L’esclavagisme Transatlantique : le crime sous bénédiction de l’Eglise !

Les liens entre l’institution ecclésiale  et esclavage sont complexes L’obtention du salut pour les esclaves est considérée comme de première importance par les théologiens,  et  incite les esclaves à l’obéissance envers leur maître s’ils veulent être sauvés. Les théologiens chrétiens considèrent que, dans la mesure où ils ont été acquis légalement comme esclaves sur les côtes d’Afrique, la traite et la servitude sont légitimes.

On ne peut parler ici de falsification de l’histoire. La traite occidentale est une réalité, qui a d’ailleurs duré plus longtemps que la traite d’autres sociétés. Le discours catholique reste influencé, par l’adage : « Hors de l’Église, pas de salut. » et fait ressentir aux protagonistes leur grande noblesse mais l'Eglise elle donne en plus des leçons.

L'esclavage et plus particulièrement la traite des noirs ne datent, ni l'un ni l'autre, de l'ère chrétienne. Cependant, force est de reconnaître que son ampleur a bien été l'œuvre de l'Occident chrétien. D'abord, au 15ème siècle, le Portugal fut le premier royaume blanc et chrétien négrier, grâce au soutien financier de l'Ordre du Christ Jésus. Ensuite, les Portugais inventèrent le funeste commerce triangulaire, vers 1470, pour l’Europe chrétienne, poursuivre la conquête de l’atlantique est une nécessité.

La papauté favorise l’expansion portugaise, apportant sa caution morale, le pape accorde des « droits à coloniser » et va même jusqu’à autoriser un « esclavage perpétuel ». Les razzias peuvent donc se poursuivre dans un cadre légal. Des droits de propriété sont accordés pour l’appropriation de territoires africains découverts le long de la côte africaine. Les armateurs et navigateurs construisent leur fortune sur la traite d’esclaves.

En un siècle, Lisbonne devient la ville la plus riche d’Europe, devant Paris, Londres ou Amsterdam. Le nombre d’esclaves noirs y augmente de plus en plus,les esclaves n’ayant pas droit à une sépulture, le roi Manuel règle la question en faisant creuser un puits très profond et en y jetant les cadavres recouverts ensuite de chaux vive. La rue « du puits des nègres » en témoigne encore aujourd’hui. On dénombrait environ 10 % de la population noire à Lisbonne. Des centaines de milliers d'Africains furent vendus aux enchères, comme des marchandises, au Portugal, puis au Brésil (ex-colonie portugaise).

Ensuite, les juifs de la finance, prirent le relais, très lucratif, des Portugais. Ils  gèrent et industrialisèrent le nouveau commerce triangulaire, celui transatlantique. En l'espace de 200 ans, ils firent massivement le commerce d'êtres humains, noirs, déportés d'Afrique vers le Nouveau Monde. un territoire réservé des chrétiens blancs !

En France, à la même époque, le Roi Louis XIV Très Chrétien, édicte le célèbre et terrible Code noir, qui élève l'Africain (esclave nègre) au rang, non pas d'être humain, mais de simple marchandise, d'outil agricole, au service de son maître, qui doit obligatoirement le faire baptiser afin que Jésus soit en lui, puis, après, il aura le droit de vie ou de mort sur lui. Il ne faut pas oublier, en sus, que le Code noir régissait dans les colonies françaises l’ensemble des soumissions et tortures légales des esclaves. Ce Code fait expressément référence à l’église catholique seule religion autorisée dans les colonies, monopole sur le marché de Dieu.

Ces faits historiques et non exhaustifs étant un rappel que les textes de la Bible chrétienne montrent clairement que Jésus tolérait l'esclavagisme. Et, de toute façon, avec un vide de 18 Années sur sa vie, allez savoir s'il n'était pas lui-même esclavagiste  (les preuves manquent). Jésus était un zélote, c’est à dire un anarchiste de première Selon les écritures Jésus disparaît dans le désert pendant 40 jours, et beaucoup pensent que c’est à cette période qu’il prend contact avec une secte gnostique : les Esséniens. Ensuite, il y a les écrits  qui se sont étalés sur plusieurs siècles (anciens et nouveau testaments) et quand un scribe (ils n’avaient pas le droit de savoir lire) ne comprenait pas une lettre, il écrivait n’importe quoi. C’est une chose attestée depuis longtemps.

Comment cette chère église d’amour et de justice avait pu commettre toutes les atrocités qui sont liées à son histoire.

Quelle religion a autant de morts sur la conscience que celle de Jésus ?

L’église était propriétaire d’esclaves. Elle avait des exploitations qui pratiquaient l’esclavage. Elle s’est enrichie avec la traite négrière, alors les ecclésiastiques tels le Père Labat n’auront aucun problème de conscience pour devenir des propriétaires d’esclaves.

J’estime que l’église de l’époque avec sa morale évangélique aurait dû rejeter l’esclavage, cependant l’une des justifications historiques de l’esclavage avait été l’évangélisation surtout avec le Nouveau Testament les églises chrétiennes ne purent pas non plus y découvrir d’appel à abolir l’esclavage…

L’Eglise a continué jusqu’à nos jours avec son obscurantisme, ses magouilles financières, et ses perversions qu’elle continue à dissimuler, faut-il se réjouir de cet effacement progressif du christianisme ?

Oui: le christianisme était porteur d’une morale assez simpliste, mais méprisable. L’affaire de la pédophilie, qui prend des proportions extravagantes, n’est pas faite, évidemment, pour la redorer et va accentuer le désarroi des âmes simples qui ne sont pas capables de se tenir debout toutes seules et ont un grand besoin d’être étayées par les croyances qu’on leur fabrique. L’église à 2000 ans d’histoire, elle a été confrontée à des crises énormes, elle a commis des fautes et des erreurs nombreuses car humaines L’Inquisition est le fait de l’Église ? Et les persécutions de femmes (« sorcières »), de savants, d’« hérétiques » qui ont brûlé sur tant de bûchers ? Les persécutions de juifs pendant des siècles ? Le vol et la maltraitance d’enfants, les conversions forcées, etc. etc. Aujourd’hui la canonisation d’imposteurs (Padre Pio, Foucault) de génocidaires (Junipero Serra), de sadiques (Mère Teresa) prouvant que le mensonge et l’esprit du mal sont toujours là. La civilisation chrétienne est en train de disparaître.

A partir du moment où l’église s’estime être dépositaire des vérités ultimes, ce qui est une preuve indiscutable de ridicule, elle se croit tout permis!

Il convient par conséquent de rendre au christianisme ce qui lui revient et comme partout, le christianisme cherche encore sa route et ça ose parler d’esclavagisme des autres !

 

 

L’esclavage pratiqués par les Juifs : Un crime contre la vérité !

Les Égyptiens, Les Grecs, les Romains, les Byzantins et les Chinois avaient des esclaves, bref, je crois pouvoir dire que l’esclavage était largement partagé à toutes les époques et par toutes les civilisations. Cependant la palme d'or du commerce de l'esclavage revient aux juifs, qui depuis prés de 20 siècles ont fortement dominés le secteur de ce commerce et un peu plupart la traite négrière.

Le passé juif de commerce et de la pratique d’esclavage se justifié par certaines interprétations talmudiques de la Torah qui illustre parfaitement cette dimension religieuse dans le comportement des juifs, envers les autres peuples suivant, le judaïsme qui reconnaît explicitement le droit de posséder des esclaves non juifs,  quelques citations d’écrits religieux juifs :

«Le peuple de Yahvé est le peuple distingué parmi tous les peuples. » (Exode, 33/16)

«Israël est le peuple élu entre toutes les nations » (Deutéronome. »10/15).

«Le Seigneur t’a choisi pour être peuple à Lui parmi tous les peuples de la terre» (Deutéronome, 14/2).

« Tous les peuples que le Seigneur ton Dieu te livre, tu les dévoreras, tu les regarderas sans pitié » (Deutéronome, 7/16).

« De tes fils tu feras des princes par toute la terre » (Psaume 45/17).

« Yahwé a mis Israël à la tête de toutes les nations » (Psaume 18/44).

« Le Seigneur ton Dieu, exterminera les peuples chez qui tu te rends pour les déposséder de leur territoire » (Deutéronome, 12/29).

« Les dieux des autres peuples sont des fantômes, des idoles et des démons » (Deutéronome, 32/17).

« Aux serviteurs des idoles, il faut faire une guerre d’extermination. » (Deutéronome, 13/16-18).

Au moyen âge, c’était Juifs, à leurs richesses, à leurs trafics d'esclaves que, dans la première moitié du IXe siècle, devait s'en prendre l’église catholique, les accusant de voler des enfants chrétiens et de les mêler aux troupes d'esclaves païens destinés aux marchés espagnols. Les marchands juifs de Verdun étaient accusés de transformer en eunuques les esclaves provenant des pays germano slaves afin d’alimenter un trafic prospère dans le sud de l’Espagne (musulmane) à Cordoue. Ils rapportent d'Occident des eunuques, des esclaves des deux sexes, du brocart, des peaux de castor et des autres fourrures et des armes

L'esclavage est mentionné dans les sources juives (Pentateuque et Talmud) et, à ce titre, les Juifs intègrent également une pratique courante des sociétés gréco-romaines.

Dès les origines de l'époque biblique, l'esclavage est considéré comme un châtiment ("Maudit soit Canaan ! Qu'il soit l'esclave des esclaves de ses frères" Gen. IX 25), et comme une dégradation, conséquence d'un comportement immoral ("Cham, père de Canaan, vit la nudité de son père et alla dehors l'annoncer à ses deux frères" ibid. Gen. IX 22).

