Contrairement à la démonstration,
d’un pseudo-historien de commande, une
maxime dit si sagement :
"quand on veut monter au cocotier, on vérifie que l’on a les
fesses bien propres"......
Avec
un régime monarchique typiquement marocain dont la doctrine reposait sur la
traîtrise et la manigance, on ne peut pas avoir mieux comme voisin,
certainement avec un régime républicain, les choses iraient beaucoup. Beaucoup
mieux pour la plus grande partie de la population marocaine et du Maroc
profond.
Au
royaume du Maroc, les politiques, les hommes de la Cour et les gens de la
presse, trop imbus de leur pouvoir et de leur personne, ne se rendent pas
compte du ridicule dont ils se couvrent aux yeux de la communauté
internationale, quand on songe que les Marocains sont contraints encore de
baiser la main d’un King-Dealer si maladroit et impuissant, narcotrafiquant et
addictif à la coke qui se fout royalement de leur courbette protocolaire,
évidement pour tout individu équilibré mentalement, cela peut paraître dépasser
l'entendement... et pourtant !
Espionnage,
lobbying, infiltration, cannabis et immigration, tels est les ingrédients du
Makhzen : le royaume reste un lieu privilégié de transits criminels, sud-nord :
drogue, armes, migrants… De même, le Makhzen est aujourd’hui une tête de pont
essentielle pour Israël en Afrique du Nord, ce qui ne facilite pas le règlement
définitif du conflit du Sahara occidental malgré les efforts de l’Algérie.
La
prise en compte de Team Jorge pour ce qu’il est, c'est-à-dire une officine
criminelle et dangereuse pour la sécurité régionale de l’Afrique du Nord, reste
une donnée essentielle dans l’achèvement du processus de normalisation, comme
tant d’autres médias du Makhzen toujours résolument Anti Algérien, en se
servant d’un modus-operandi des plus effroyables, répètent en boucle les
éléments de langage des autorités sionistes (parce qu'ils ont intérêt à le
faire ou parce qu’ils ne réfléchissent pas) car les sionistes les ont
intégrés dans leur logiciel depuis fort longtemps et les dirigeants de cette
presse actuelle du Makhzen savent très bien ce que cela signifie cette
soumission.
Comme
d’habitude, la partie marocaine est la fuiteuse de ces rumeurs pour servir ses
agendas et ses comptes, ces rumeurs viennent généralement de ses bras
médiatiques opérant depuis Team Jorge à coups de propagande et de fake news.
Le régime marocain vit au rythme d’un mécontentement populaire inédit. Son
incapacité à contenir ces revendications populaires réelles est comblée par
l’adoption d’une politique hostile à l’encontre de pays voisin pour affronter
cette situation, en espérant que l’Algérie sera tenue de calmer son front
interne et sa capacité de mobilisation pour démasquer ces visées malsaines.
Bien
sûr, les potins sont assez croustillants pour tenir en haleine les fans de la
médisance, ainsi le Makhzen, dans sa globalité, trouve dans le conflit du
Sahara occidental, l’occasion de déverser, à travers une presse complaisante,
des préjugés et des clichés sur l’Algérie. Confrontés à des critiques internes
sur la violation des droits de l’homme, la corruption, la concentration des
richesses et l’absence de liberté, le conflit du Sahara occidental apparaît
comme le principal facteur politique du blocage, dans la construction d’une
intégration Maghrébine et illustre l’incapacité du makhzen à sortir d’une
relation de méfiance, voire d’hostilité.
On
sait que la monarchie marocaine avait pu s’approprier le sentiment nationaliste
porté par le mouvement de l’Istiqlal qui faisait de la cause du grand Maroc
l’un de ses combats politiques dans l’espoir de rallier à sa cause une
population frustrée par la dégradation des conditions de vie.
Donc
la position du Maroc, n’est pas près de changer, le Makhzen s’accroche toujours
à son idée d’autonomie sauf que pour le Maroc aujourd’hui, il sera plus
difficile de vendre cette idée parce que les sahraouis ont prouvé qu’ils
vivaient dans des conditions dramatiques. L’Algérie dispose aujourd’hui d’un
moyen de rétorsion considérable avec « la république du Rif ». En somme,
l’Algérie peut soulever la question du Rif et sa revendication à
l’autodétermination, à la porte du territoire de l’Algérie.
Rappelons
que le Rif, la région montagneuse du nord du royaume s’étendant de Tanger à la
frontière algérienne, est une zone connue pour avoir été toujours un véritable
trublion, aussi bien avant que pendant le protectorat et après l’indépendance.
Aujourd’hui, la région suscite toujours une animosité à peine cachée dans les
cercles du pouvoir gravitant autour du fameux Makhzen, qui n'avaient pas encore
été sélectionnés par la France pour déstabiliser le nord d’Afrique, ils
venaient tout juste de troquer les occupations françaises et Espagnols contre
l'occupation marocaine.
