gouvernements israéliens successifs demandent.
L’occident a érigé de force Israël comme État voyou par
l’entremise de puissants lobbies partout dans le monde, qu’il est interdit
d’évoquer sous peine d’insultes, d’antisémitisme et de rétorsions diverses et
variées, par la grâce d’une Instrumentalisation ahurissante de la
shoah. Un pays voyou qui est raciste,
fasciste, belliqueux, xénophobe, et où les policiers tirent à balles réelles
sur les manifestants, surtout s'ils ne sont pas juifs, et qui ressemble de plus
en plus à un régime d’apartheid. Quand l’obsession sécuritaire masque la peur pour qui la défaite militaire
signifie la mort du pays. Il est plus que certain qu’Israël
disparaîtra quel que soit le temps qui lui est imparti, la finalité sera la même, un greffon ne peut être toléré longtemps par un corps qui
le rejette.
Ainsi quand Israël crie au loup, tous les médias du
monde occidental font écho, et cela gonfle
les financements pour Israël,
mais comme toujours, Israël joue sur la ruse de la victimisation, notamment quand
c’est Israël qui agresse. Toutefois, le constat général relève qu’Israël est en
train de dévoiler ses traits d’extrémisme religieux fondamentaliste, aux
colorations racistes, d’apartheid, ce qui fait qu’Israël accroche sans conteste
la première place aux championnats du monde du mensonge. Rien de surprenant vu
que cet état fait propension à jouer au poker menteur lorsqu’il s’agit de semer
la zizanie diplomatique entre les nations, à qui le monde Occidental permet
toutes les turpitudes sous prétexte de souffrances passées.
Nous sommes dans une guerre sans fin menée contre les populations par les
fanatiques de la mafia libérale et d’individualisme, de la désinformation et
la manipulation, ainsi les affaires
d’espionnages électroniques se multiplient et beaucoup de ces logiciels espions
sont originaires d’Israël véritable
usine à mensonges, A l’image de Terrogence, créé
en 2004, pionnier israélien de l’infiltration de forums Internet grâce à
de faux profils, puis de Black Cube, fondé en 2010, et de Psy-Group,
lancé en 2014 par la même équipe qui fondera par la suite Percepto
et qui franchit, en son temps, un seuil en diffusant ses informations à
l’aide de faux comptes et sites, un nouveau logiciel espion a été créé par
l’entreprise QuaDream, fondée par un ancien responsable militaire
israélien et ancien membre de la société israélienne NSO Group, créateur de
Pegasus, affirme un laboratoire de recherche canadien Citizen Lab. Une précision, Quadream est plus concentrée sur l’Afrique et le monde arabe à cause
de son incapacité de rivaliser avec NSO Pegasus en Europe.
Toutes ces sociétés israéliennes figurent à l'avant-garde de la
désinformation internationale.
Désinformation et manipulation : les deux
mamelles de la mafia libérale, et derrière les inexactes nouvelles, ou fake news,
se cachent souvent des stratégies visant à manipuler l’opinion publique et à
affaiblir les États et leurs institutions. Ainsi, la palme de carburant de
mensonge, revient sans aucun à Team Jorge, une officine de diffusion de
désinformation, travaillant avec des moyens considérables, planquée entre
Jérusalem et Tel Aviv au cœur de la Sillicon Valley de l’État hébreu.
L’affaire,
toute récente, fait dans le milieu médiatique grand bruit, le scandale de cette
officine israélienne n’est finalement rien d’autre qu’une nouvelle opération
des services de renseignement de pointe, lesquels forment leurs agents à : espionner, infiltrer, manipuler, faire
accroire, tromper l’ennemi.
Voilà ce qu’on peut trouver sur la page Wikipédia comme définition de leurs activités :
’Dénigrement de personnalités,
Le sabotage d’élections,
La construction de récits inventés, à l’exemple d’une campagne en 2022 affirmant que le
Front Polisario a des liens avec le Hezbollah et l'Iran.
La propagande, la manipulation de l’opinion publique
(et en particulier des choix électoraux).
Team Jorge étant un groupe sans existence légale
officielle, toutefois on peut tout à fait imaginer que des groupes similaires
existent en Europe, aux États-Unis.
C’est avec le projet «Story Killers» qu’un consortium
de journalistes internationaux, Forbidden Stories (histoires interdites), a révélé l’existence d’une société secrète israélienne, Team Jorge,
spécialisée dans l’ingérence et la diffusion de fausses informations, dirigée
par un ancien agent des forces spéciales israéliennes. Ses employés sont
présentés comme d’anciens officiers de l’armée ou des services de
renseignement, des experts en guerre psychologique ou en médias sociaux.
Forbidden Stories travaille en partenariat avec des
médias internationaux et locaux pour assurer la diffusion des enquêtes et des
reportages, afin d'exposer les abus de pouvoir, les violations des droits de
l'homme et les scandales qui seraient autrement étouffés. L'organisation
cherche à défendre la liberté de la presse et à garantir que les voix des
journalistes réprimés continuent d'être entendues.