Un argument théologique et un simple alibi mobilisé par les partisans de la traite afin de la justifier. Les juifs l’utiliseront souvent pour légitimer l’esclavage des Noirs en les désignant comme les « descendants de Cham ». La version déformée de la malédiction de Cham qui avait servi de justification idéologique à l'esclavage des Noirs, les descendants de Cham étant devenus Noirs. C'est exact, mais dans la tradition de Maïmonide, cette tradition déformée était répandue largement dans le Judaïsme. L'esclave étranger n'est pas sur un pied d'égalité avec l'esclave juif (au statut temporaire et qui n'est pas la propriété du maître) :

"Ton esclave ou ta servante, que tu veux avoir en propre, doit provenir des peuples qui vous entourent ; à ceux-là vous pouvez acheter esclaves et servantes. Vous pourrez en acheter encore parmi les enfants des étrangers qui viennent s'établir chez vous, et parmi leurs familles qui sont avec vous, qu'ils ont engendrées dans votre pays : ils pourront devenir votre propriété" (Lév. 25 44-45)".

Ils ont farouchement défendu la traite négrière, jusqu'a son abolition les propriétaires de ces bateaux étaient Juifs, comme souvent même les capitaines pour  monopoliser la totalité du trafic d’esclaves (par exemple, au Moyen Age, la traite de « l’or blanc et blond » d’Europe vers l’Arabie). De plus, certains indices très concrets semblent démontrer qu’actuellement la traite d’êtres humains en provenance d’Asie, d’Amérique latine et d’Afrique vers l’Europe est dirigée par des membres et associations de passeurs juifs avec des milliards de profit.

Ainsi Moïse Maimonide né à Cordoue en 1138, dans l'Espagne alors musulmane et mort au   Caire  en 1204, est considéré aujourd’hui comme l'un des meilleurs exégètes du Talmud. Dans son traité "Le livre des égarés" il écrivait :

"Quant à ceux qui étaient hors de la ville, ce sont tous les hommes qui n'ont aucune croyance religieuse, ni spéculative, ni traditionnelle, comme les derniers des Turcs à l'extrème-nord, les nègres à l'extrème-sud et ceux qui leurs ressemblent dans nos climats. Ceux là sont à considérer comme des animaux irraisonnables; je ne les place point au rang des hommes, car ils occupent parmi les êtres un rang inférieur à celui des hommes et supérieur à celui des singes, puisqu'ils ont la figure et les linéaments de l'homme et un discernement au celui de celui du singe"!

Voici ce qu’écrivait Israel Shahak dans son livre « histoire juive-religion juive » : « j’ai à maintes reprises dénoncé en termes très durs le sionisme et l’oppression des palestiniens, mais ce qui m’a attiré les pires attaques, c’est un de mes premiers articles sur le rôle des juifs dans le trafic des esclaves, où je signalais, exemple vérifiable à l’appui, que ce trafic durait encore en 1870 ».

Selon le témoignage du général Daumas, publié en 1856, il disait : le commerce des esclaves conserve encore une certaine activité à Oran. Les juifs en sont les courtiers ordinaires »...

On a pu retrouver une grande partie des actes de possession d’esclaves que des juifs avaient consignés dans des synagogues. Le plus marrant n'est pas le silence au sujet de la traite transatlantique par des esclavagistes juifs la plus camouflée est bien innocente en fait avec ses émasculations systématiques et ses vaisseaux de la mort en plein mer, et qui n'a rien d'émouvante, effectivement, pour un antiraciste ordinaire: la Torah l'autorise.

Ce qui ressort de toutes ces charlataneries, l’envie juive de dominer n'est jamais en doute !

Comme on dit très souvent, la violence n’est toujours pas du coté que se croit, la doxa médiatique dominante prétend que commerce triangulaire n'existe pas, ou l'ignore totalement, alors qu'elle est encore résiduelle aujourd’hui.

Que les Juifs aient été les principaux esclavagistes n'était déjà pas un secret, que les Arabo-musulmans furent les acheteurs et marchands d’esclaves, que les Européens ont pratiqué le commerce triangulaire pendant environ trois siècles … tout cela est vrai et surtout devrait être porté à la connaissance des racistes actuels qui ne voient que des Arabes dans cette affaire. Si ces derniers ne furent pas des anges ce ne furent certainement pas les pires !
Savent-ils que l'émasculation de leurs ancêtres était le fait, non seulement des Arabes, mais surtout des marchands Juifs. En effet, la mortalité suite à cette castration était telle que les Arabes préféraient acheter des esclaves déjà castrés et opérationnels.

Il est donc nécessaire de signaler que les juifs ont joué un rôle central dans le trafic d’esclaves africains.

Selon l’auteur Américain Lenni Brenner disait que  « dès le début de l’époque coloniale, des hommes d’affaires juifs furent impliqués dans le commerce des esclaves sur le continent nord-américain et participèrent à l’infâme commerce triangulaire ».

en juin 2009, le journal  Financial Times a révélé l’existence des archives nationales prouvant l’implication du banquier juif Nathan Rothschild dans la traite négrière.

Dans le livre « the secret relationship between blacks and jews », la responsabilité massive des juifs dans la traite des esclaves est bien mise en évidence et ils ont été les champions toutes catégories du commerce des esclaves?

Entre 1661 et 1666 à Oran comme à Melilla ou à Ceuta, la communauté juive manifestait un remarquable dynamisme. Le marché d’esclaves, qui dans ces conditions était d’une extrême activité, Interprètes, espions, guides lors des expéditions conduites dans les terres des alentours, collecteurs d’impôts, prêteurs, marchands enfin, les juifs d’Oran participaient à toutes les transactions. Le commerce des esclaves, l’un des plus considérables et des plus fructueux, ne pouvait échapper au contrôle des membres des familles juives locales avec tous les aspects du phénomène servile.

Ceci n’a jamais été non plus évoqué par les sicaires sionistes qui exercent ainsi, un véritable racket intellectuel, financier et moral sur les sociétés occidentales. Ce qui leur permet dans un deuxième temps, la poursuite de leurs crimes en toute impunité.

Il y a bien pire que les esclavagistes, ce sont les négationniste d’aujourd’hui, ou les inverseurs de rôle, au sujet de cette aspect de l’histoire et s’appuyant sur des éléments fantaisistes et des inventions qu’elles propagent comme historiques, de même que de vouloir faire du bourrage de crâne comme c’est le cas avec la Shoah par exemple, provoque l’effet inverse tant la culpabilisation est lourde. Et ce concours victimaire prend aujourd’hui des proportions absurdes parce que les juifs  veulent toujours détenir la palme de la souffrance et de la maltraitance, quitte à inventer des faits historiques non avérés par l’Histoire et l’archéologie.

Pourquoi ne font pas le hallali contre les Grecs, les Romains eux aussi étaient des esclavagistes et surtout que les Arabes étaient loin d’avoir le monopole sur cette pratique qui a été mise en œuvre dans toutes les grandes civilisations, on inverse les rôles et les responsabilités et on pratique l’inversion accusatoire ?

Je me souviens avoir lu que des commentateurs juifs avoir réagir aux propos d’un universitaire qui expliquait que la traite negriere s’était faite en Afrique avec la complicité des Juifs du continent européen, en effet tous ces commentateurs sans exception et sans la moindre nuance dans les propos, s’affirmaient être scandaliser qu’on puisse oser énoncer une chose pareille (que des Juifs participaient a la traite) alors que c’est pourtant un fait historique indubitable et parfaitement établi ! Ce n’étaient que des hurlements de protestation envers une vérité historique qui tombe sous le sens. L’histoire des juifs est à l’image de ceux-ci, mêlant le pire et le meilleur.  Le juif a encore des efforts à faire.

 

 


 

L’esclavage n’était pas le fondement du Monde Arabo-Musulman !!!! :

 « Ce que je crois vrai, c’est que l’esclavage chez les musulmans, est meilleur que ce qu’il est chez les autres, et le statut des esclaves en Orient est meilleur, que celui des domestiques en Europe, et les esclaves en Orient font partie de la famille (du maître), et ceux d’entre eux qui veulent recouvrer leur liberté, l’obtiennent dès qu’ils en manifestent le désir. Mais ils ne font pas usage de ce droit.» Gustave le Bon, La civilisation des Arabes, (p.450-460)

Il faut arrêter de regarder l'histoire avec la morale occidentale d'aujourd'hui, Les manuels d'histoire n'ont jamais véritablement respecté la vérité historique, ce sont devenus aujourd'hui des outils de propagande, la transmission des savoirs a été remplacée par un discours vide de sens, le médiocre a supplanté la rigueur. Beaucoup d’événements dans l'histoire, sont déformées, dissimulées encore plus inventées ou pure fabulation.

L’esclavage a partout et de tout temps fait partit de la nature humaine, l’esclavage, est l’un des rares traits qui fussent communs à toutes les civilisations. Partout dans le monde, l’esclavage était  une institution normale, aussi ordinaire qu’elle l’était dans la Grèce antique, chez les Byzantins, les Romain, les Perses, les chinois, Europe préindustrielle et l’Amérique et pratiquée sur une échelle massive.  Bref tout le monde

La tromperie par la manipulation du récit historique de l'histoire des peuples, en occultant certains faits, en tronquant certaines vérités constitue à mes yeux une sorte de crime contre l'humanité. Une telle falsification de l’Histoire cherche évidemment à redonner du souffle au vieux mythe de l’esclavage Arabo-Musulmane naît dans les milieux suprématistes occidentaux ainsi que par des démagogues chrétiens et juifs. Ces derniers, ce faisant, instrumentalisent hypocritement la souffrance des victimes de la traite, et la mémoire qu’ils ont léguée à leurs descendants, au nom d’un discours de haine.

Elles permettent de déduire que la traite orientale a été organisée et dirigée par des esclavagistes musulmans et non par les juifs, comme ont voulu le faire accroire les prétendus historiens, en fait des falsificateurs. Cette  traite  négrière, organisée et dirigée par des esclavagistes juifs, n’avait atteint les sommets de la sauvagerie et de la barbarie bien plus qu’ont connues les traites négrières organisées par l’Occident. Il est grand temps de régler, à l’heure exacte, la pendule de l’histoire.  