La
République indépendante du Rif le 6 février 1923 et la proclamation de la
République du Rif février 1923. Une République qui avait fini par être dissoute
par la France et l'Espagne coloniales en 1926. La dimension maghrébine du
combat de l'émir Abdelkrim Khattabi, la résistance anticoloniale et les accrocs
avec le régime du Makhzen, sont très présents dans les mémoires. Cela veut dire
que les Rifains sont républicains, ils sont fiers du défi que leur région a
lancé au colonisateur et au Palais, c’est-à-dire une tradition de
révolte ?
La
réputation des Rifains, dans tout le Maroc, est celle d'un peuple dur, têtu,
querelleur, qui fait un peu peur. Le Rif est la province la plus densément
peuplée du Maroc. Cette région de montagne méditerranéenne a son histoire
propre : c'est une société quasi-insulaire. Cette forme de marginalité
s'appuie sur un passé dont les Rifains sont très fiers et de la guerre du Rif
notamment. Une telle fibre nationaliste des Rifains n’a jamais plu aux cercles
du Makhzen, qui a toujours été prompt à dénoncer d’illusoires velléités de
séparatisme de la population du Rif à la moindre contestation de sa politique.
Le
peuple Rifain aujourd’hui est plus convaincu que la seule solution pour la
sortie de la situation catastrophique, qui la vit sous le régime de l’État
central du Makhzen marocain, c’est l’autodétermination, surtout que l’État
central n’a pas réussi dans la gestion politique, sociale, économique, etc.
dans cette zone qui était une république indépendante entre 1921 et 1927 sous
le pouvoir de Mohamed Abdelkrim Al Khattabi.
Après
avoir éliminé la république Rifain par les forces de la colonisation française,
espagnole et marocaine, le Rif devienne une partie sous le protectorat espagnol
et français jusqu'à 1956. La date de transformation, ou bien, la date du
changement des rôles politiques entre les autorités françaises et les fils du
mouvement national dans la convention d’Aix-les-Bains.
Les
jeunes Rifains, les larmes aux yeux, déclarent depuis toujours : "Nous,
le peuple du bas de l’échelle, on peut crever, en mer ou dans une benne à
ordure, car il faudrait obéir et se taire !" Cependant, ces deux
principes sont contraires à la mentalité rifaine. Les rifains se définissent
non pas comme berbère, mais préfèrent dire "amazigh", l’homme libre.
Le
Rif devient une partie sous le régime de la monarchie marocaine jusqu’à
maintenant et l'on peut facilement avancer que le blocus de la Région du Rif
est assez semblable au blocus de Gaza par les Israéliens ou encore du Ghetto de
Varsovie par les Nazis !
Encore
une fois, il valait mieux avoir tort avec le Makhzen, ce grand adorateur de la
démocratie de Palais, des droits de l'homme à la royale par la mise en place
d’une diplomatie de valise d’argent et des vacances prépayés. Mais, bon,
on le sait, le royaume du Makhzen ne peut et ne doit jamais perdre la face.
C’est même l’un des fondements de sa création, parce que le Maroc était déjà un
État des magouilles et des manipulations ?
Le
délire de certains se sollicite du Makhzen pour revendiquer non seulement du
Sahara, mais se réclame l'Histoire, grand merci au Makhzen d’avoir oublié de
noter qu’à une époque toute récente, le Maroc qui n’a connu la monarchie telle
qu’elle est aujourd’hui que sous l’impulsion et le commandement de Lyautey. Je
suppose que ce chapitre aujourd'hui n'est plus d'actualité pour le royaume du
Maroc, quand on ne fait qu’espionner et corrompre ses alliés par des offres à
la quasi-totalité de classe politique américaine et européenne et surtout des
organes journalistiques, des séjours de luxe et des valises d’argent ?
Dans
sa stratégie, le Maroc est protagoniste dans ce qui a été qualifié de plus
grand scandale politique du Parlement Européen. Ses pratiques frauduleuses et
corruptibles font la une de la presse du vieux continent. L’objectif du Makhzen
Marocain était de réaliser son politique d’expansion et d’exercer pleinement sa
prétendue souveraineté sur le territoire du Sahara Occidental, ancienne colonie
espagnole.
Il
n'y a que le premier pas qui coûte. C'est une première pour le Parlement
européen malgré le lobbying très intense des Marocains, en effet cette
résolution n’a pas fait plaisir à sa Majesté du Maroc, ni notamment à ses
sbires, ceux qui se plaignent de l’ingérence, mais ils sont, en fait, les
champions de l’ingérence.
Comment
le Maroc nous tient
? ». C’est le titre de l’hebdomadaire français qui raconte que le royaume
marocain bénéficie d’un traitement de faveur de la part de l’Hexagone. Ce qui,
précise-t-on, n’empêche pas Rabat d’étendre son influence en France. Et, enfin,
est-il avancé pour justifier la mansuétude de Paris vis-à-vis des pratiques
inamicales de Rabat, parce que c’est une terre de villégiature pour les gens
qui pèsent. Ces gens se recrutent dans le monde politique, les artistes,
comédiens et chanteurs, écrivains et philosophes, la jetset internationale, se
retrouvent à Marrakech. Le Maroc a réussi à faire fléchir la position de
l’Espagne sur la question sahraouie, une humiliation, et a dégradé ses
relations avec l’Algérie.