L'approche de Forbidden Stories repose sur la
conviction que le journalisme d'investigation est essentiel pour une société démocratique,
et que la poursuite du travail des journalistes empêchés contribue à la vérité,
à la responsabilité et à la justice.
La désinformation fait référence à la propagation
délibérée de fausses informations ou de contenus sournois dans le but de
manipuler l'opinion publique, de semer la confusion ou de promouvoir des
intérêts particuliers. Elle peut prendre différentes formes, telles que la
propagation de rumeurs, la manipulation de faits, la création d'irréels comptes
ou de faux sites web, et l'utilisation de techniques sophistiquées pour donner
une apparence de légitimité à des informations fausses ou trompeuses.
Les plateformes en ligne sont devenues des espaces
propices à la diffusion de fausses informations, en raison de la vitesse de
propagation, de l'anonymat relatif et de l'absence de régulation adéquate.
La lutte contre la désinformation est devenue un enjeu
majeur pour les gouvernements, les médias, les organisations de la société
civile et les plateformes en ligne. Il est essentiel de développer un esprit
critique et d'être vigilant face à l'information, en vérifiant les sources, en
croisant les informations et en remettant en question les contenus douteux. La
lutte contre la désinformation nécessite une participation active de chacun
pour promouvoir une information de qualité et protéger la population et le
débat public.
Il est important de noter que la lutte contre la
désinformation est un processus continu et complexe. Elle nécessite la
collaboration et l'implication de multiples acteurs, des efforts à long terme
et une vigilance constante pour protéger la justice, la liberté de
l'information et la confiance dans les médias.
Il est plus que temps pour une vigilance plus
intrépide, sinon nos Algériens vont réellement penser que c’est une fuite et
que le moralisme sans l’examen avec rigueur, par un jeu qui consiste à tenter
de nous monter les uns contre les autres en diabolisant l’un ou l’autre,
est le piège de ceux qui veulent continuer la guerre sans nous dire pour
aller où et pourquoi la faire, ainsi être embarqués très loin et pour très
longtemps dans une mauvaise direction.
C’est pourquoi il est de plus en plus important de
démêler le vrai du faux et les discussions sur l’affaire qui monte dans ces
années, le «dossier du Sahara Occidental». C'est une
véritable campagne de dénigrement tous-azimuts qui commence contre Sahara
Occidental, ignoré ou presque oublié depuis 50 ans, qui revient sur le devant
de la scène médiatique pro-occidentale. Minorités opprimées, condition des
femmes, oppression et tout y passe. Cette population des territoires sahraouis
occupés demeure toujours meurtrie par des décennies de colonisation imposée,
via un monarque marocain, grand ami de l'occident et défenseur des valeurs royalistes,
armé et soutenu par le monde Occidental, y compris sous forme de fourniture
d'armes, qu'il utilisera abondamment.
La désinformation dans son grand art, consiste à faire
sortir une information par un organe de presse non soupçonnable et surtout d’être partisan. La CIA faisait cela très bien
avec des journaux Mexicains ou Australiens. Cela circulait un peu et était
repris de façon neutre par les grands organes d’informations et une fois bien
mures, les vagues rumeurs étaient considérées comme vérités spirituelles.
Tous les services de renseignements de tous les pays
ont des spécialistes de la désinformation qui soit écrivent directement dans
des journaux soit ont des correspondants soit sont sur le les réseaux sociaux.
Pour limiter la portée de mes propos je dirais que
l’on trouve surtout en ce moment de la propagande qui est aussi une arme de
services spéciaux plutôt que de la désinformation au, sens strict du terme.
Pour notre cas, un autre sujet mériterait toute notre
attention : Les agents d’influence en service, leurs propagandes sont faites pour amalgamer les uns
dans les autres, sont criants en actionnant
les résidus du FIS, les vénales de Rachad et les chauvins du MAK et les pseudos anti-systemes
ne font que jouer une partition écrite pour eux.
Conclusion: Quand un média vous met sous les yeux
une information qui vous révolte, pensez avant tout que c'est le but recherché,
c'est une technique de manipulation comme une autre.
- Vérifiez la source, chaque fois que possible ?
- Repérez la récurrence d'expressions particulière,
qui sont en fait des «slogans» de propagande ?
- Ne vous sentez pas obligé de prendre parti pour les
camps que la presse fabrique ?
- Pensez que l'effet de suggestion est une arme dont
l'usage est généralisé, mais de faire en sorte que l'information délivrée soit
mal interprétée
Je pense que si la désinformation ne doit pas être
confondue avec de la mauvaise information ou de la désorientation elle existe
et continuera à exister tant que l’information permettra de modeler les esprits
comme l’histoire le fait.