En somme, l’esclavagisme n’a rien de spécifiquement Arabo-Musulmane. Le fait que ce sont des Noirs d'Afrique qui capturaient d'autres Noirs d'Afrique, leurs frères puis qui les revendaient ensuite à des négriers européens, sans oublier de noter que l’activité de la communauté juive y était orientée essentiellement vers une pratique particulière dont elle avait le monopole: la traite des esclaves castrés par des médecins juifs avant expédition vers le Califat de Cordoue. Arrêtons de juger le passé à l’aune de la moralité d’aujourd’hui ! L'esclavage est une constante de l'Humanité...le vainqueur fait du vaincu son esclave...on trouve toujours une "bonne raison" pour soumettre le plus faible...

Oui il faut le dire et il faut le répéter : pendant plus de trois siècles, ce sont des chefs de tribus Noirs d'Afrique qui se sont grassement enrichis sans scrupule, sans vergogne et sans aucun remords grâce aux considérables bénéfices tirés du commerce de la traite avec les Européens... La plus grande ignominie de l'esclavage ne tient pas en l'asservissement du Noir d'Afrique, par un autre peuple, mais réside en les honteux, scandaleux et impardonnables profits colossaux que des chefs des tribus noirs ont réalisés grâce au juteux commerce de la traite en revendant à prix d'or d'autres hommes noirs à des Européens. lors qu’elle a été organisée et dirigée de bout en bout par des esclavagistes juifs avec un quasi-monopole des marchands juifs dans la castration des eunuques, dont Verdun serait le principal centre, et plus généralement dans le commerce des esclaves à destination du monde musulman, en particulier par l’intermédiaire d’al-Andalus. Ainsi donc le commerce d’esclaves slaves entre la Gaule carolingienne et al-Andalus serait un quasi-monopole des marchands juifs du fait de leur neutralité confessionnelle et des facilités que leur procurait leur réseau de communautés. Confirmée par le Kitâb al-masâlik wa-l-mamâlik du persan Ibn Khordadbeh composé entre 846 et 885. Dans le passage bien connu traitant des juifs « radhanites », l’auteur rapporte que le troisième itinéraire de ces marchands juifs, qui vendaient entre autre des esclaves et des eunuques (slaves), partait de Gaule et d’al-Andalus pour se rendre en Orient via le Maghreb. Que dire alors de la place de l’Occident et de ses centres de castration dans le commerce d’esclaves slaves?   

A travers sa description des itinéraires empruntés par les marchands d’esclavages Lisbonne, Séville, Málaga, Valence, étaient des lieux d’arrivée régulière de contingents d’hommes et de femmes alimentant les marchés où les particuliers venaient s’approvisionner.

Pendant de longues siècles, les juifs seront les uniques intermédiaires commerciaux entre l’Orient et l’Occident, ils auraient été les premiers légitimé l’esclavage dans leur religion ; obsédés par l’argent, ils auraient également initié et organisé la « traite négrière », d’où ils auraient tiré cette immense fortune qui, comme chacun sait, leur permet de tirer les ficelles de la politique mondiale. Ils ont joué en revanche, comme en témoignent d'innombrables auteurs juifs, un rôle déterminant dans ce domaine, à tous les niveaux. Compte tenu de leur habileté incontestée en matière commerciale et financière, de leur grande mobilité, de leurs attaches communautaires et de leur expérience passée remontant aux premiers siècles du Moyen Age. Bien sûr, le rôle joué par Eglise catholique a été bien pire  en particulier dans les colonies africaines. La différence, c'est que tout le monde a le droit d'en parler, alors que la question de la responsabilité juive est totalement taboue.

Mais il est délectable au passage de rappeler qu'il n'y a pas que les nations arabo-musulmanes et de se demander en toute innocence ce qu'il en était, au fait, de la possession d'esclaves au sein des autres communautés à travers le monde.

Cette orientation polémique mise sur la traite Arabo-Musulmane relève souvent d’une intention grave afin attiser une haine anti-islam en tant que tel, une injure à l’honnêteté, la bonne foi et la justice, La supercherie se donne des airs de noblesse dans le but de pourvoir les dénigrements et  rééquilibrer la traite atlantique avec 12 Millions de personnes touchés contre probablement 17 Millions de personnes pour la traite Arabo-musulmane, une guerre de chiffre pour grossir l’une par rapport à l’autre. Une véritable tendance à minimiser ou occulter les formes d’esclavage pratiquées dans les pays du monde occidental. La haine masquée en mode dédiabolisation provisoire pour faire oublier ce qui intéresse le citoyen, la traite de l'esclavage pratiqué par le monde Occidental. Bientôt, ils diront c'est pas nous c'est les Arabo- musulmans.

J'aimerais faire comprendre en quoi l'islam, une religion qui prône le respect pour chaque être vivant sur cette terre quel qu'il soit, la dignité de chaque être, ainsi que son intégrité physique et psychologique peut-il tolérer l'esclavage pour ménager un peuple dont le droit de vie ou de mort sur un être humain est monnaie courante depuis des siècles ?                                    

J'aime également faire des comparaisons entre le monde islamique et le monde chrétien, sans pour autant chercher à établir une hiérarchie qui pour moi n'a pas de sens.

C'est pourquoi, je me suis permis de citer Luc 12.47

« Le serviteur qui, ayant connu la volonté de son maître, n'a rien préparé et n'a pas agi selon sa volonté, sera battu d'un grand nombre de coups. »

Ainsi nous relevons que Jésus Christ donne sa vision des relations entre maître et esclave, vision s'inscrivant dans un cadre plus vaste qui celui des soumissions réciproques puisqu'il aborde aussi la punition réservée à cet esclave.. Ainsi on peut aisément voir que les valeurs humanistes n’étaient pas le coeur doctrinal de Jésus Christ et dans les évangiles Jésus n’a jamais formellement condamné l’esclavage mais on pourrait soutenir qu’il lui a plutôt été favorable comme on peut le voir dans la  parabole citée plus haut.

Paul recommande aux esclaves d’obéir à leurs maîtres avec crainte et tremblement comme au Christ.

Pour le Père de l’Eglise saint Augustin, le fait que des hommes soient esclaves est une conséquence du péché des hommes, avoir des esclaves  n’est ni contraires à la loi naturelle, ni à la loi Divine ni même à l’esprit de l’Évangile.  Donc non seulement le Nouveau Testament n’est pas formel contre l’esclavage, mais ce qu’il dit est favorable à son principe. Par ailleurs le livre de l’Ecclésiastique nous donne le détail suivant ’’A l’esclave il faut comme à l’Ane ni plus ni moins de la pâture, des cordes  et du travail’’. Quand, aujourd'hui, les nations chrétiennes oublient quel est exactement leur héritage, et d'où il vient, par choix culturel, cet héritage chrétien, renié et inconnu, se manifeste à leur insu sous une forme dénaturée des plus idolâtres. Pourtant L’Eglise catholique est devenue, au 15e siècle, la première institution mondiale à déclarer que «les vies noires ne comptent pas»  au moyen d’une série de bulles papales, dont Dum Diversas, de Nicolas V, en 1452. Le texte accorde en effet aux rois d’Espagne et du Portugal «la permission complète et libre d’envahir, de rechercher, de capturer et de soumettre les Sarrasins et les païens et tous les autres incroyants et de réduire leurs personnes en servitude perpétuelle». Avec la bulle du pape Alexandre VI Inter Caetera (1493), l’Eglise a non seulement autorisé l’asservissement des Africains et la capture de terres non chrétiennes, mais aussi apporté sa caution morale au développement du commerce d’esclave transatlantique.

 

En résumé, il demeure donc établi que la Bible (Ancien et Nouveau Testament) fournissent au contraire un appui à l’esclavage. Ce qui est plus étonnant, la pratique n’est jamais dénoncée comme un mal en soi, et aucun des grands personnages de la Bible, à commencer par Jésus lui-même, ne s’est élevé contre l’esclavage d’une manière catégorique. La caution de l'esclavage sur une base raciale semble trouver son origine dans les écrits des Pères ou des Saints de l'Eglise comme Origène d'Alexandrie et Ephrem le Syrien. Ainsi l’église catholique n’a t-elle pas abusé sur une idéologie de légitimation de l’Esclavage des Africains et de leurs descendants d’un point de vue doctrinal, l’église a vulgarisé la fable de la descendance de Cham, fils maudit de Noé dans la Bible, condamné à n’être à jamais que l’esclave de l’esclave de ses frères, identifiant les Africains aux descendants de Cham…

Donc la pratique de l'esclavage par les Juifs est autorisée par la halakha, la loi juive, sous certaines conditions restrictives et l'on retrouve de fait au cours de l'histoire des Juifs impliqués dans le commerce des esclaves ou possédant des esclaves pour leur propre usage. Les Juifs auraient eu un poids prépondérant dans la traite atlantique, la finançant en grande partie sans trop insister sur la cruauté particulière des esclavagistes juifs.

La traite chrétienne a toujours duré malgré une lecture sélective du passé puisque plusieurs groupes chrétiens et juifs servaient de pourvoyeurs aux négriers. Avec l'extension de l'Empire chrétien en Europe, traite et esclavage restèrent florissants et des villes comme Marseille, Gêne ou Venise, offrant de grands marchés d'esclaves, alimentés par des raids terrestres et également maritimes.

L’esclavage n'est pas une réalité identique pour tous les temps, à l'époque carolingienne, les captifs slaves destinés aux marchés orientaux étaient quant à eux castrés à Verdun, principal marché d'étape de ce trafic, avant d'être exportés via Venise vers le moyen orient et l’extrême orient.