Le
journal précise l’enjeu des relations entre le royaume et l’Union
Européenne : « inciter Rabat à ne pas laisser libre cours aux
passages vers l’Europe ». Le royaume gère la question de l’immigration
vers l’Europe. Le Maroc, « parce que c’est l’une des portes d’entrée de
la drogue vers l’Europe », tiendrait donc la France.
Ce
qui exaspère aujourd’hui les masses marocaines et plus particulièrement la
jeunesse, c’est la disparité des classes, l’immense richesse d’une minorité et
la misère dans laquelle végète l’écrasante majorité, les moyens de vie,
de santé et de scolarisation offerts aux enfants des uns et ce clair-obscur,
cette incertitude, cette imprévisibilité qui plane sur l’avenir de la
progéniture des autres, un lendemain qui s’annonce déjà plus sombre et plus
inquiétant que leur présent.
On
parle souvent des bidonvilles et des quartiers déshérités des villes
marocaines. Mais, allons dans la campagne, dans les hameaux pour se rendre
compte de la vraie misère des habitants : des abris bâtis avec des roseaux et
de la boue, dont les toitures tombent sur les têtes de leurs occupants à chaque
période de pluie.
Le
cas du Maroc est bien différent de celui des autres pays arabes par la
corruption et la malhonnêteté systémique qui devient visible comme jamais, du
Royaume du Maroc et pourtant les dirigeants du Makhzen continue de paraître
fières et fidèles à des principes moraux hors normes, parés d'une sorte de
bouclier mental contre la honte et le sentiment de culpabilité, un peu
psychopathes sur les bords.
L’entité
royale du Makhzen se pare d'attributs de sainteté, sourde aux évidences, et le
petit peuple marocain, asservi, absorbe et en redemande, presque indifférent,
blasé, peut-être même fatigué. Finalement rien ne change jamais, le Maroc reste
à son niveau, excepté certainement qu'avec cette croissance démographique
démesurée, un auto-effondrement dû à l'incapacité de populations à échapper à
leur déclin.
Rien
de bien nouveau, mais aussi plus difficiles à avouer. C'est leur fonds de
commerce et leur hypocrisie...
Cependant,
ce pays reste comme une province française où les ressortissants de l’ex :
puissance protectrice font ce qu’ils veulent et s’enflent parfaitement sous le
soleil bienveillant de Marrakech, avec en plus la venue des Juifs Marocains
pour s’épanouir alors que la population locale a tout simplement le droit à la
misère sociale et au chômage, ce qui pousse la majorité des jeunes Marocains
(même les vieillards) qui veulent fuir cette monarchie dictatoriale vers les
enclaves espagnoles Ceuta et Melilla afin de rejoindre Europe.
Nous
pouvons constater ceci d’une manière éclatante sur les médias, les réseaux
sociaux et les plateaux médiatiques, le makhzen vend une image de bien-être, de
bonheur, du savoir bien vivre et d’une société ouverte d’esprit. Cependant,
malheureusement, la réalité du quotidien du simple Marocain est tout autre que
ces images royalement édulcorées.
Le
peuple marocain a été malheureusement victime d’un enseignement biaisé, une
histoire construite sur plusieurs mensonges. Leurs royalistes ont choisi de
donner à des générations de sujets, une idée erronée de leur passé et leur
histoire. Ils ont bâti un royaume sur des illusions, sur le mensonge d’un
ennemi extérieur, une manipulation attestée, fondée sur un mythe et une
fantaisie gelée, pour conformité la légitimité d’un palais royal, tout en
instaurant une monarchie autoritaire et despotique. Aujourd’hui, nous
constatons que le royaume du Makhzen projette toujours ses échecs et sa
déconfiture sur un ennemi extérieur, qui par jalousie cherche à le
déstabiliser. C’est juste une façon dissimulée et clairement bien dégueulasse
en jouant sans retenue avec l’espoir du peuple de préparer cette fuite.
Tout
le monde s’accorde à dire que le Royaume du Makhzen est un pays très pauvre,
pour tout touriste le contraste est violent entre les richesses concentrées sur
une poignée de personnes (les sujets du Makhzen), la petite classe moyenne qui
existe et le reste de la population qui est parmi les plus misérables du Monde
: il y a trop d’insolence entre l’amas de richesse et l’immense pauvreté.
Pauvre
peuple marocain encore en plein angélisme, gouverné par le pire des monarques,
entouré d’une meute de baisemains et lèches babouches, mais qui tous
nourrissent une revanche, une haine noire silencieuse à l’encontre du pouvoir
du Makhzen, alors il me semble qu’il est grand temps à ce que le peuple
marocain dans sa globalité se regarde dans le miroir, pour rejeter et dénoncer
la servitude volontaire et une révolution au royaume du Maroc se produirait
inévitablement.