Côté musulman, l’esclavage a paru d’autant plus discret qu’on l’a présenté, à tort, comme moins meurtrier, moins capitaliste, plus calmant et plus paternaliste que la traite transatlantique. Les formes d'esclavage, du monde musulman, ont été sans doute particulières et peut-être peu raciales, en plus des classiques travaux domestiques, artisanaux ou agricoles, les esclaves peuvent devenir favoris, conseillers, chambellans, et surtout soldats, et surtout que l'asservissement des prisonniers de guerre n'était pas pratiqué par les premiers Califes.

Contrairement à la chrétienté, l’islam une religion égalitariste aurait réuni et assimilé les esclaves convertis au sein de la communauté des croyants, le caractère moins marqué des différenciations raciales a sans doute facilité les procédures d’assimilation, relativement à la traite européenne, très marquée par les clivages entre Noirs et Blancs. 

Des esclaves devenus musulmans se virent ainsi confier d’importantes fonctions politiques et militaires. En Egypte, par exemple, la fameuse dynastie des mamelouks alla jusqu’à s’emparer du pouvoir au XIII° siècle. De son côté, Tarek Ibn Ziad, Berbère devenu Musulman, se fit remarquer par son habileté au combat et finit par conquérir l’Espagne.

Aujourd’hui le musulman est chargé de tous les maux de la Terre par ceux qui ont bien profité dans l’ensemble de ses apports â leur civilisation. Même si le côté sombre n’est pas à nier. Il a souvent privilégié ses intérêts économiques aux dépens de préceptes moraux universels. L’esclavage période douloureuse de l’histoire humaine est le fruit de plusieurs acteurs de l’humanité mais on retient surtout que celui de l’homme Musulman.

Terrible constat d’une différenciation entre les hommes malgré tous les préceptes religieux

Si l'on insiste autant sur l'esclavage des blancs, notamment par la propagande médiatique qui ne parle que d'elle, c'est avant tout par ethnocentrisme. Il faudrait savoir, soit l'on aborde l'histoire comme un processus universel et dans ce cas on a une approche anthropologique ou on explique que l'esclavage n'est qu'une extension de la propriété privé que toutes les sociétés à un certain stade de leur développement usent, et que l'esclavage systémique n'est que le résultat d'un degré de développement matériel supérieur de la civilisation concernée par rapport à celle qui ne font pas de l'esclavage un système aussi vaste.

De tout ce qui précède, il résulte ceci : prêter aux Arabo Musulmans un rôle majeur, quasi-monopolistique, dans la traite des esclaves  est un mensonge historique. Ce mensonge repose sur une falsification caractérisée des archives et des travaux d’historiens sur la question, voire des plus élémentaires sources musulmanes qui ne sont prises en compte.

Non que les musulmans aient davantage fait preuve d’idéalisme que les autres mais par le fait qu’ils aient joué un rôle des plus réduits dans l’organisation de l’esclavage résulte sans doute, directement ou indirectement, des persécutions racistes. Dans cette logique, il est d’autant plus piquant de leur prêter, rétrospectivement, un monopole qui leur était interdit par l’Islam.

Comme je ne me lasserai jamais à le répéter, le Qur’an n'est pas un livre Scientifique mais plutôt un livre de "Signes". Ces signes invitent l'homme à réaliser le but de son existence sur la terre, et à vivre en harmonie avec la nature.

Si Dieu ne nous parlait pas de l'esclavage, comment devrait-Il alors faire pour nous obliger a l'abolir et affranchir la société de ce caractère inhumain et de cette absence totale de Morale. Si l’Islam est apparu alors que le monde était encore en pleine transition entre l’ère esclavagiste et l’ère féodale, alors nécessairement, certains mots font allusion à cette étape du développement historique afin d'y mettre fin. Il est important de signaler que l'islam a bien pris naissance dans un monde ou l'esclavage était un élément de société, et pourtant l’Islam accorda un statut aux esclaves différent de celui accordé précédemment par toutes les civilisations précédentes. L’Islam a commencé par exiger le bon traitement des esclaves les citant en ce sens, mais, par la grâce divine, cette grande religion ne s’arrêta pas là, car sa base fondamentale et suprême est l’égalité complète entre les hommes, ce qui signifie la libération complète de tous les hommes

Le Qur’an reste le seul livre religieux établissant un plan d'état et privé d'affranchissement systématique et progressif des esclaves, tout cela en sachant que l’Islam a clairement et catégoriquement interdit la pratique primitive de la capture d’un homme libre, pour le réduire à l’esclavage.

 

 

En Algérie, Nous avons bien le droit de refuser l’évangélisation !

Personnellement je n'ai rien contre le chrétien lambda et sa présence en Algérie, mais seulement je dénonce l’exercice prosélytisme des ONG chrétiennes en terre musulmane, à l’exemple de Caritas  Algérie  déployé par l’Église catholique à travers le pays depuis plusieurs années vient d’être  inviter à cesser son activité dés le 1er octobre. Les autorités ecclésiales locales expliquent dans un communiqué que cette décision a été prise « conformément à la demande des pouvoirs publics ». Motif : Caritas Algérie serait « une organisation non autorisée ». Caritas Algérie a été constituée le 28 juin 1962, une organisation caritative nationale qui travaille avec le soutien de son Église et membre de la Confédération Caritas Internationalis. Caritas Algérie se préoccupe et intervient également auprès des migrants en situation irrégulière qui traversent le pays en provenance d’Afrique subsaharienne. Pourtant les migrants questionnés à propos de cette organisation, ignorent totalement son existence, aucun d’eux n’avait été approché par cette Caritas tant au niveau de Ouargla, de Biskra, d’Adrar, de Bechar ou d’Oran.

On sait qu’à travers des ONG, le service de l’Église (humanitaire) mène depuis plusieurs années des actions humanitaires auprès des migrants visant un message christique qui revient par des voies peu honnêtes au prosélytisme sous couvert d’un soutien social et médical et d’un accompagnement vers la reprise en main de leur vie. L’Algérie est aujourd’hui considérée comme un pays de transit pour les migrants subsahariens qui rêvent d’aller en Europe. Certains trouvent auprès des services de l’Église catholique d’Algérie l’aide et le soutien dont ils besoins pour pouvoir survivre sur le chemin de la migration irrégulière. À la condition que ces soutiens ne fassent suer personne dans l'espace public en conservant la discrétion idoine et en respectant les principes de la Réglementation Algériennes pour les manifestations cultuelles dans l'espace public.

Il me semble savoir que la situation des migrants en terre chrétienne n’étant pas meilleure,  et surtout reste plus dramatique ou mieux encore le chrétien évangélisateur dans un pays autre, alors qu’en terre chrétienne les lieux de culte chrétien sont quasiment vide, les curés on les importe d'Afrique (des migrants) et mêmes les mariages on préfère les célébrer à la mairie. Alors l’action chrétienne doit être avant tout axer vert de ceux qui en France ont déserté l’Église au point que celle ci n’est plus sa fille aînée.     

La constitution Algérienne affirme que nous sommes un pays musulman, en bousculant sans vergogne ce que la culture et l'éducation musulmane ont réussi à construire en Algérie, et c’est largement mieux qu'un ramassis de délires mystiques. Si on rajoute les vraies fausses églises évangéliques, les Jéhovah et leurs délires, les mormons etc…, la chrétienté n'est pas en mal de bizarreries. 

Le problème n'est donc pas les chrétiens, on sait d’eux que chacun étant différent, et libre de ses croyances, mais leur prosélytisme, cette fâcheuse habitude à l'affichage ostensible d’une croisade dite évangélique est faite sous le prosélytisme ou le devoir d’évangélisation, ces activités peuvent se définir comme «le zèle déployé pour répandre la foi et rallier des personnes à une doctrine.», alors que la foi s'accommode de la liberté de penser, de sens critique, d'écoute de l'autre, celui qui croit autrement ou qui ne croit pas. L’histoire retiendra ce paradoxe incroyable.

Aujourd’hui, l’Église reconnaît enfin les multiples scandales en son sein (pédophilie, viol de nones, homosexualité des clercs, emprises et abus de pouvoir, cléricalisme, dérives sectaires). Demain, il lui faudra reconnaître le plus grand scandale qui aura permis tous les autres : son Imposture à vouloir évangéliser le monde.

Or, les fanatisés du prosélytisme sont, pour la plupart, incultes, profanes, indigents cérébraux et plus matérialistes que leurs aînés, qui l’exercent avec coercition, persuasion malhonnête, ou simplement peu loyale avec un manque au respect de la liberté autrui, dans l’annonce de leur Évangile supposé apporté une vérité toute relative alors que  la religion chrétienne avec une foi émotionnelle, superficielle semble à se réclamer avoir le monopole de la vérité. Ces religieux de l’Église brandissent l’Évangile comme un guide, une identité, un pouvoir, une fierté. C’est leur paresse qui est flattée et entretenue par la multitude de droits et à développer leurs talents. Des frustrés, jaloux et envieux de ceux qui, parmi leurs coreligionnaires ont étudié et réussi à choisir d’autres voies plus véridiques.

L’exemple le plus flagrant est la relation entre catholiques et protestants. L’ouverture de ces deux groupes, l’un vis-à-vis de l’autre, ne s’est pas faite, après des siècles de conflits et d’hostilité, grâce à de prétendues valeurs de modération et de tolérance qui seraient essentiels à leurs doctrines, à leur intégration dans les institutions de la société moderne : l’école, l’université, le marché économique, l’entreprise…Et lorsque chacun a régressé vers sa doctrine initiale, pour pratiquer chacun à sa manière cette doctrine. Cette imposture idéologique avait pour but de combattre l’islam.

Le principal credo a toujours un rôle important d’évangélisateur, cette nécessité d’évangéliser a été fortement rappelée dans le deuxième concile du Vatican, c’est toute l’Église qui a reçu cette charge, donc les travaux des convertis consistaient à ramener le plus grand nombre de brebis dans le sein de l’église.  

A Oran en Algérie, ils se mêlent, aux longues files des personnes qui viennent déposer des demandes de visa aux consulats de France et d'Espagne. Ils prennent part avec les gens qui attendent leur tour depuis des jours, et qui pour la plupart viennent de l'arrière pays. La technique bien étudiée, consiste à ratisser parmi les jeunes  ceux qui ont des difficultés, qui rencontrent des problèmes  qui ne voient rien venir et sont pris dans le filet sans avoir compris qu'ils étaient devenus nouveaux nés dans le chemin de Jésus Christ.

En Kabylie, la manière de sauver des âmes s'est développée, les missionnaires avec des déguisements adéquats, avaient réussi à mettre en place une technique bien élaborée dans le discours anti Islam d'une rare virulence. Le discours de haine contre le monde arabe et musulman, développé par les églises fait partie du corpus même de l'idéologie évangélique ainsi la plupart des victimes approchées  ont succombé à la tentation irrésistible d'une vie meilleure en Occident, des victimes de la vie, dont ces missionnaires sans foi ni loi ont profité de la faiblesse et du désarroi

Conclusion, on constate depuis fort longtemps que les missionnaires  chrétiens en terre musulmane exercent le prosélytisme avec coercition, persuasion malhonnête, ou simplement peu loyale avec un manque au respect de la liberté autrui, dans l’annonce de leur Évangile supposé apporté une vérité toute relative alors que  la religion chrétienne avec une foi émotionnelle, superficielle semble à se  réclame avoir le monopole de la vérité.

On sait que l’Église aura toujours procédé comme suit : combattre d’abord, admettre ensuite bien malgré elle, conserver malgré tout la Vérité divine en corrompant la réalité. De la sorte, l’Église ne changerait pas, cherche encore à réparer le tissu déchiré de la catholicité. Un jour pourtant, il faudra bien tirer leçon de la petite histoire et affronter la réalité : l‘Église n’était qu’une Imposture !

NB/ Caritas apporte l’aide aux plus vulnérables, sans distinction de race ou de religion, au nom des catholiques du monde entier sauf en Territoire Occupée de la Palestine, les palestiniens ne sont pas donc considérés comme des personnes vulnérables.

Comme c’est beau la Charité catholique.

Israél : Cette shoah pour les enfants Palestiniens ?

 

« Je ne connais pas cette chose appelée Principes internationaux. Je jure que je brûlerai tout enfant palestinien qui sera né dans ce secteur. La femme palestinienne et son enfant sont plus dangereux que l’homme, parce que l’existence des enfants palestiniens implique que des générations  continueront, mais l’homme cause un danger plus limité. » 

Moshé Sharett, Premier Ministre israélien, lettre du 15 juin 1948 à Nahum Goldman, Président du Congrès juif mondial.

La Palestine a toujours désigné un territoire aux contours totalement arbitraires et non un état. L'idée de nation, juive ou autre, est un non sens dans cette partie du monde. Étrange de constater comment certains s'affranchissent de toute rigueur historique et ethnologique pour pouvoir dérouler leur propagande mensongère. Alors il est ridicule de vouloir comparer les Israélites et les Arabes en terme d'identité ! Les Arabes  ont une identité, pas les Israélites qui falsifient la réalité du processus historique pour endosser la posture victimaire. Cette posture victimaire séduit les incultes de l'Occident et le débat tombe très vite dans le trou du simplisme, les bons Israélites et les méchant Arabes.

Selon Human Rights Watch, les actions permanentes d’Israël ; arrestations de masse, raids armés, meurtres de Palestiniens, notamment des enfants, bouclages de villes, démolitions de maisons et frappes aériennes font partie du châtiment collectif, un euphémisme pour ce que le droit international qualifie de totale vengeance à l’encontre des Palestiniens.

Les citoyens Palestiniens ont un choix difficile: se soumettre ou résister, devant la pratique de marginalisation la violence insatiable de l’occupation israélienne et l’autorisation d’humilier et d’opprimer, accordé aux soldats. Les Israéliens colons, par contre, n’ont pas à chercher vengeance pour leur propre compte. L’État israélien, les militaires et les tribunaux s’en chargent à leur place tous les jours.

Bien sur on ne combat pas le mensonge et la propagande par la mesure et l’impartialité. On les combat, lorsqu’on le peut, par le rétablissement tenace de la vérité (affaire Shireen Abu Akleh, célèbre journaliste et reporter), par la révélation et dénonciation des turpitudes sionistes et par une déconstruction  des éléments  trop souvent hurlés (Israël seule démocratie de la région, haut niveau de développement intellectuel et technologique, exploits du Mossad, etc.) Au passage, à leur époque les Allemands nazis, étaient beaucoup plus civilisés et beaucoup plus avancer techniquement que le reste de l'humanité. Ils avaient tenu les mêmes propos, voire pire.

La bonne et veille formule sioniste à succès qu'on énonce comme une évidence : "une terre sans peuple, pour un peuple sans terre " c'était bien trouvé, c’etait beau, cela donne envie de pleurer, mais est-ce c'est vrai ?

Cela me parait plutôt un conte de fées quand on sait que les sionistes sont obsédés par eux-mêmes et par leur supériorité supposée. Ils semblent oublier que les autochtones de la Palestine (+ de 90% d'arabes sous autorité ottomane) ont pour la plus grande part d'entre eux, été chassés de chez eux, par la peur, la terreur, ou l'espoir d'un retour rapide, et actuellement par les colonies illégales au regard du Droit International, et qu'ils savent qu’ils ont été trompés par la lâcheté occidentale, par l'ensemble des politiques d'Israël, et par la faiblesse diplomatique de beaucoup de leurs représentants. L'existence de ce peuple était même niée par des dirigeants d'Israël, un pays créé par le sionisme.

J’essaye avec une volonté sincère de comprendre les mécanismes de création de la haine mais je relève que les soldats israéliens tuent intentionnellement des enfants, (ce que les Israéliens peuvent être juifs tout de même). En Cisjordanie occupée, y compris Jérusalem-Est, et Gaza, représentent un terrain idéal pour maintenir l'efficacité de Tsahal au plus haut niveau : cibler, éliminer par des tirs à balles réelles, les enfants lanceurs de pierres venus protester notamment contre le blocus imposé depuis près de quinze ans par Israël à l’enclave palestinienne surpeuplée. Les tirs sur les enfants Palestiniens sont du collatéral, seule bavure, mais des tirs chirurgicaux de l’armée la plus morale du monde,  et chaque jour l'armée sioniste agresse et tue, délibérément, impunément, ainsi la situation des palestiniens sous l’occupation israélite, les meurtres en direct d'enfants et de femmes, trouve sa ressemblance à la Shoah.    

Par contre dans leur riposte avec des moyens rudimentaires, les Palestiniens n’ont pas le droit de tuer des militaires ou des civils de l’autre camp. Cela s’appelle du terrorisme.

Il semble que, pour l’armée, en Cisjordanie occupée, y compris Jérusalem-Est, et Gaza tous les Palestiniens, y compris les enfants qui sont en âge d’aller à l’école, restent de potentiels terroristes. Le jet de pierres est considéré comme acte terroriste alors à tout moment, il est permis aux soldats en couches de les cibler et les éliminer. C’est une constante chez ces soldats sauvages ils tirent dans le tas. Le résultat est qu’ils ont tué plus d’enfants que les résistants Palestiniens, tout ce que les israéliens touchent de près ou de loin est voue a la destruction, rien a voir ni avec l'histoire ni avec la religion, c'est une haine épidermique, suivi  en plus d’une politique de fichier de renseignement, les forces israéliennes font irruption dans les maisons palestiniennes pour les fouiller et enregistrer les noms et visages des habitants. En effet le réel est une chose difficile à admettre, difficile et parfois insupportable, alors certains inventent des fables et des mythologies pour échapper à une réalité qu’ils ne supportent pas.

Gaza est le fruit de cette imagination délirante dont le but pour les israéliens n’est autre que de se débarrasser des Palestiniens, de faire de la Palestine occupée le seul et unique état juif. Tant qu’Israël existe,  il faut effacer l’histoire pour la réécrire et se l’approprier complètement

Les Palestiniens sont appelés à résister, tant qu’ils peuvent aux provocations d’un ennemi qui ment, qui se présente en permanence comme une victime et comme un occupant pour qu’il mène un combat d’extermination de tout un peuple, faisant croire qu’il veut seulement un état à lui alors qu’en réalité, il veut une Palestine entière et juive sous entité sioniste. En effet les puissances occidentales consacrant l'existence de cet Etat, sa protection en cas d'agression garantit sa sécurité.

La solution à deux états, c'était une  position officielle d'Israël, toujours réaffirmée dans les discussions internationales, mais toujours démentie par une politique continue d'annexion de territoires, et le refus persistant d'une indépendance palestinienne avec pour capitale Jérusalem-est dans un avenir prévisible.  C’est énormément désolant de voir  qu'aucune vraie solution ne se fait jour depuis décembre 1947, date du vote d'une résolution de l’ONU créant en théorie deux États, et que des conflits armés faisant de nombreux morts et destructions ne cessent de se fixer. Cependant, les israéliens occupent une terre qui n’est pas la leur, de plus ce n’est pas dans l’intérêt de la politique d’Israël de vouloir la paix, ou sinon la théorie du  grand Israël serait caduc. Tant que les Israéliens, et par-delà eux les juifs, estimeront qu’ils ont droit à cette terre parce qu’elle leur fut promise et la poursuite de la colonisation démontre qu’Israël ne cherche pas la paix.

Les dirigeant de l’entité sioniste n’arrivent pas  à comprendre que la sécurité d'Israël dépend de la paix avec les pays musulmans, surtout les Palestiniens et non par des accords hypothétiques de soutien matériel et financier et de cesser de vivre  grassement, au crochet du monde Occidental suivant leur statut d'éternels victimes.

Alors que la politique actuelle semble hélas de plus en plus proche d'un slogan tel que " Ôte toi de là  tu n’as pas droit à cette terre". Israél traite de terroriste l’ensemble du peuple Palestine privé de sa patrie, qui se bât et se débat comme il peut sans aucun résultat depuis l’arrivée de ces nouveaux bantoustans. Sans le soutien du monde Occidental, Israël étant une plate forme coloniale occidentale avec son sionisme conquérant, son apartheid, déstabilise le Moyen Orient depuis trop longtemps. Or justement la paix avec ses voisins n’est pas dans le mire d’Israël ces préférences vont plutôt vers un statu quo, Israël ne veut en aucune façon perdre Jérusalem-Est ni les terres spoliées aux Palestiniens, tout est bon pour torpiller toutes les tentatives de paix. Israël n’est rien d’autre qu’un état délocalisé des États-Unis, une pièce majeure dans le jeu américain. C’est pourquoi les USA soutiendrons Israël matériellement et financièrement même au delà du supportable. La seule réelle question est à mon avis, quand ce génocide Israélien contre les Palestiniens aura-t-il une ampleur suffisante pour forcer les USA à se déconnecter  de la prise d’Israël ?

Pour les Palestiniens c’est un combat de résistance incessant entre un occupant et un occupé et cet occupant bénéficie d’une impunité absolue de la part de la communauté internationale. Cet occupant super armé, par entre autres les milliards d’armement offert par les Etats Unis, fait qu’il opprime un peuple à cause de sa religion, sa race et son mode de vie et cette oppression a pour but l’élimination d’un peuple sur sa propre terre. Au passage nommé Israël, sans pour autant préciser après : "soutenu par les Etats-Unis, et l’OTAN" pourrait supposé qu’il s’agit d’un conflit déséquilibré.

De toute façon, tous ces donneurs de leçons qui n'agissent pas forcément comme ils professent l’abrutissement organisé par des théories de politiciens Israélites minables ou véreux conduit à la soumission d'un peuple qui ne sait plus où il habite. Tout le monde comprend que quand un pays en occupe un autre (l'autre n'existe pas), il vaut mieux fait partie des occupants plutôt que des occupés. Le déni est un refus morbide de la réalité, c’est le propre d'un non peuple que de se construire une identité sur des bases fantasmées.

Dans tous les cas, permettez-moi de dire malgré tout : Vive La Palestine!

La France pleure encore son Algérie (française) !!! !!!

Dans l'évolution de "l'histoire moderne" la colonisation avait servie de crime fondateur des sociétés occidentales des droits de l'homme, ainsi cette société s'est structurée autour de ce marqueur essentiel de la culpabilité, c'est le crime colonial contre l'humanité (à l’exemple d’une tribu archaïque qui s'est structurée autour du meurtre du mâle patriarcal et en a souscrit des lois).

Aujourd’hui après plus de soixante années de liberté la meilleure  initiative mémoriel surtout pour la société française serait celle de leur dire que l’Algérie n’est plus un récit d’aventure et d’épouvante, c’est un pays avec une population qui vivait paisiblement avec une histoire que l’on peut comparer à d’autres. L’histoire de la colonisation est une conquête, des violences, d’une mainmise des terres par un système colonial ridicule avec tous ces ingrédients : indigénat, racisme, attentats, torture, camps, viols, bombardements, assassinats, etc.». La colonisation est une histoire de prédation, de violence, d’asservissement et d’effacement de toute une population.

Histoire de bien asseoir leur sentiment de supériorité, les français aiment très souvent dire que c’est la France qui aurait « créé » l’Algérie pour justifier cela souvent, ils fassent référence aux premières utilisations bien entendu du mot « Algérie » en français, ce qui d’un point de vue historique, est assez réducteur. Ce sont les algériens comme l’Emir Abdelkader, Cheikh El Mokrani, Cheikh Bouamama, Ahmed Bey et bien d’autres qui ont créé la nation algérienne, en voulant faire de leur société, qui existait déjà, une communauté politique, dont la France avait nié leur droit à une souveraineté. Mais ils ont fait cette nation Algérienne contrairement à la volonté de la France et surtout comme une réponse à une répression acharnée et criminelle par un combat pour sa liberté, et cela mérité d’être avouer haut et fort que la nation Algérienne s’est construite contre la France.

On sait toujours que par accrochage idéologique du côté français c'est là qu'on peut constater à quel point l’Algérie française est devenue un produit thérapeutique essentiel faite de sophismes politiques, de rejets et de victimisation, de justifications a posteriori et surtout de mythologies coloniales, ces visions sont souvent leur unique point de rencontre. C'est même une drogue indispensable pour tous ces nostalgériques qui ont du mal à faire le deuil de ce qui était vu comme le prolongement naturel de la France, "de Dunkerque à Tamanrasset"  tant que la médiocrité coloniale décourage toute critique qui reste écrasés par l’occultation de l’histoire du passé colonial

De toute façon, l’Algérie qu’imaginaient les Français et  surtout les nostalgériques avec leur intolérance, complexe de supériorité, résurgence de tendances à l’impérialisme culturel, voire la haine de l’Autre, existait toujours adossée à une autre Algérie avec un simple allongement territorial d’Alger à Tamanrasset, mais ils faisaient tout pour ne pas la voir. C’était une Algérie plus ancienne et plus profonde, c’est-à-dire la société algérienne qu’ils avaient essayé de détruire mais qui leur échappait et qui finirait par les renvoyer en légitime défense.

Parler de souffrances, de blessures, de traumatismes nous avons plusieurs millions de personnes victimes de la colonisation française depuis 1830 uniquement parce qu’ils étaient des Algériens, historiquement ils ont droit à la Justice et il est malheureux de constater que la  politique mémorielle française demeure un affront éhonté à cette Justice. La citation de Victor Hugo illustre parfaitement cette réalité qui reste d'une abjection totale et imparable.                                                                    C’était la civilisation qui arrivait à Alger sous la forme d’une guillotine !                                       Choses vues. Souvenirs, journaux, cahiers, Vol. I, 1830-1846, Paris, Gallimard

Très curieuse vision de l’histoire algérienne, du colonisateur pour qui toutes les idéologies ont besoins de coupables pour répandre leurs mensonges. Une idéologie coloniale, c'est toujours la lutte du bien contre le mal identifié aux ennemis (le colonisé). Des ennemis, c'est très facile à trouver des indigènes Algériens qui avaient osé refuser en leurs ancêtres les gaulois, et même après plusieurs décennies de l’indépendance de l’Algérie, les Français continuent de façon sauvage et hypocrite à instrumentaliser l’histoire et à exploiter les blessures mémorielles à des fins politiques, sociétales et d’avoir une lourde responsabilité dans la réécriture mensongère de la période coloniale en Algérie. Que ceux qui aujourd’hui détiennent un mandat dans l’écriture de l’Histoire ont le devoir, sinon de dire la vérité, du moins de ne pas énoncer des contre-vérités.

Selon ces sites "Identitaires", le fait plus marquant, des Françaises connaissaient un sort plus classique: elles étaient violées, des Algériens étaient des braves gens mais trompés par le FLN à l'insu de leur plein gré et à juste titre pour terroriser les colons. Toutes ces arguties sur la nouvelle histoire entrent dans le cadre de la guéguerre anti Algérien.  

Pour la fachosphère coloniale la culpabilité des indigènes algériens doit donc se déployer suivant deux axes, d’avoir résister à la colonisation, d’avoir refuser les bienfaits coloniales de la France et surtout d'avoir fait aux Colons français des griefs injustifiés. Je serais incomplet, si je ne parlais pas du climat de haine dans lequel se sont trouvées les colonisés, c'est-à-dire les algériens  En fait cette frange de population coloniale ne fait rien d'autre que chercher l'occasion pour se donner de l'importance et oublier ses complexes et ses échecs, ce sont les nostalgériques  (Pieds Noirs) qui ressassent sans cesse la colonisation, la guerre d’Algérie etc., les Algériens ont tourné la page depuis belle lurette, personne ne parle de cela c'est un non sujet pour l’Algérien moyen, le plus important pour lui comment faire pour la prospérité du pays et vivre en paix, sans oublier les crimes du passé, l’Algérien vis au présent, et au présent, le passé de l’Algérien mérite d'être connu. 

Pourquoi la France traîne-t-elle une sorte de mauvaise conscience qui entretient de sales rancœurs d’une classe politique incapable, profondément décomposé et cultivant cyniquement les rancoeurs pour s’exonérer de la responsabilité de ses immenses échecs aux yeux de sa population qui ne cesse de la contester, la propagande médiatique se nourrit de la certitude du colonisateur d’être magistral par son mépris envers le colonisé à qui l’on prétend apporter la civilisation.  

C’est ce qui est paradoxal la société des droits de l'homme constitue un contresens sur la réalité de la nature humaine, une surestimation de la raison avec un égarement immoral: c'est-à-dire un déclin de la société occidentale supplantée humainement et moralement par la civilisation islamique sur  le sol des nations chrétiennes. L’islam est inéluctable devant tant d’irrespect pour la nature humaine dans une société dépravée sous les coups fantaisistes d’une minorité façonnant la société à leurs convenances. Le summum est atteint dans la dérive de la normalité de ce délire transgenre, il fallait quand même avoir de l'imagination, un "homme ayant un utérus" qui accouche sera-t-il/elle considéré.e comme le père ou la mère ? Il est possible aussi qu'une "femme à pénis" soit le père d'un enfant. Pourtant la réalité biologique nous apprend que seule une femme peut porter et donner la vie à un enfant. C’est tout bêtement un fait naturel voulu par notre Créateur !                                                                                Alors Bravo pour cette belle avancée sociétale cela semble-t-il beaucoup plus à la mode ?

Les Français aiment toujours se parer de mérites et des vertus qui ne leur appartiennent pas et ne manquent jamais de les célébrer à grande pompe, peut être parce que pour eux, la vérité, c’est ce qui les sert, leurs journaleux justes un ramassis d'intellos racistes qui se croient visionnaires mais qui sont surtout des utopistes dangereux. Ils ont besoin de diaboliser les autres pour justifier le racisme et la haine de l’autre, c’est vouloir faire d’une particularité un cas général. C’est parce qu’on parle du pays des droits de l’homme qu’on peut se permettre de suspecter qu’il y a la même chose de pire pourvu qu’ils puissent continuer à s’enorgueillir de leurs postures morales ! C’est avec leurs yeux que nous devrions regarder notre passé.

L’Immigration l’éternelle débat !!                                                                                            La question de l’immigration est largement instrumentée par les médias à chaque échéance électorale, c’est un choix politique, pourtant le travail immigré a bien sa place dans l’économie française surtout des avantages comme une ressource qu’il procure soit à l’État  par la solution au problème du financement des retraites, soit aux employeurs comme un palliatif au vieillissement de la population active, soit aux consommateurs comme un équilibre socio-économique les prix à la consommation (produits agricoles et autres) seraient bien plus élevés, la main-d’œuvre étrangère étant bien moins payée, Dans le domaine du système des retraites, l’immigration joue un rôle des plus favorables, toutefois l’immigration subit le problème de racisme dans une société moderne, dont la devise est l’égalité.

L’apport migratoire semble être majoritaire dans la croissance démographique du pays ; sans lui, la France n’échapperait sans doute pas au déclin de sa population. L’immigration a toujours été un puissant facteur de croissance et ceci mérite mieux que des clameurs hystériques. Sans cet apport, la France d’aujourd’hui peut être à l’état du Portugal ou de la Grèce, c'est-à-dire un pays en faillite.

De nos jours surtout, les médias occidentaux tentent de donner des explications erronées sur l’immigration pour jeter les doutes, que des citoyens privés de libertés et de démocratie, souffrant de la faillite économico sociale et sans travail vont immigré en masse d’année en année vers la France, vers ses chattes, vers les allocations, les aides sociales de tous ordres, et vers ses droit de l’homme. Ces médias avancent rien que pour l’Algérie ce sont au moins 4 millions de personnes vivent en France et faire apparaître ainsi que les Français avec leur pseudo laïcité, leur pseudo égalité apparaîtront comme les sauveurs humanitaires et les plus bienveillants.  

A Oran, on a vu plus récemment le président français ouvrir joyeusement les bras à toute une jeunesse algérienne qui faisait retentir les rues d’Oran de slogans (On.Two.Three Viva l’Algerie) ou encore lors de la balade du président Français à Alger ponctuée de quelques sifflets au cours d’un bain de foule, peu agréables vis-à-vis de la France qui finit tout de même par se rendre compte que NON, le jeunesse algérienne n’acclamait plus une distribution de visas et surtout que l’immigration vers la France n’apparaîtra plus comme une solution pour nombre de jeunes Algériens.

Aujourd’hui l’Algérie et sa jeunesse refusent et rejettent les valeurs dégénérées qui inculquent  dans les écoles primaires qu’un homme peut bien être «enceint» de son mari (des hommes féminisés et des femmes virilisées) et qu’il s’agit là de l’un des plus beaux progrès de l’humanité : un résultat déplorable où tout devient sentiments et hystéries ou encore cette volonté diabolique de diviser, cette culture de mort que l’Occident ne cesse de répandre partout.

Si la France veut normaliser ses rapports avec l'Algérie, il faudra en passer par la reconnaissance d'une histoire partagée. L'Algérie est plus attachée à cette mémoire qui est pour elle fondatrice. Pour la France, la guerre d'Algérie n'a pas été autant une tragédie. Elle l'a été pour des individus, mais pas pour la France dans son ensemble, ni pour sa population.

L'Histoire ne se négocie pas politiquement, elle se démontre, se prouve, se discute quant à l'interprétation des faits par ses spécialistes (Historiens). Les affirmations et les témoignages du parti pris ne constituent nullement des faits et encore moins des vérités. En France nous sommes en train de constater une "déconstruction" historique. C'est assez émouvant de voir se créer un mensonge d’État.

A mon humble avis, la principale source des difficultés entre l'Algérie et la France, c'est cette différence d'attentes. La France, dans son ensemble, ne s'intéresse guère à l'Algérie, présente comme passé. En Algérie, c'est différent. C'est une mémoire qui reste vivante, nous les Algériens  reconnaissons ce passé dans son entièreté, y compris dans ses zones d'ombres, et nous laissons les Français de décider du jour où ils voudront emprunter le même chemin.


 

Le Makhzen maintient une vieille antienne contre le peuple Marocain !

 

Elle dit : "En vérité, quand les rois entrent dans une cité ils la corrompent, et font de ses honorables citoyens des humiliés. Et c'est ainsi qu'ils agissent.. Qur’an (S. 27-34)

Du point de vue religieux, le principe monarchique par un système de l´héritage du pouvoir personnel est incompatible avec l'islam surtout avec l’incorporation d’un régime de gouvernance aux valeurs décadentes non islamiques, la corruption des esprits ou l’occidentalisation des mœurs dépassant le seuil de l’admissible.

En revenant tout simplement au système féodal marocain «Makhzen» juste une survivance et une friperie automatisée, qui datait de bien avant l'époque coloniale et convenait à une société tribale et féodale et en lui donnant aujourd’hui une forme moderne. Le système «Makhzen» reposait sur le principe que les serviteurs du monarque, caïds, chefs des tribus, gouverneurs des provinces imposés dans une société moderne, dirigent «le peuple»par procuration royale, ce concept ne peut qu'engendrer une corruption démesurée, sans compter sur quelques autres particularités du système inspiré par des conseillers juifs avec un axiome de base «Diviser pour régner».

Ce qui est triste pour le système du Makhzen, c'est que tout un peuple qui est loin de partager les options de ces laquais crapuleux, sombrer dans une aventure effrayante, historiquement le régime du Makhzen Marocain s'est servi du Sahara Occidental pour régler ses problèmes intérieurs, comme dérivatif alors que la révolte sociale grondait dans tout le territoire Marocain.

Si on se raccroche à Donald Trump et aux dirigeants  sionistes, qui ont changé le cours de ces mêmes projets de cinglés, pour venir jouer au troc avec un territoire autonome, pas encore décolonisé. Une vieille revendication marocaine et qui se trouve exaucée d’où le troc de Donald Trump : les Etats-Unis reconnaissent  la souveraineté du Maroc sur le Sahara occidental, disputé par le Front Polisario ; en échange, le Maroc reconnaît Israël pleinement et normalise ses relations et établit des liens de coopération

C’est qu'on y voit un exemple qui pourrait servir d’échappatoire au  régime du Makhzen, mais aujourd’hui, capituler devant l'arrogance juive n'est pas une solution. C'est trahir les générations futures du peuple Marocain, c’est agaçant, le fait sioniste persiste, ce gredin, sale voyou de l’histoire. Du coup le Makhzen pense qu'une aide d'Israël serait plus utile que des imprécations à distance dans la colonisation du Territoire Sahraoui qui n'en finissent pas de se déliter et de se rapprochent du Palais Royal.  

L'Etat Sioniste d'Israël et tous ses propagandistes dans le monde occidental, y compris au Maroc, se rendent coupables envers les Palestiniens d'un génocide sournois, mais réel parce qu'ils anéantissent leur personnalité. Ils réduisent les Palestiniens, par leur propagande médiatique à une masse impersonnelle au sein de laquelle il est impossible de discerner l'âme de personnalités fortes et puissantes, représentatives de leur peuple.

Cela explique l'impuissance du système marocaine, qui entrevoit la possibilité d'échapper à une certaine domination en s'ouvrant un peu plus aux Palestiniens, mais il se voit rappeler à l'ordre au moindre pas dans cette direction par l'utilisation de la question Sahraouie, des problèmes sociaux, voire sociétaux catastrophiques internes au Maroc.

D’être conscient du sens de l'Histoire quelques vérités à ne pas oublier, une méconnaissance de l'histoire est présente chez certains marocains, qui propagent selon le très officiel manuel d’histoire le mythe du Royaume du Maroc qui existerait depuis 11 siècles.  

Selon les livres d’histoire, le Maroc au début du XVIIe siècle, était morcelé en plusieurs petits États indépendants. La dynastie régnante des Saadiens est en déclin et le royaume n’a plus d’autorité centrale. Au Tafilalet, dans le sud-est, les descendants de Hassan Addakhil, les Alaouites, se distinguent en défaisant deux puissantes confréries : la zaouïa d’Illigh, qui contrôle le Souss et le Drâa, et celle de Dila, qui tient le nord et est sur le point de s’emparer de Fès.

Moulay Ali Chérif, 7e descendant de Hassan Addakhil, est promu chef de la famille et devient le nouvel homme fort du Tafilalet. Ce dernier est décrit par les hagiographes comme un “lion magnanime, le pôle de tous les chevaliers de l’islam, le brave audacieux, le lion hardi, le grave, le pieux, l’éclaireur de la milice des guerriers de la foi, le glorieux des glorieux”.

Malgré ces qualificatifs élogieux, Moulay Ali Cherif n’arrive pas à étendre son pouvoir aux autres provinces du Maroc et abdique en faveur de son fils, Moulay Mohammed. Ce dernier, que les historiens dotent d’une puissance physique hors du commun, multiplie les guerres contre les tribus voisines. L’une d’entre elles, la zaouïa d’Illigh, prend en otage son père, Moulay Ali Chérif. Il sera finalement libéré en 1640 par son fils, qui sera proclamé sultan du Tafilalet et régnera sous le nom de Mohammed 1er.

Fils de Moulay Ali Chérif, Moulay Ismaïl doit batailler dur contre plusieurs de ses frères pour asseoir son pouvoir sur le trône du Maroc. Une guerre civile fratricide qui s’achève par une victoire définitive.

Si Moulay Ismaïl choisit Mekhnès pour capitale, ce n’est pas seulement pour son climat qu’il affectionne tout particulièrement, mais surtout pour en faire “la Bourse” du commerce des esclaves. “C’est Moulay Ismaïl qui décide, pour des raisons politiques et surtout économiques, de regrouper à Meknès, la nouvelle capitale, tous les captifs pris en mer ou sur les côtes européennes”, écrit Ahmed Farouk, chercheur rattaché à l’Institut méditerranéen à Paris.

C’est que le Sultan Moulay Ismaïl contrôle l’ensemble du circuit des captifs, en commençant par une flotte de corsaires basée à Salé, qui fut cinquante ans auparavant la “république des corsaires”, et c’est cette flotte qui l’approvisionne en esclaves chrétiens. La vente de captifs détenus dans les geôles du sultan constitue une ressource non négligeable pour le Makhzen.

De nombreuses ambassades et missions religieuses européennes sont envoyées à Mekhnès pour négocier leur rachat. Parmi elles, les Pères de la rédemption, religieux de l'ordre de la Trinité ou de l'ordre de la Merci, fondés pour le rachat des captifs, avaient effectué plusieurs voyages au Maroc et “doivent négocier avec le sultan, et uniquement avec lui”, précise Ahmed Farouk. Le sultan Moulay Ismaïl est présenté par plusieurs historiens, contrairement à la version officielle, comme un souverain ayant des penchants sadiques. Il aurait tué 127 détenus de ses propres mains, selon l’historien Henri Terrasse.

Le sultan Moulay Ismail, un père le plus prolifique de la famille des Alaouites, est considéré comme le véritable fondateur de la dynastie alaouite. Ce mégalomane avait mis sa main sur le Maroc pendant cinquante-cinq ans : un record de longévité pour un monarque absolu. Mais, ce dictateur, qui ne tarda pas à se voir affublé du surnom de l’ «Assoiffé de sang», détient un autre record selon le Guinness Book : celui d’avoir engendré 888 enfants.

Mais cela est-il seulement possible ou est-ce une pure légende ?

L’entrée des Français au Maroc avait été facilitée par une guerre fratricide. Le Sultan Moulay Abdelaziz nommé par ses détracteurs de “sultan des Européens”,  avait du mal à maintenir son autorité intacte. Le 16 août 1907, son frère aîné Moulay Hafid, est proclamé sultan à Marrakech grâce à l’appui des grands caïds, dont Madani El Glaoui, grand frère de Thami, le futur pacha de Marrakech. Le 4 janvier 1908, c’est au tour de Fès de se révolter contre Moulay Abdelaziz et de se rallier à Moulay Hafid. Mais le sultan refuse d’abdiquer et rejoint Rabat, alors sous contrôle européen. Ses adversaires le raillent et le traitent de sultan des “enclaves européennes posées sur le littoral”. Mais le Sultan Moulay Abdelaziz, tenace, continue à résister et réussit à réunir une Mahalla pour combattre l’armée de son frère, autoproclamé sultan du Djihad.

Par une après-midi suffocante, un 19 août 1908, les deux armées se rencontrent à Tamelelt, une petite localité proche de Kelâat Sraghna. La bataille ne dure pas plus d’une journée et le sultan Moulay Abdelaziz est battu à plate couture par son frère. Cette dernière défaite militaire devait sonner le glas du règne du jeune sultan. D’ailleurs, toute l’élite marocaine ainsi que les Européens présents au Maroc prennent acte de l’issue de la bataille. Mais, contre toute attente, le sultan Moulay Abdelaziz ne s’avoue pas vaincu. Le lendemain de sa défaite, il est à Casablanca et s’apprête, dans une dernière tentative désespérée, de rejoindre Settat pour rassembler une nouvelle armée.

Alfred G. Paul Martin, un officier-interprète français de l’armée d’Afrique, écrit à ce sujet : “Il (Abdelaziz) n’avait plus rien, il sollicita tout : de l’argent, des armes, des hommes”. Une dernière tentative couronnée d’échec. Le sultan défait se réfugie finalement à Tanger où il finira sa vie. Ironie de l’histoire, son frère le sultan Moulay Hafid mourra, lui, en France où il a vécu en exil après 1912.

Le 30 mars 1912, Moulay Hafid signa le traité de "protectorat" de Fez, qui consacrait officiellement l’occupation Française du Maroc par l’instauration d’un "Protectorat" placé sous la direction du Commissaire Résident Général français, pourvu des pouvoirs du gouvernement français. C’est au nom de ce pouvoir que le maréchal Lyautey va détrôner Moulay Hafid qui a signé ce traité, pour désigner Moulay Youssef à sa place!

Le maréchal Lyautey entend ainsi renforcer sa monarchie coloniale et la confectionner à sa guise! Le nouveau Sultan du Maroc ainsi que tous ses héritiers alaouites qui l´ont suivi, jusqu´à Mohamed V ne font alors que signer tout ce que prépare l´autorité de l´occupation. 

Cette dépendance politique est encore en application dans le Royaume du Maroc d’aujourd’hui. Pour le peuple marocain, le traité de "Protectorat" était un acte de vente.

18 novembre 1927 Mort du Sultan Moulay Youssef,  Les Français imposent comme Sultan son 3ème fils Mohammed Ben Youssef, âgé de 17 ans, jugé trop libertin et censé être plus larbin.

Le sultan Moulay Youssef qui a régné sur le Maroc de 1912 à 1927 avait rendu visite le 18 juillet 1926 au maréchal Lyautey  dans sa résidence à Thorey.  Le futur Roi Mohammed V, ne manque jamais de venir saluer le Maréchal lorsqu'il se déplace en France ou lors de ces visites à la Station thermal de Vittel. En 1934, dernière visite du Sultan, il est accompagné du jeune prince héritier, le futur Roi Hassan II.

Pour renforcer leur contrôle sur le Maroc, les autorités françaises renversent le sultan Mohammed Ben Youssef, considéré comme trop nationaliste et trop mou lors des émeutes de 1952. Cette décision est supportée par El Glaoui, un riche entrepreneur marocain, allié des Français, qui descend des collines vers Rabat à la tête de cavaliers berbères. Le 20 août 1953, Mohammed Ben Youssef déchu, est envoyé en exil en Corse, puis à Madagascar. Il est remplacé par Mohammed Ben Moulay, un dirigeant âgé et faible que la population considère comme un usurpateur. Car le Protectorat veillait et les Français y ont exporté la règle de primogéniture qui avait, malgré quelques bavures, fait merveille chez eux pour appesantir le pouvoir royal et briser toute résistance populaire et aristocratique à l'État fiscal qu'il voulait absolument puissant et personnel, reposant sur une bourgeoisie avide qui deviendra une ruche d'essaims coloniaux et expansionnistes!

La France par conséquent n'avait occupé et soi-disant restitué à lui-même qu'un petit Maroc amoindri par l'impérialisme colonial.

L’histoire du Royaume du Maroc démontre que ce sont les sultans alaouites, qui ont exploités pleinement les richesses du peuple Marocain. Ils ont soumis les populations au colonialisme et ils ont ouvertement et officiellement fait appel aux puissances coloniales pour qu’ils soient protégés des révoltes du peuple marocain ou mieux encore pour vaincre leurs querelles et guéguerre fratricides pour le maintien du trône.

Les paysans Marocains n'avaient jamais accepté la présence alaouite, et ils avaient que très de  moyens de se défendre. Ils ont toujours refusé l'établissement d'un système "monarchique" tout à fait étranger et contraire à l'esprit de l'Islam. Les Alaouites constamment repoussés useront de leurs malheureuses troupes égarées dans une sale guerre en les envoyant à l'assaut des résistants pour tenter d'affirmer leur pouvoir personnel autocratique et illégitime.

Les paysans du peuple Marocain fermement motivées, ne rompront jamais compte tenu du passé révolutionnaire du peuple marocain qui a des antécédents résistants dans la mémoire collective comme l'extraordinaire épopée de la République du Rif, sous la direction d'Abdelkrim El Khattabi dans sa lutte contre l'Espagne et le France de 1921 à 1926.

Totalement falsifiée par la propagande mensongère du régime dictatoriale stupide l'histoire du Royaume du Maroc contemporain demeure méconnue des Marocains, au point de devenir un ensemble de grandes énigmes et de nombres évènements importants de l’histoire du Royaume du Maroc sont restés trop longtemps tabous par un régime du Makhzen féodal.

Le Maroc est celui de tous les paradoxes. Il est enlisé par une tension sociale extrême (soulèvement du Rif, en 2017, plusieurs centaines de manifestants ont été condamnés, pour certains à vingt ans de prison ferme), un taux de chômage urbain de l’ordre de 40 pour cent et des décennies d’absolutisme monarchique. Au point que se pose de manière lancinante la question de son abdication en faveur de son fils, âgé de 17 ans.

De surcroît, le royaume chérifien, un pays «patrimonialisé» est au bord de l’apoplexie, pour reprendre l’expression la plus courante en pareille situation, en proie à une ébullition permanente, conséquence de l’autoritarisme du Makhzen,  de l’arbitraire, du népotisme et de la corruption qui y règne.

Dans l’histoire du Royaume du Maroc, les différents Sultans n’ont rien apporté à la population, sauf la dépossession des richesses et surtout l’humiliation de la femme Marocaine pour en avoir posséder des dizaines, des centaines et même des milliers en vue de garnir leur harem, cette attitude des Sultans ne peut que qualifier le régime du Makhzen de féodal qui nie toute personnalité ou aspiration outre que celle du Sultan.,

La grande faute du Marocain, c'est de ne pas accepter de mourir, d'être fier de son origine, de son passé, de ses croyances etc. Dans cet optique, nous sentons bien la haine et la hargne de ses figures de cire du Makhzen qui s'arrogent le droit de ce qui doit être dit ou pas, de ce qui est correct ou pas, de s'asseoir comme il se doit, et de répondre toujours dans un langage déjà codé et rodé depuis des décennies, leurs objectifs était de servir une puissance étrangère et de se gaver sur le dos du peuple Marocain.